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25 mars 2020 3 25 /03 /mars /2020 09:21

TÉMOIGNAGE D'ITALIE

(Dans le sens de l'article précédent Continuer à tirer le meilleur parti du covid-19 et du confinement), voici un bref et authentique témoignage d'Italie qui montre quel est le sens (voilé, au second degré) du mal (d'un jugement)*, et invite de manière implicite à se repositionner dans notre relation (coupée ou superficielle) avec le Dieu créateur.

Le retour du fils prodigue**
par Rembrandt.

 

 

Lulian Urban 38 ans · Docteur en Lombardie :

 "Jamais dans les cauchemars les plus sombres je n’ai imaginé que je pourrais voir et vivre ce qui se passe ici dans notre hôpital depuis trois semaines. Le cauchemar coule, la rivière devient de plus en plus grande.
Au début, certains sont arrivés, puis des dizaines puis des centaines et maintenant nous ne sommes plus médecins mais nous sommes devenus des "trieurs sur la bande" et nous décidons qui devrait vivre et qui devrait être renvoyé chez lui pour mourir, même si tous ces gens ont payé des impôts italiens pendant toute leur vie.

Jusqu’à il y a deux semaines, mes collègues et moi étions athées ; c’était normal parce que nous sommes médecins et nous avons appris que la science exclut la présence de Dieu.
J'ai toujours ri de mes parents qui allaient à l’église.

Il y a neuf jours, un pasteur de 75 ans est venu à nous ; c’était un homme gentil, il avait de graves problèmes respiratoires mais il avait une Bible avec lui et nous a impressionnés qu’il la lisait aux mourants et les tenait par la main.
Nous étions tous des médecins fatigués, découragés, psychiquement et physiquement finis quand nous avons eu le temps de l’écouter.

Nous devons maintenant admettre que nous, en tant qu’humains, avons atteint nos limites plus, nous ne pouvons pas faire et de plus en plus de gens meurent chaque jour.
Et nous sommes épuisés, nous avons deux collègues qui sont morts et d’autres ont été infectés.

Nous nous sommes rendu compte que là où se termine ce que l’homme peut faire, nous avons besoin de Dieu et nous avons commencé à lui demander de l’aide quand nous avons quelques minutes de libre ; nous parlons entre nous et nous ne pouvons pas croire qu’en tant que féroces athées nous sommes maintenant tous les jours à la recherche de notre paix, en demandant au Seigneur de nous aider à résister pour que nous puissions prendre soin des malades.

Hier, le pasteur de 75 ans est mort ; que jusqu’à aujourd’hui, bien que nous ayons eu plus de 120 morts en 3 semaines ici et que nous étions tous épuisés, détruits, avait réussi, malgré ses conditions et nos difficultés, à nous amener Une paix que nous n’espérions plus trouver.

Le pasteur est allé vers le Seigneur et bientôt nous le suivrons aussi s'il continue comme ça.

Je ne suis pas à la maison depuis 6 jours, je ne sais pas quand j’ai mangé la dernière fois, et je me rends compte de mon inutilité sur cette terre et je veux consacrer mon dernier souffle à aider les autres. Je suis heureux d’être de retour à Dieu alors que je suis entouré de la souffrance et de la mort de mes semblables « .

Témoignage récolté par : Gianni Giardinelli ❤
Traduit de : Italien

En cliquant ici > un guide de prière pour vous aider à prier pour un vrai retour ou une (re)consécration au Dieu vivant.

Soyez béni-e, secouru-e et sauvé-e.

______________________
* Dès le commencement de nos problèmes avec le mal, dans le 3e chapitre du livre (biblique) de la Genèse, on voit comment le genre humain tombe en ne résistant pas à une tentation, et comment, avec le jugement qui en résulte, l'Éternel-Dieu donne aussi le moyen qui permet que les fautes soient effacées, que la relation avec Lui soit tout à nouveau restaurée > Genèse 3. 1 à 21
(pour comprendre ce qu'est le moyen révélé dès ce moment par Dieu - le besoin d'un sacrifice - cherchez parmi les pages de ce blog (ou ailleurs, ou directement dans une Bible) en quoi Jésus est celui qui s'est donné lui-même à Dieu comme ce sacrifice, pour nous soustraire à la puissance du mal en nous ramenant au Dieu-Père. 2Corinthiens 5. 17 à 21

** Toute l'actualité de cette parabole de Jésus, selon que (nous dit-il) "quand vous verrez ces choses arriver, sachez que le royaume de Dieu est proche....
33 Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point."

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17 mars 2020 2 17 /03 /mars /2020 11:30

 

Que sommes-nous qu'un si petit organisme puisse modifier tout le cours de la planète habitée ?...

Et s'il pouvait contribuer à couronner notre existence personnelle de sa plus grande gloire possible ?...

 

Est-ce qu'être réduit au minimum de nos mouvements, activités et relations, ne serait pas finalement être mis dans les meilleures conditions pour avoir du temps pour soi, en vue de rechercher... l'essentiel !?

QU'EST-CE QUE L'ESSENTIEL ?
Wolinski (auteur de bande dessinée, journaliste et acteur français) parlait de "ne pas mourir idiot" ! Une formule des plus profondes en réalité.

Ainsi, l'essentiel de cette existence, faite de contraintes, d'imprévisibles et d'une mort qui ne peut être niée, n'est-ce pas d'en trouver LE sens ?

Je veux parler du sens général, universel, objectif, primordial, qui transcende toutes les opinions divergentes, cultures et religions.

LE sens de notre vie, c'est en connaître sa raison d'être, la raison de ses difficultés irréductibles, des souffrances, de la fragilité de nos bonheurs et de la finalité de ce temps vécu sur terre.

LE sens qui concerne tous et donc chacun, vous comme moi, qui peut être contredit, mais qui reste dans tous les cas forcément, essentiellement, logiquement, raisonnablement le même pour tous (les êtres en capacité d'entendre ou de lire et de comprendre).

Question dont la connaissance de la réponse devrait en précéder bien d'autres (secondaires ou totalement superflues).

Voilà le bon, le bien fondamental, qui peut être tiré de ce coronavirus... comme de bien d'autres choses dont on ne voit généralement que le mauvais côté.

Et donc voilà un temps favorable, qu'on n'aurait peut-être jamais su prendre par nous-même, du temps libre imposé et en fait libéré, pour comprendre.

LE SENS DE L'EXISTENCE SE TROUVE
Il se trouve pour quiconque veut savoir "en vérité", dans la liberté de sentir soi-même, débarrassé-e de schémas et conditionnements socio-culturels et religieux.

Dans la compréhension que la vérité est une, et par là forcément étroite. Comme en physique, chimie, mathématique, ou avec une adresse internet, la seule bonne réponse en esclut quantité d'autres.
C'est en ce sens qu'il faut vouloir savoir 'en vérité" ce qui est la vérité qui donne à notre existence son sens, immédiat et perpétuel.

UNE RÉPONSE QUI ÉCHAPPE AU TEMPS ET À L'ESPACE
Notre existence ne peut prendre sens que si la barrière de la mort est bousculée.

Le sens de notre venue en ce monde (tragique, notamment par la mort) et de notre présence temporelle, nécessite que nous espérions, désirions, souhaitions et croyons, que la mort physique n'est pas une fin sans suite, n'est pas un anéantissement totale de notre personne consciente.

Ainsi, dans un univers relatif, pour rejoindre le sens de l'existant, nous pouvons et devons accéder à une connaissance qui échappe aux relativités, qui soit de l'ordre de l'Absolu.

Dans un univers fait de contradictions et de libertés comme il est, nous avons à choisir ce que nous croyons ou allons croire.
Croire en effet, pour la simple et bonne raison que personne ne peut accéder à un savoir quelconque, juste ou faux, sans d'abord croire ce qu'il entend.
C'est un principe dynamique universel d'acquisition des savoirs.

LA QUESTION DE NOTRE ÂME, EXISTANTE, MORTELLE OU IMMORTELLE... ÉTERNISABLE

Pour avoir, comme des millions d'autres, découvert un jour (en lire le compte-rendu ici) ce qui donne son sens le plus absolu à notre vécu, je peux vous dire que LE sens qu'il est possible de rejoindre dépasse nécessairement la seule partie de vie que nous avons à vivre là sur terre.

Il s'agit d'entrer dans la possibilité - qui existe, ce qu'on peut croire et savoir personnellement, intimement - d'immortaliser ou éterniser notre âme, afin de pouvoir vivre en tant que soi conscient de lui-même, éternellement.

Ce qui veut dire qu'il nous faut nous poser sur cette question à la fois existentielle (par ses conséquences toutes immédiates) et essentielle (par des conséquences infinies, sans fin).

C'est en ce sens que la pandémie covid-19 peut devenir une vraie chance pour avoir, par la réduction des mouvements, du temps pour approcher jusqu'à toucher, expérimenter la réalité de l'Absolu, du Divin donc.

à suivre, très bientôt (abonnez-vous pour en être informé).

Soyez d'ores et déjà béni-e.

Un chant qui est une prière... en cours d'exaucement ici

Si vous ressentez le besoin de prier, vous avez > ici ou > là deux trames pour y aider.

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27 novembre 2019 3 27 /11 /novembre /2019 11:19

C'est un fait indéniable que nous sommes tous mortels,
et que le jour de notre mort ne nous appartient pas.
Et la peur même que cette évocation suscite en nous
est un signal qui montre que cet article
n'est pas sans importance.

Il suffit de voir ce qui peut survenir soudain comme déréglement climatique jusqu'à mortifère (eaux diluviennes*, neige, canicule), accidents de voiture, d'avion, de train (ou d'hélicoptère comme avant-hier avec 13 militaires tués), attentat, meurtre passionnel ou familial, AVC, cancer.......... Personne n'est à l'abri... mais personne aussi n'est mieux protéger que celui/celle qui a remis sa personne entière sous l'autorité de Dieu par Jésus-Christ. Et on va là voir pourquoi.

Si donc la mort est un fait indéniable qui risque de faire que cette existence avec toutes ses difficultés et souffrances n'aura eu aucun sens si elle est la fin de notre conscience, un anéantissement total de soi, pourquoi continuer à vivre ?...
C'est ce qu'on peut entendre de plus ou plus souvent chuchoté à nos âmes. Ce qu'on peut chacun percevoir à un moment ou à un autre (bien sûr surtout quand ça va mal), sous forme d'une pensée... qui en fait est une suggestion maligne qui vient d'où ?

De nous-même ou de Satan, du diable, d'un démon ? D'une ou l'autre de ses créatures angéliques déchues (invisibles car seulement psychiques et spirituelles, sans corps) qui nous détestent et se jouent de nous d'autant que nous ne croyons pas à leur existence. Ces esprits maléfiques nous détestent et le bonheur qu'on peut connaître.
Pourquoi ?

Car ils se sont mis dans le malheur et ne semblent plus trouver de satisfaction qu'en cherchant à nous entraîner dans leurs vices, leurs perversions, leurs mensonges, leurs injustices, et dans la mort, par le meurtre ou encore par le suicide qui se présente (faussement) comme le terminal d'un mal-être.
Or la mort telle que nous la voyons et comprenons, savons-nous ce que c'est réellement ?

QUE CROIRE QUANT À LA MORT?
- Certains croient que c'est la fin (de nous, de tout, de moi). Un anéantissement donc de notre corps et de notre psychisme.

- D'autres croient que c'est comme une mutation ou métamorphose où on va changer de corps. Où l'âme continue à vivre mais en migrer dans un autre corps, plus divin ou, le plus souvent, dans un corps animal quelconque (comme punition d'une vie où le mal à dominer sur le bien). Ils parlent alors de réincarnation.

- D'autres encore croient qu'en se sacrifiant pour une cause (religieuse ou humaniste ou politique), ils vont au moins changer la face du monde ou d'une situation, sans la moindre idée de ce qui se passe quand on meurt et quand on est mort, ou encore en croyant que des vierges nous attendent pour que nous assouvissions sans limites, sans opposition, nos pulsions sexuelles.

- Certains croient qu'il y a un paradis pour tous, ou encore différents paradis, comme un paradis des boxeurs par exemple pour les boxeurs qui meurent (où ils se boxeront éternellement peut-être !?).

- d'autres croient qu'il y a un paradis et un enfer, et que c'est loin d'être gagné d'avance pour savoir où on va se retrouver pour l'éternité !

- Certains croient que les morts avec leurs sensations psychiques sont toujours attachés à leur corps et qu'il faut aux vivants retourner leur corps une fois par an pour qu'ils se sentent mieux.

- Certains croient que l'âme sort du corps et par là perd son individualité pour rejoindre et se fonde en pleine inconscience une Conscience cosmique unique et universelle qui n'a rien de personnel.

- Peut-être croyez-vous encore d'une autre manière !?

Surtout remarquez que dans tous les cas il s'agit de CROIRE.
Ce qui peut nous poser un vrai problème: Celui que croire touche au religieux (et donc on se ferme rien qu'à entendre ou lire ce mot), ou touche à un inconnu inconnaissable, à ce qu'on ne peut absolument pas savoir.

Or je voudrais vous inviter à observer ce qui est observable, à réfléchir avec vos capacités de raison et de bon sens bien terre à terre, et à comprendre ce qui demande simplement que nous cherchions - comme en science si nous voulons découvrir des vérités qui ne sont pas immédiatement accessibles. 

UNE INVITATION À... NE PAS MOURIR... IDIOT !?
Questions :
Comment avez-vous appris tout ce que vous savez par l'école?
Comment avez-vous présenté un concours pour entrer dans une grande école ou dans un poste?
Comment avez-vous reçu les instructions d'un apprentissage?
Comment avez-vous appris le code de la route et la conduite (automobile ou maritime ou aérienne)?
Comment avez-vous appris à faire du vélo ou à nager?
Comment avez-vous pu manger aujourd'hui sans savoir si ce que vous avez mis dans votre bouche était bon ou avarié?
Etc, etc, etc...
Avez-vous la réponse exacte... que vous n'avez peut-être jamais soupçonnée!?

C'est que TOUT ce que nous apprenons et faisons, commence par un acte de confiance, par une transmission qui ne se reçoit que par... la foi ! En croyant ce qu'on nous dit.
Vrai ou faux!?
Et donc à la question qui peut vivre sans croire? la réponse est PERSONNE!

Car on est tous par nature des croyants, des êtres capables de croire avant de savoir ET POUR SAVOIR.
On ne peut arriver à SAVOIR quelque chose, que ce soit pas le domaine matériel le plus basique (apprendre un métier manuel) ou dans des domaines de connaissances théoriques (comme les maths, les physiques, la biologie...), qu'en commençant par écouter ou lire quelque chose qui nous est extérieur, qu'on ne connaît pas, et, le croyant, on se l'approprie en tant que savoir.

En fait il nous est absolument impossible d'avancer, de vivre la dynamique du vivant qu'on a héritée,  sans faire "des pas de foi", sans accepter de croire (quelqu'un, des idées, des concepts, des axiomes, des instructions, du savoir, qu'on va y arriver) pour arriver à autre chose, à plus loin, à plus haut, à plus grand, à meilleur, que ce qu'on est à un moment donné (que ce soit en tant qu'enfant, ado, adulte, ou même vieillard).
Beaucoup de cette vérité se passe comme indépendamment de nous, c'est-à-dire en dehors d'une conscience éveillée à comment on approche ou saisit les choses, à comment on a cet élan vital qui nous fait lever le matin (quand il n'est pas cassé!), préparer un cours, une conférence, chercher une solution, concevoir un film, tenir le choc (sans mal faire) face à une adversité qui nous encombre la vie...
Mais notre capacité et potentialité spécifiques d'être humain contiennent  aussi que nous puissions en conscience acquérir des données, des connaissances, du savoir et des savoir-faire. C'est-à-dire conscient qu'on se met à croire quelque chose alors même qu'on ne sait pas si c'est juste, vrai, bénéfique, utile, intéressant...

C'est donc là le POINT DE DÉPART crucial, prédéfini et toujours prêt à être actif ou activé de nos mouvements (physiques, psychiques ou spirituels).
Êtes-vous déjà convaincu-e que cela est vrai ?
Convaincu-e de la prééminence de cet axiome, de ce moteur fantastique  posé en nous par le Créateur**, qui fait que la vie est mouvements et dépassements et joie d'aventures, d'explorations et de nouveautés toujours possibles ?
Je pose cette question car le but de la dynamique du vivant pour nous, c'est que nous acquérions, que nous nous enrichissions donc de ce qu'on n'a pas à l'origine (bien qu'on ait déjà des capacités et beaucoup de potentialités), et que par là nous nous déployons jusqu'à dépasser même le cap suprême... celui de la mort physique !

Et c'est là TOUT l'enjeu (si ce n'est premier en tout cas final) de cette existence. C'est l'enjeu supérieur à tout, transcendant, de ce principe de foi qui est notre propre puissant moteur par lequel nous saisissons et évoluons... en bien ou en mal... selon ce qu'on va croire, qui on va croire, pour quoi on va croire.
Et on arrive là à "l'entonnoir" de la vérité !

L'ENTONNOIR DE LA VÉRITÉ
Facile à comprendre. Si 2 et 9 font 11 tout rond, cela ne fait ni 10, ni 13, ni même 10,5 ou 10,95, ni 11,05 ou 12, etc...

On comprend par là que la vérité, comme l'exactitude, est quelque chose de précis, qui exclut plusieurs autres choses qui dès lors, n'étant pas vérité, sont des erreurs, ce qu'on appelle encore selon les domaines des fautes ou des mensonges, voire des demi-vérités (qui peuvent être une forme subtile de mensonge).

CROIRE, QUOI ET PAS QUOI ? TOUT !?...

De la question de la vérité et du mensonge, du juste et du faux, donc plus globalement du bien et du mal, découle les questions ou notions capitales de notre liberté et d'une capacité personnelle à trier les informations - capacité psychique que nous avons comme bien d'autres choses à développer, ce qui donne du discernement, un jugement critique, une capacité à ne pas se faire avoir par n'importe quoi.
On connaît bien ça par les tentatives d'arnaque, d'hameçonnage sur la toile, par la faon dont des gens peuvent essayer de nous séduire (par l'attrait du gain, du sexe, du pouvoir, de produits stupéfiants, etc...) pour tirer profit de nous, nous manipuler, escroquer, etc...

DONC TOUT N'EST PAS A CROIRE, BIEN ÉVIDEMMENT !
Tout de ce qu'on entend, de ce qu'on nous dit ou nous montre, n'est donc pas à prendre "pour argent comptant". Comme s'il s'agissait d'une vérité, d'une bonne chose. 
Et là il faut croire que sans Dieu le discernement et la protection est bien difficile, voire impossible.
Qui ne s'est pas fait trompé, arnaqué, possédé, par une offre alléchante, par un gars ou par une fille, par une promesse (il n'y a pas qu'en politique que les promesses ne sont pas tenues, une fois qu'on a mordu à l'hameçon ! Emoji ).

EXTENSION DES DOMAINES OÙ EXERCER DE LA FOI  POUR S'ENRICHIR DE SAVOIRS... ET DE VIE !

On est toujours à avancer sur et par le principe de croire avant de savoir et pour savoir. Et on est juste en train de faire le pas qui passe d'un contenu matériel (physique et psychique) de ce qu'on croit à un contenu spirituel (qui touche au domaine des esprits, de Dieu donc, de l'après-mort, de l'éternité...).

ET DONC LA QUESTION MAJEURE DE LA VIE MORTELLE ET DE L'ÉTERNITÉ !?...
Plus conséquente que tout - on y arrive -, la question de savoir ce qu'il y a après la mort est capitale car cette échéance peut arriver à l'improviste - ça n'arrive pas qu'aux autres ! -, ouvrant sur rien moins que l'éternité.
On a vu plus haut diverses idées ou pensées, opinions, préjugés ou connaissance avérée) à ce sujet, chacun de nous ayant forcément une position, une idée (l'absence même d'idée est une forme d'idée, une façon de concevoir certaines choses par l'indifférence). Et parmi ce florilège de propositions issues d'ici ou de là, il y a FORCÉMENT, ASSURÉMENT, UNE RÉPONSE JUSTE, ce qui est LA VÉRITÉ sur ce point à la fois délicat (comme sont toutes recherches) et auquel personne ne peut éviter d'être confronté.
Comment savoir? Comment passer de croire à savoir?

Une bonne manière de procéder consiste à s'appuyant sur une approche comparée des propositions. En disposant et cherchant des informations sans faire l'impasse sur rien, dans la dynamique de TROUVER ce qui est vrai.
Car seul chercher ce qui est vrai permet de sentir et d'accéder à une conviction toute personnelle que la chose (l'information, l'affirmation, la proposition) est vraie.

La Bible insiste sur ce principe de chercher la vérité pour trouver la vérité. Par exemple dans la lettre aux Thessaloniciens on peut lire cet avertissement :
"La venue de cet impie (l'antéchrist) se fera par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers10 et avec toutes les séductions de l'injustice pour ceux qui périssent parce qu'ils n'ont pas accueilli l'amour de la vérité pour être sauvés.11 C'est pourquoi Dieu leur envoie une puissance d'égarement pour qu'ils croient au mensonge,12 afin que tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité mais ont pris plaisir à l'injustice soient condamnés."

Ainsi permettez-moi pour faciliter cette recherche, de vous donner là ma réponse, mon intime conviction, acquise par différents chemins, ce que vous mettrez en vis-à-vis de ce que vous croyez déjà et si nécessaire pour vous faire une idée bien arrêtée en vis-à-vis du contenu d'autres croyances.

En fait je n'ai rien inventé - car on n'a pas à imaginer ce genre de connaissance (universelle et préétablie) -, mais j'ai rallié ce que dit la Bible (après avoir été au préalable indifférent, ignorant, et encore en comparant ce qui se dit ici et là).

QU'ENSEIGNE LA BIBLE SUR L’APRÈS MORT (LE "POST MORTEM") ?

La Bible dit depuis le commencement, que l'âme ne meurt pas avec la mort physique. 1er exemple : Dieu dit à Caïn après qu'il ait tué son frère Abel: "Qu'as-tu fait ? La voix du sang (l'âme***) de ton frère crie de la terre jusqu'à moi.".

Dieu conduit encore la foi d'Abraham jusque dans la résurrection des morts. En lui demandant de sacrifier le fils unique qu'il lui a donné par Sarah (Isaac) afin de leur assurer une postérité, Dieu amène Abraham à croire, de manière logique, rationnelle bien que surnaturelle, qu'il ne peut lui demander cela que parce qu'il a le pouvoir de le ressusciter ensuite.

Du temps de Jésus (1 800 ans plus tard), cette descendance abrahamique, dans sa partie engagée dans la fonction religieuse (sacerdotale) est divisée sur le sujet, avec d'un côté le parti majoritaire, les pharisiens, qui croient à une pérennité de l'âme et à la résurrection des corps.
Les saducéens (alors minoritaire) ont pour leur part adopté une position "moderne", qui coupe d'avec la tradition et les textes sacrés, niant toute vie post mortem de l'âme, et donc toute résurrection des corps. Sûrs de l'option nouvelle par laquelle ils se distinguent, ils viennent tenter Jésus, pour le confondre et/ou pour le faire rejoindre leur camp:
"« Maître, voici ce que Moïse nous a prescrit : Si un homme marié meurt sans avoir d'enfants, son frère épousera la veuve et donnera une descendance à son frère.29 Or, il y avait sept frères. Le premier s’est marié et est mort sans enfants.30 Le deuxième [a épousé la veuve et est mort sans enfants],31 puis le troisième l’a épousée ; il en est allé de même pour les sept : ils sont morts sans laisser d'enfants.32 Enfin, la femme est morte aussi.33 A la résurrection, duquel d'entre eux sera-t-elle donc la femme ? En effet, les sept l'ont eue pour épouse. »
34 Jésus leur répondit : « Les hommes et les femmes de ce monde se marient,35 mais celles et ceux qui seront jugés dignes de prendre part au monde à venir et à la résurrection ne se marieront pas.36 Ils ne pourront pas non plus mourir, car ils seront semblables aux anges, et ils seront enfants de Dieu en tant qu’enfants de la résurrection.37 Que les morts ressuscitent, c'est ce que Moïse a indiqué, dans l'épisode du buisson, quand il appelle le Seigneur le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob.38 Or Dieu n'est pas le Dieu des morts, mais des vivants, car tous sont vivants pour lui. »39 Quelques spécialistes de la loi prirent la parole et dirent : « Maître, tu as bien parlé »"

La question est alors: Qui, mieux que Jésus qui a donné des signes surnaturels de sa nature divine (jointe à sa nature humaine), a pu dire autrement et aurait raison?
Et encore qui, mieux que l'Esprit de Dieu qui a enseigné et inspiré les écrivains des  la Bible, sait ce qu'il en est de ce qui se passe sur l'autre versant de tout ce qui fait le Réel ? (vous pouvez par exemple (lire ou écouter en cliquant ici ce qu'a pu écrire l'apôtre Paul de détaillé sur la 1ère résurrection)
A vous de chercher... si sa réponse christique et biblique est bonne, ou pas...

POUR NOUS AIDER À TROUVER L'HISTOIRE (BIBLIQUE) MAIS AUSSI L’ACTUALITÉ
Depuis quelques années les langues se délient dans plein de domaines. Et dans celui qui nous concerne ici aussi. On parle alors de EMI (Expérience de Mort Imminente) ou NDE (Near Death Expérience).
On pourrait surtout parler de Vie Imminente, car les rapporteurs de ces expériences faites alors qu'ils sont en état comateux ou de mort clinique, dans un ou des univers surnaturels (qui tiennent de l'enfer et du paradis), racontent qu'il y a dans ces sphères non matérielles (psychiques et spirituelles), où ce corps n'a pas sa place, plus de vie, plus de conscience, plus d'acuité de perception, qu'ici-bas.
Pour écouter de ces témoignages, tapez EMI ou NDE sur un moteur de recherche et vous pourrez rejoindre des milliers de vidéos qui forme un tel faisceau d'indices qu'on peut désormais parler de preuve que l'essentiel de notre existence et de notre être, c'est l'âme (la psyché en grec, d'où tous les mots formés autour de la racine "psy").
Ce que disent depuis l'aube des temps toutes les religions et encore aujourd'hui bien des cultures, et la Bible qui va même plus loin en disant que l'être humain créé à l'image de Dieu (qui est un Dieu Un et trinitaire en même temps) est un corps habité par une âme et un esprit...

La Bible enseigne encore qu'outre des résurrections isolées surnaturelles de morts, il va se produire pour tout le genre humain deux résurrections bien distinctes et différentes des défunts, distantes de mille ans.

PREMIÈRE RÉSURRECTION DES MORTS
Une 1ère résurrection est celle de ceux qui sont morts dans leur foi au Seigneur Jésus venu sur terre pour y mourir en tant que Sauveur, obtenant que quiconque croit en lui et en ce sacrifice totale de sa personne puisse recevoir un authentique pardon de Dieu de toutes ses fautes.

Cette résurrection donne immédiatement à qui en bénéficie un corps nouveau, tout autre, comme si en tant que conducteur on recevez d'un coup une Ferrari toute neuve, une Bentley, une Tesla, une Maserati, une Rolls-Royce...
C'est ce que la Bible déclare (que vous pouvez lire en cliquant ici). 
Cette résurrection va conduire ses heureux bénéficiaires jusque dans le Royaume céleste éternel de Dieu. La Bible donne pas mal de renseignements sur ce futur... qui devient de plus ou plus imminent, ce qui apparait par une conjonction des textes bibliques prophétiques et des principales actualités planétaires.

Ce qui pose là aussi la question de la véracité des écrits bibliques !
Écrits d'hommes (une quarantaine) qui, bien que sur une durée de 1 500 ans environ, ont pris l'initiative de faire ce livre, ou bien livre totalement inspiré par l'Esprit de Dieu pour que nous sachions, en croyant, ce qui ne peut être accessible à notre raison, à notre âme, mais qui l'est à notre esprit.
A vous de chercher, et une bonne manière de le faire est de chercher cette vérité en lisant la Bible (en commençant par la seconde partie (le Nouveau Testament) par exemple car elle est plus courte et éclaire beaucoup ce qui était resté mystérieux dans la première.
Pour ma part la réponse n'a pas été difficile du fait qu'un jour où j'étais en panne dans mes recherches et tâtonnements spirituels (genre Nouvel-âge), Dieu m'a parlé par une voix très audible, disant simplement : "Lis la Bible ! Lis la Bible !" (Je raconte la suite surnaturelle ici en descendant la page jusqu'à DIEU ME PARLE, VRAIMENT !).

SECONDE RÉSURRECTION DES MORTS
Elle est celle de tous les autres qui n'ont pas pu être de la première.
Elle interviendra après le millénium ou règne terrestre de Jésus de 1 000 ans. (comme vous pouvez le remarquer, la foi en Christ et par la Bible ne laisse pas dans du flou ou des limbes évanescentes au sujet du futur (terrestre, céleste, puis sur une nouvelle terre et sous un nouveau ciel...).

ÔTER DES OBSTACLES QUI BOUCHENT LA VUE ET PARALYSENT LE CŒUR ET LA RAISON
Mais pour entrer dans l'assurance qui est un des signes qui attestent d'une foi juste, c'est-à-dire d'une foi en ce qui une vérité, il faut d'abord que nos péchés (nos fautes morales et autres injustices et pratiques occultes) soient vus et confessés à Dieu pour obtenir de sa part un pardon véritable? Et cela dans la foi concomitante que c'est uniquement parce que Jésus est mort à cause de nos fautes, prenant sur lui tous les effets qui en résultent, dont la mort, que le Dieu éternel peut nous laver de tout.
Ainsi est-on chacun remis en règle et en paix avec Dieu, non sur quelque mérité de notre part (car toute notre justice est comme un vêtement souillé, dit le prophète Ésaïe), mais uniquement sur la base que Jésus, en donnant sa vie pour nous, a satisfait la justice de Dieu qui exige que le mal commis soit sanctionné.
Ce qui est dit ici de merveilleuse manière: "En effet, le salaire du péché, c'est la mort, mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur.". 

Désormais, ayant lu jusque là, vous avez la responsabilité de poursuivre (ou pas) dans la seule quête qui finalement est importante, car vitale (et bien au delà de ce qu'on peut imaginer), celle de chercher comment entrer en relation avec Dieu dès ici et maintenant, c'est-à-dire comment trouver ç s'établir dans une paix avec lui, ce qui seul permet de tenir les démons et Satan (qui sont des anges déchus) à distance.
Enfin faire la paix avec Dieu pour le connaître de l'intérieur, dans sa sensibilité, dans son amour, dans son repos, dans sa dynamique en notre faveur... et non seulement du dehors par ses jugements, c'est trouver comment accéder à l'éternisation qu'il désire tant de notre âme - c'est-à-dire une pérennité éternelle de notre moi-je, de notre personne consciente d'elle-même et unique.
Avec Jésus les choses sont simples. 
C'est au point où entendant et discernant l'état d'esprit d'un des deux brigands crucifiés à côté de lui, il lui répond: "Aujourd'hui tu seras avec mon dans le paradis".
A un autre, l'apôtre Paul va dire: "Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé toi et ta famille".
A d'autres l'apôtre Pierre dit: "Repentez-vous (ce qui veut dire Regrettez ce qu'a été votre vie passée tout en décidant de changer vos  manières de faire) et que chacun de vous soit baptisé pour signe du pardon de vos péchés (comme expression physique qui rend visible ce qui s'est réellement passé comme changement dans votre for intérieur), et vous recevrez le don du Saint-Esprit (qui est la vie même de Dieu, éternelle donc, qui vient s'ajouter à notre être psychique pour nous mettre à part de toutes les forces dominantes mauvaises et nous sauver de la perdition de soi qui suivra toute mort qui n'est pas marquée par cette présence divine en nous).

En toutes ces choses je n'invente rien; je n'ai fait, parmi tous les possibles proposés par les uns et les autres, philosophes, idéologues, médiums, charlatans, religions, que croire que la meilleure manière de croire consiste à considérer les écritures bibliques comme étant d'origine divine, et donc que Jésus est bien l'unique Sauveur dont nous ayons besoin pour échapper un maximum au mal présent et à venir.

Pour clore ici, un verset dans lequel il peut suffire de mettre votre nom à la place du mot "quiconque"pour que, si vous le faites en toute intégrité et foi, vous entriez (naissiez spirituellement) immédiatement dans le plan rédempteur de Dieu:
"En effet, Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle."

Si vous désirez mieux ancrer encore en conscience une telle démarche que vous venez de faire ou que vous désirerez de faire, voici en cliquant ici > un guide de prière pour vous aider à passer ainsi d'une mort (spirituelle, qui est notre lot commun) à La vie (spirituelle qui se reçoit et ne peut jamais finir). 

Soyez richement béni-e.

(Pour + mon article sur les 5 formes de résurrections en cliquant ici. Aussi si vous voulez creuser le sujet de la mort Les 5 types de mort < ici

_________________
* La Bible nous dit que Dieu a fait une alliance avec nous par Noé, lui assurant qu'il ne détruirait plus de lui-même le genre humain par de "grandes eaux" (grosses inondations, cyclone, rupture de barrage,  tsunami, pollutions mortelles...).
Ce qui signifie que lorsque de tels accidents se produisent en rapport avec l'eau, Dieu n'en est pas responsable. La cause, la responsabilité incombe à ceux qui les subissent pour les avoir suscités de la part des démons (toujours capables d'influencer les éléments naturels comme on peut le lire ici dans la Bible) à partir de leurs comportements coupables. Notamment par des pratiques graves (individuelles, collectives ou d'un groupe de responsables) que la Bible appelle des abominations parce qu'elles donnent des droits sur nos existences aux démons). Il en est ainsi des meurtres (dont l'avortement fait partie aux yeux de Dieu et de Satan), de perversités dénaturées, de diverses formes d'occultisme et autre satanisme (notamment comme il est écrit dans le livre biblique du Deutéronome au chapitre 18, à partir du verset 10).

** Rien que par cette dynamique incluse dans le vivant, la théorie athée qui pose l'évolution comme moteur du vie est intenable (sans parler de toutes les lois, organisations, complexités et systèmes découverts).
En effet avec ce que prône cette doctrine qui veut ôter à Dieu la paternité du monde et de la vie, on veut nous faire croire - toujours la croyance au départ de nos adhésions ou refus - que tout s'est fait à partir de rien uniquement par des successions infinies d'évolutions conduites par la main droite du hasard (des hasards) et par la main secondaire (gauche) des nécessités qui surviennent et obligent le hasard à se mettre à chercher sans la moindre intelligence des solutions aux problèmes posés...
Et donc comment le hasard serait-il parvenu à créer un déterminisme primordial comme est le principe de foi? Quelle nécessité aurait amené une telle évolution interne dans la nature psychique du vivant, qui n'est pas solution à une problématique particulière apparue au cours du temps, mais un universalisme préexistant à des situations et difficultés qui apparaissent dans le temps, qui s'y adapte plus que rapidement puisque c'est le principe même qui invite, appelle, déclenche toute appropriation nouvelle dans des dépassements de soi...

*** L'expression "la voix du sang" enseigne déjà ici que l'âme, le psychisme, est liée au sang, en est une émanation, le sang restant son support tant qu'il peut assurer la vie au corps. 

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14 novembre 2019 4 14 /11 /novembre /2019 11:19

Notre cœur,
comme nos pieds ou nos mains,
a besoin d'être
lavé, purifié, éclairé, régénéré...

Ce qui réjouit le cœur de Dieu, c'est qu'il puisse nous pardonner.
L'avez-vous appris ? Ne le savez-vous pas ? Le saviez-vous mais l'avez-vous oublié?

"Car, lorsque nous étions encore sans force, Christ, au temps marqué, est mort pour des impies.7 A peine mourrait-on pour un juste ; quelqu'un peut-être mourrait-il pour un homme de bien.8 Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous."

Jésus-Christ "mort pour nous" pour quoi?
Entre eux - la première raison à expérimenter: Pour nous pardonner.

Un jour j'ai vu (et entendu) un handicapé sur une chaise roulante s'en prendre avec violence (verbale) à la personne qui manœuvrait son fauteuil.
Apparemment parce que cette dernière venait de trop le secouer alors qu'il s'agissait de sortir d'un magasin ayant une marche ou deux à son entrée.

Sans doute pas facile de gérer ce passage difficile, et le jeune homme assis a-t-il pu être plus ou moins secoué et avoir mal.
Mais autant il était sans force physique pour marcher, autant il n'était pas sans animosité tapie au fond de son cœur pour réagir. C'est réellement de la méchanceté qui sortit alors de sa bouche, au point de me faire retourner.

CONNAISSANCE DE SOI

Cette image est pour moi une illustration de ce que nous sommes chacun en face de Dieu: à la fois la personne handicapée qui a besoin d'aide, et la personne qui assiste l'autre pour bien faire, mais sans expertise, et avec moultes maladresses...

D'un côté un cœur profond dont une contrariété peut rapidement atteindre et faire déborder son fond (qui est comme la lie déposée au fond d'une bouteille); de l'autre une bonne volonté à bien faire, mais avec une sempiternelle insuffisance pour réussir là où ce serait le plus nécessaire... notamment dans nos relations les plus rapprochées et obligées.

C'est ainsi que Jésus (le psy qui connaît l'être humain plus que quiconque) dit un jour: "Ayant de nouveau appelé la foule à lui, il lui dit : Écoutez-moi tous, et comprenez.15 Il n'est hors de l'homme rien qui, entrant en lui, puisse le souiller ; mais ce qui sort de l'homme, c'est ce qui le souille.16 Si quelqu'un a des oreilles pour entendre, qu'il entende.
17 Lorsqu'il fut entré dans la maison, loin de la foule, ses disciples l'interrogèrent sur cette parabole.18 Il leur dit : Vous aussi, êtes-vous donc sans intelligence ? Ne comprenez-vous pas que rien de ce qui du dehors entre dans l'homme ne peut le souiller ?19 Car cela n'entre pas dans son coeur, mais dans son ventre, puis s'en va dans les lieux secrets, qui purifient tous les aliments.20 Il dit encore : Ce qui sort de l'homme, c'est ce qui souille l'homme.21 Car c'est du dedans, c'est du coeur des hommes, que sortent les mauvaises pensées, les adultères, les impudicités, les meurtres,22 les vols, les cupidités, les méchancetés, la fraude, le dérèglement, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie.23 Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans, et souillent l'homme."

Voilà ce qui nous habite... tous ! Et qui se révèle à une occasion, dans une situation ou même une discussion ou une autre. On a vu que ça peut aller jusqu'à un coup de couteau pour une place de parking!
Certes, une bonne socialisation (éducation) peut rabaisser les pulsions qui résultent de cet état de fait générique, mais c'est dans une adversité qu'on peut réellement se découvrir... tel-le que Dieu nous voit. 

Et avec son pardon pour les faute passées, c'est aussi ce fond mauvais, corrompu, déréglé de diverses manières, que Dieu veut changer, pour nous changer.
D'une part donc, en commençant par nous pardonner chaque élément et la somme de ce qui est sorti de notre bouche et jusque dans notre comportement, tout ce qu'on a pu faire de mal, à partir et à la suite de mauvaises pensées et/ou de mauvais choix, avec notre corps (que ce soit dans la luxure ou dans la violence).
Et d'autre part, ce qui nous caractérise d'une autre manière, c'est une vraie faiblesse, congénitale, adamique, universelle, qui nous laisse laxiste où il faudrait réagir, ou au contraire qui nous met en mouvement pour ce qu'on pense être du bien, et qui va s'avérer être mal.

UNE AFFAIRE DE CONNAISSEURS   

Un autre grand psychologue avant l'heure (et psychanalyste puisqu'il a fait son analyse et peut dire ce qu'il a expérimenté en lui-même), l'apôtre Paul, décrit cela ainsi: "Car je ne sais pas ce que je fais : je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais.16 Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi (qu'elle soit celle de notre conscience personnelle ou d'une religion) est bonne.17 Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi.18 Ce qui est bon, je le sais, n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans ma chair : j'ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien.19 Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas.20 Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi.21 Je trouve donc en moi cette loi : quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi.22 Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur ;23 mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres.24 Misérable que je suis ! Qui me délivrera du corps de cette mort ?..."

N'avez-vous jamais failli, cédé ainsi, jusqu'à vous laisser entraîner dans ce que vous sentiez ou saviez être mal ?
Ou encore au contraire, ne vous êtes-vous jamais comporté comme un lâche, un peureux, un muet, là où il aurait fallu ouvrir la bouche pour défendre une situation, une cause ou une personne?

DÉVELOPPEMENT PERSONNEL

Il est important d'apprendre à être ou à devenir honnête vis-à-vis de soi-même quant à ce que nous sommes. C'est là que commence le véritable développement personnel !
Si on aspire à s'améliorer (mentalement, psychiquement ou spirituellement), il ne faut pas que ce soit une construction qu'on veuille développer sur un fondement pourri, piqué des vers... que sont ces forces intérieures mauvaises qui forment ce que la Bible appelle "le péché" (mot décrié mais très significatif puisqu'il a le sens de "manquer une cible", "passer à coté de" (ce qui est le bien véritable).

Et tant que le péché est une loi qu'on laisse librement écrite et agir, selon sa propension naturelle (psycho-génétiquement et par suite développée par nous-même), tant qu'on ne peut se maîtriser au contact des forces qui animent le monde qui nous entoure, nous sommes entraînés dans des erreurs, ses mensonges, des divagations, des pulsions malignes, des travers, des perversités et autre aveuglement...

Et le grand psy Paul expose encore de manière synthétique et parlante l'opposition qu'il y a entre le bien et le mal. C'est-à-dire entre ce qu'on peut vivre selon qu'on poursuit notre route sans la transformation surnaturelle que Dieu (le vrai, le Dieu de la Bible et non celui des religions ou des philosophes) peut opérer en nous; ou selon qu'on désire être pardonné et purifié par lui. Lisons: "Car la chair a des désirs contraires à ceux de l'Esprit, et l'Esprit en a de contraires à ceux de la chair ; ils sont opposés entre eux, afin que vous ne fassiez point ce que vous voudriez.18 Si vous êtes conduits par l'Esprit, vous n'êtes point sous la loi.19 Or, les oeuvres de la chair sont manifestes, ce sont l'impudicité, l'impureté, la dissolution,20 l'idolâtrie, la magie, les inimitiés, les querelles, les jalousies, les animosités, les disputes, les divisions, les sectes,21 l'envie, l'ivrognerie, les excès de table, et les choses semblables. Je vous dis d'avance, comme je l'ai déjà dit, que ceux qui commettent de telles choses n'hériteront point le royaume de Dieu.
22 Mais le fruit de l'Esprit, c'est l'amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance."

Par le mot "chair" il est question de notre être naturel (notre corps et notre âme), qui ne tient pas compte de la réalité de Dieu et ne peut triompher du mal par le bien car nous sommes chacun habités par cette loi terrible dite "du péché et de la mort."

Par le mot "Esprit" il est parlé de l'Esprit même de Dieu qu'il donne à ceux qui veulent entrer et entrent effectivement dans son plan de rédemption de nos âmes et personnes.

Le verset suivant nous expliquant: "24 Ceux qui sont à Jésus Christ ont crucifié la chair avec ses passions et ses désirs.

Dès lors que Dieu nous donne de voir aussi clair entre ce qui est bien et ce qui est mauvais pour moi et en moi, va-t-on rester ce que nous sommes - c'est-à-dire la personne pécheresse dont on a lu les descriptions, ce que je suis par nature et encore ce qui a été fabriqué dans mon intérieur par une culture et/ou par une religion?

Ou bien veut-on que Dieu nous adopte? Veut-on qu'il nous donne de repartir tout à nouveau, en mettant le compteur de nos péchés à zéro?

TRANSFORMATION DE SOI

Rien de religieux là-dedans!
Il s'agit seulement que nous trouvions ou retrouvions comment vivre en relation avec Dieu. C'est-à-dire dans une relation vivante (vivifiante, purificatrice, sanctifiante, apaisée, réjouissante...) avec ce Dieu véritable qui veut nous enrichir de son propre Esprit.

C'est pourquoi, quand ils veulent savoir comment entrer au bénéfice de la rédemption obtenue pour nous en sa mort par Jésus, l'apôtre Pierre dit à ses auditeurs ce que la Bible nous rapporte ainsi: "Après avoir entendu ce discours, ils eurent le coeur vivement touché, et ils dirent à Pierre et aux autres apôtres : Hommes frères, que ferons-nous ?38 Pierre leur dit : Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint Esprit.39 Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.40 Et, par plusieurs autres paroles, il les conjurait et les exhortait, disant : Sauvez-vous de cette génération perverse.41 Ceux qui acceptèrent sa parole furent baptisés ; et, en ce jour-là, le nombre des disciples s'augmenta d'environ trois mille âmes.42 Ils persévéraient dans l'enseignement des apôtres, dans la communion fraternelle, dans la fraction du pain, et dans les prières."
"Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles.18 Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation.19 Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation.20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu."

Voilà tout "l'Evangile" de Jésus-Christ (mot venant du grec qui veut dire Bonne nouvelle). Ces passages en sont son cœur, qui expriment le cœur de Dieu, vérités à partir de quoi quiconque veut être honnête et sauvé de la perdition dans laquelle nous naissons tous et risquons de finir, peut s'impliquer, s'insérer tout personnellement dans ce plan de rachat de nos personnalités en risque et état de perdition.

En cliquant ici vous avez un guide de prière si vous désirez faire cette démarche toute personnelle qui permet d'obtenir le pardon de nos fautes et de recevoir la vie de l'Esprit de Dieu qui fait de nous des "nouvelles créatures" (qui seront ici-bas des enfants adoptifs de Dieu et vivront par la suite leur maturité, dans un nouveau corps glorifié, dans le Royaume éternel de Dieu, ce qu'on appelle le Paradis). 

Soyez béni-e, et sauvé-e.

Pour lire la Bible si vous en êtes totalement ou largement ignorant, je vous conseille de commencer par le Nouveau Testament (sa 2e partie) et par un des quatre évangiles - par exemple en cliquant ici: 1/ Évangile selon Matthieu - 2/selon Marc - 3/selon Luc - 4/selon Jean...

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2 octobre 2019 3 02 /10 /octobre /2019 17:55

Avez-vous suffisamment vécu
pour remarquer cette chose effarante, qui ne manque pas d'apparaître
un jour ou l'autre :
Un jour vous avez tout gâché !?

Plus génériquement :
On gâche tous plein de choses. 

 

Cela vous est-il déjà arrivé-e personnellement de manquer le coche et de perdre gros comme on dit ?
D'abîmer, de dégrader, de salir, accidenter, mettre parterre un projet, une affaire ou une bonne relation ?...

Cela a-t-il été suffisamment important, ou répété pour vous rendre compte que vous avez un vrai problème en vous-même ?

Je l'espère pour vous !
Car vous n'êtes pas une exception : cette problématique est la règle pour tous !

Ne croyez pas que vos ami(e)s, confrères, collèges, tout ceux que vous connaissez de près ou que vous voyez à la télévision, au cinéma, sur scène ou une estrade... différent sur ce point : On est tous des maladroits, des insensés, des débiles même, des mal-inspirés, des casseurs de quelque chose ou de quelqu'un... bref des insuffisants, que ce soit dans nos pensées, dans nos choix, nos visées ou notre quotidien obligé.


Depuis deux générations surtout, on a été de plus en plus formatés dans l'idée : Difficulté = tu t'en vas voir ailleurs (au lieu d'affronter).
Problème de couple: Basta, l'amour ça dure pas, alors on casse, on coupe, on divorce... et si c'est possible, on peut même en profiter au passage pour en retirer un pactole !
Quelle horreur que les mentalités faciles, de la démission, du zapping, "du bout de chemin", de la "liberté" qui se reprend malgré des engagements (ou des enfants), tant de concepts égocentristes, sans coeur, superficiels, dont nous nourrissent les médias,  les films, les livres, notre entourage boosté par les mêmes informations déstructurantes (des personnes et des sociétés)...

Et bien sûr les conseilleurs ne sont toujours pas les payeurs !
Car un jour ou l'autre, le mal qu'on fait nous revient, comme un boomerang, voire comme une tempête dès lors qu'on a semé un mauvais vent...
Parce qu'il y a une "justice de la vie" - pour ne pas dire plus précisément une justice divine, qu'on y croit ou qu'on croit autrement.

Et cela parce qu'on est tous habités par une étrange force à mal faire, à rater, à gâcher, qui agit en nous jusqu'à s'imposer à notre volonté propre, ce que la Bible appelle force ou "loi du péché". Pécher signifiant Manquer un but, passer à côté d'un objectif ou d'un (vrai) gain intéressant (comme la paix, l'amour, une bonne entente...)
Rien de religieux là-dedans ! Mais du spirituel oui.

Ainsi il se trouve que seule et longtemps avant toute approche psychologique de la personne, la Bible (qui n'est pas un livre religieux mais un livre spirituel) met en évidence cette caractéristique de notre condition humaine commune.
Ce qui fait qu'on se montre - voire qu'on se surprend -, et généralement à des moments cruciaux, à prendre la (plus) mauvaise décision ou à avoir la (plus) mauvaise réaction.
On intervient alors qu'il aurait fallu se taire ou ne pas bouger, ou on ne répond pas alors qu'il aurait été mieux de s'expliquer...

Et donc quel psy ou quel livre bien intentionné, quelle loi morale, laïque ou religieuse, quelle idole, quel gourou, quelle belle résolution, quel vœu, quel thérapie ou quel moyen intermédiaire, peut nous permettre de devenir un vrai gagneur ? (Un vrai gagneur qui se réjouit avec bonne conscience, qui trouve son repos dans ses bons choix).

Qu'est-ce qui peut réellement nous changer, car il ne suffit pas de savoir, d'avoir de la connaissance pour changer !? On a besoin d'une vraie force...

LE MEILLEUR DE CE QUI EST POTENTIEL

La mauvaise nouvelle c'est qu'il n'y a rien qui puisse nous libérer d'une force à mal-faire récalcitrante si on cherche seulement autour de nous... ou en nous ! Même pas une religion* !

Mais la bonne nouvelle c'est qu'il y a quelqu'un qui peut faire beaucoup pour nous aider, nous changer, voire nous transformer !
Parce que lorsqu'il s'agit de choisir entre résister ou lâcher-prise, et qu'on sait qu'on n'a pas la clé de la bonne réponse en nous-même, il ne reste plus qu'un plus grand que nous (les hommes ou les femmes) pour nous aider, nous éclairer, voire pour résoudre tout problème à notre place.
Et cette force (d'intelligence, de sagesse, de discernement, d'à propos, d'amour, c'est la personne (toute spirituelle) qu'est l'Esprit de Dieu (ou Esprit-Saint).

Non pas notre esprit qui ne fait pas le poids, ni dans notre quotidien ni dans nos plus dures batailles, mais bien l'Esprit divin, c'est-à-dire Dieu lui-même en son expression mobile et agissante au pus près de nous, et jusqu'en nous.

ATTENTION A NE PAS SE LEURRER
Un mensonge qui fait bien son chemin de nos jours, c'est qu'on a tous en nous le potentiel nécessaire pour tout vaincre, le divin à éveiller, la force enfouie qui peut nous faire triompher en toutes circonstances, entrer dans la réussite ou dans nos rêves... pourvu qu'on pense positivement ; pourvu qu'on lâche-prise ; pourvu qu'on pardonne ; etc... !
On vous dit ainsi qu'il suffit de s'approprier soi-même ces choses bonnes pour changer de vie, mais cela n'a de puissance que dans une relation avec Dieu, mis en œuvre avec lui et par lui, car tout cela est tiré (volé, sorti de son contexte !) de la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ qu'est l’Évangile.

Et si certains réussissent en effet, ce n'est pas seulement parce qu'ils ont trouvé la force en eux simplement en la cherchant ; c'est parce qu'ils ont hérité de bénédictions (sans forcément le savoir et/ou s'en rendre compte).
Or les bénédictions de certains ne sont certainement pas les bénédictions des autres ou pour tous. C'est en réalité une erreur ou un mensonge qu'une personne qui réussit dise qu'on peut tous réussir comme elle !

Car on vient tous de lignées (phylums génétiques) plus ou moins bénies, surtout le plus souvent pas mal maudites, plombées par le mal fait par l'un ou l'autre ou plusieurs de nos ascendants (malédictions qui se poursuivent possiblement jusqu'à 3 et 4 générations, voire jusqu'à 10, si rien n'est fait pour les couper, les exorciser.

Et d'une manière générale, on est tous marqués, si ce n'est dans notre corps du moins dans notre âme ou notre esprit, par la malédiction tombée depuis l'origine sur tout le genre humain...
(Cette vue des plus répandues est introduite ou développée dans d'autres articles de ce blog).

Et donc pour certaines choses problématiques, certains travers, déviances, force d'impiété et/ou qui empêche de tenir dans l'équité (ce qui est juste), aucune homme ni aucune femme ne peut être suffisant-e à invoquer, si on y recourt, pour changer nos comportements qui nous causent du tort.
Et si on ne le réalise pas suffisamment, la mort est là comme obstacle suprême à notre existence personnelle pour nous montrer notre insuffisance notoire pour subsister sans fin.

C'est donc de Dieu lui-même dont nous avons besoin, et c'est la raison pour laquelle Jésus est venu, Parole spirituelle éternelle et céleste de Dieu qui s'est donnée pour nous, et que l'Esprit de Dieu a transmuée en une personne humaine, ce qu'on appelle l'incarnation.

Ainsi revêtu de notre humanité, le péché excepté, Jésus est venu afin que nous ne soyons plus toujours dominés par cette propension générique à mal faire. 
C'est au point où on peut savoir que "le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur. "

LA RAISON MAJEURE DE LA FOI

On a vu par ailleurs que la foi est un principe majeur de notre existence : on fait tout en exprimant ce qu'est la foi : apprendre à marcher, à nager, les maths ou la musique, manger le pain ou les fruits qu'on achète, monter une affaire ou se marier... Bref, tout mouvement de vie tient de la foi en un avenir ou devenir qu'on ne peut maîtriser mais sur quoi on pense avoir le dessus malgré des oppositions et autres difficultés toujours possibles.

Et donc en conscience, la grande question pour chacun de nous est de parvenir à la foi qui a pour objet de croire en Dieu et en ce qu'il nous fait savoir (vérité) comme moyen pour être sauvé-e des effets maléfiques, des conséquences graves, de nos fautes, dans l'ici et maintenant et dans l'après-mort. 
(Pour une étude détaillée significative sur ce qu'on appelle la mort sans trop savoir de quoi on parle, voyez ici l'article intitulé "Les 5 types de mort")

NE GÂCHEZ PAS LA CHANCE INOUÏE OFFERTE PAR LE CIEL, D'OBTENIR DE VIVRE ÉTERNELLEMENT LA FUTURE CRÉATION

Car telle est bien le point culminant, le sommet le plus haut, le point vernal, l'apex, la finalité de cette existence temporaire qui nous a été donnée par deux parents : entrer en conscience dans un projet éternel de Dieu pour notre propre vie !
On peut le lire ainsi par exemple :
"Car Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne soit pas perdu mais qu’il ait la vie éternelle.17 Dieu n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour condamner le monde, mais pour sauver le monde par lui.18 Celui qui croit au Fils n’est pas condamné ; mais celui qui ne croit pas est déjà condamné, parce qu’il n’a pas cru au Fils unique de Dieu.19 Voici comment la condamnation se manifeste : la lumière est venue dans le monde, mais les hommes préfèrent l’obscurité à la lumière, parce qu’ils agissent mal.20 Quiconque fait le mal déteste la lumière et s’en écarte, car il a peur que ses mauvaises actions apparaissent en plein jour.21 Mais celui qui obéit à la vérité vient à la lumière, afin qu’on voie clairement que ses actions sont accomplies en accord avec Dieu."

Pour découvrir ou revoir les conditions du salut de votre âme (votre moi, votre personne), vous pouvez encore cliquez ici et soyez béni-e dans votre lecture pour que vous en soyez (si cela ne s'est pas encore produit) profondément, bénéfiquement et durablement changé-e.

 _____________________
* Sur la différence entre la religion qui oblige à des comportements et rituels (ce qu'on appelle des œuvres de religion) et la foi qui sauve sur la base établie par Dieu, écouter en cliquant ici ou en cliquant là.

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24 septembre 2019 2 24 /09 /septembre /2019 11:48

suite de l'article commencé ici.

Albert Einstein dit qu'il y a deux manières de vivre : En voyant tout comme un miracle (c'était sa vue des choses) ; et en ne voyant rien comme miraculeux.
Et quand on sait que notre regard personnel part à priori d'un conditionnement sociétal (nécessaire) au milieu duquel on est né et qui nous a formés (formatés parmi ce qui est bien et juste et bon, et parmi ce qui est mal et problématique), on peut envisager avec quelque sagesse de peut-être bien avoir des choses à revoir dans notre manière de voir.

Il faut bien entendre (si ce n'est dèjà comprendre) que la manière de voir occidentale, matérialiste,laïcisée (c'est-à-dire agnostique et/ou athée) nous a donné très possiblement un champ visuel rétréci des réalités ! Une aberration de vue !?...

Car malgré tant de merveilles dans l'univers, au cœur de toutes les complexités, organisations et connexions fantastiques, on vit tant de gâchis ! Tant d'incompréhension. Voire de sidération.

Et cela, on peut se le dire, comme résultat d'exercices insensés de notre liberté, de nos beaux et bons moyens (intellectuels, affectifs, physiques, financiers...) déployés sans se soucier de Dieu et de ses lois (physiques, physiologiques, psychologiques, morales, spirituelles) ! Libertés libertaires et liberticides, constatent même des incroyants.
Même la dégradation des équilibres climatiques et ses effets dévastateurs plaident contre nos comportements !
Lire à ce sujet ce verset des plus significatifs.


Malheureusement, globalement (ensemble), on n'a pas fini d'en découdre avec de ces situations dramatiques nouvelles, conséquences directes de nos anciens et derniers égarements dans la liberté, de nos aberrations de vue, de nos conceptions controuvées, de nos partisanismes réducteurs et diviseurs.

Conséquences de ce qu'on part d'un point de vue insuffisamment large, non panoramique, qui n'embrasse pas tout le Réel (formé du créé et de l'Incréé).

Liberté conséquente dans notre rapport à ce qui nous environne.

Tant que notre conception de la liberté n'intègre pas que la plus grande liberté est intérieure, au plan de notre être profond (plus que par nos mouvements, par ce qu'on peut faire), en rapport de notre comportement dans notre environnement, on est coincés et en danger du pire (chacun ou ensemble).

Tant qu'il nous manque une révélation, une expansion de conscience jusqu'au Divin, on ne peut vivre un re-ajustement et une conformité aux vérités divines (intrinsèques, existantes en soi, objectives) avec lesquelles notre part lucide et consciente (responsable) est de s'harmoniser, comme moyen pour accéder à la paix, voire à un bonheur nouveau, plus durable.

Paix et bien-être se rejoignent en nous, quand nous modélisons volontairement nos comportements libres sur les fondements et critères préétablis par le Créateur pour créer en nous du bonheur - de son bonheur.

Comment être heureux de jouer au foot (ou autres) si on en ignore ou bafoue les règles ?

Le bien se trouve dans le cadre où par détermination il se manifeste, comme résultat, comme émergeant des lois-cadres préalables de tous ordres connues et respectées.
Respectées car reconnues comme indispensables à la bonne organisation et gestion de tout ce qui nous précède, et de ce qui suit, au sein desquelles notre liberté peut se déployer de bonne manière. C'est-à-dire en des découvertes vivifiantes (et non aliénantes), des jeux (simples, sains, et non de guerre et de vidéo), des rencontres (qui édifient), des combats certes mais avec des victoires, de la souffrance encore sans doute mais comprise et non plus transcendante.
Avec aussi des sentiments et contacts d'ordre divin surprenants, inconnus, éclairants, enthousiasmants ; avec une éducation et des connaissances nouvelles, qui s'édifient à partir de et sur un rocher et non plus sur des sables mouvants.

Pourquoi Jésus et ses paroles ont-ils le rocher comme image des fondements qu'ils représentent ?

Revoir sa copie donc pour des ouvertures d'entendement, des ouvrages de dimension éternelle, petits pour commencer mais susceptibles de se déployer en d'innombrables développements d'envergure puisque jusque dans l'au-delà de cette existence terrestre, sans fin.

Avancer en prenant le meilleur courant

Pour l'heure, ici, maintenant, se vivent dans le même temps et sur les mêmes espaces, dans l'invisible qui fait l'âme du monde (anima mundi) deux courants.
L'un, à voie unique, courant de vie (comme Dieu l'appelle), l'autre (à bras multiples) courant de mort.
Il n'est que regarder et écouter ce qui fait le fond et les mouvements de notre société agitée, largement angoissée, stressée, surexcitée ou déprimée, trop dure ou trop molle... pour constater une quasi omniprésence des troubles et même du mot mort, réalité et perspective qui court d'avant même que l'on vienne au monde et jusqu'à l'abrégement du dernier souffle.

Et comme la mort et le mal-vivre et les manques sont trop partout, on veut de plus s'inventer de la vie à notre manière, par des acharnements thérapeutiques, d'un bout à l'autre de l'entrée et de la sortie de ce monde, et entre deux en légalisant toutes les fuites imaginées (vente libre de drogues jusque là illicites, professionnalisation de la prostitution, etc...).

Mais ça ne va pas durer toujours

La patience de Dieu est très très très grande, mais il va devoir mettre un terme à l'exercice de notre liberté collective dans la mesure où les plus puissants vont déployer leurs forces (d'intellectuelles à armées) au détriment de la liberté du plus grand nombre.
Dans la mesure aussi où les pratiques des uns et des autres ne vont plus engendrer que du mal, des souffrances nouvelles, des déchirements, des crimes subtiles, de la manipulation, des pressions, des abus intolérables - car Dieu, s'il tolère beaucoup de choses, ne tolère et ne tolérera pas tout.

Car par tous nos développements sans conscience du bien et du mal, c'est toujours plus à Satan et aux démons qu'on ouvre des portes, qu'on concède de la puissance - puissance du mal malgré tout ce qu'on peut croire et avoir comme bonnes intentions, comme humanisme.

A quoi il faudra bien évidemment un coup d'arrêt venant du Ciel le plus haut.

L'histoire nous rapporte que ce genre de coups d'arrêt venant du Ciel est déjà apparu dans des proportions significatives : le déluge du temps de Noé - la confusion du langage humain lors de la construction de la Tour de Babel - la destruction de villes entièrement soumises à des démons comme étaient devenue Sodome et Gomorrhe - l'engloutissement de toute l'armée du Pharaon qui voulut se lancer à la poursuite des hébreux sortis libres de l’Égypte antique sous la conduite de Moïse.

Que le parlement européen à Strasbourg ait la forme d'une tour inachevée (qui reprend une peinture ancienne figurant la Tour de Babel) ne vous parle-t-il pas sur la prétention - réitérée - des hommes associés au monde occulte face à un ancien jugement de Dieu (qui a fait la confusion et multiplication des langues dans le monde) dont on veut se libérer par notre propre capacité !?

... et à des degrés moindres, Dieu n'a jamais cessé de (faire) stopper des iniquités devenues criantes, ou dès lors que des malheureux crient en faisant entendre leur détresse jusqu'au Ciel. (lire le psaume 107 par ex.)

Un futur fantastique s'en vient

On a du déjà comprendre que les lendemains qui auraient du chanter ne sont toujours à portée ni de nos bonnes idées, ni de notre coeur, ni de nos rêves, ni de notre porte-feuilles... Car on sait casser mieux que construire ! Plus on s'éloigne des ordres basiques divins, plus on s'enfoncent dans les divisions et marasmes.

Mais pour demain - très bientôt - sont aussi annoncés des temps prodigieux... pour qui a décidé de suivre Jésus. Une (première) résurrection d'entre les morts pour eux, et en même temps un enlèvement céleste fabuleux pour ceux qui vivent sur terre quand cela arrive.

Sortie des tombeaux (oui oui, aussi surprenant qu'il y parait et que ce sera) et retrait de ce monde (devenant trop corrompu et méchant et pervers) des chrétiens vivants informés et préparés à cet événemen : les uns comme les autres rejoignant leur Sauveur dans les airs. (voir Matthieu chap. 25 ; 1Thessaloniciens chap. 4, vers. 13-17 ; 1Corinthiens chap. 15).
C'est aussi cela le vrai Dieu auquel nous pouvons croire !

Pas besoin d'inventer de la science-fiction ou des émissions ou séries TV pour avoir des sensations authentiques !
La suite de l'histoire humaine n'a pas fini de nous paraître étrange, surréaliste, irréaliste, sidérante, prodigieuse, inouPie...
Les années 2020 ne vont pas manquer de piment, et "le sel de la terre" que sont les chrétiens, laisseront la place à la moutarde qui monte au nez ou au poivre noir ou au vinaigre millésimé !... Et ça vient très vite.

Les choses sont déjà en crises, en souffrances accrues, psychologiques surtout, en perte de sens, insécurisées déjà... aussi afin qu'on se réveille de notre somnambulisme et qu'on croit et cherche la vérité sur Dieu et sur notre réalité (passagère et en danger d'extermination) MAINTENANT !

Avec Dieu, chaque jour est encore pour nous "un aujourd'hui divin", où le mal peut être changé en bien, oùil peut se manifester de manière gracieuse d'une manière ou d'une autre ! Si vous le cherchez de tout votre cœur, il n'est pas loin de vous...
Sinon, quand le temps de la grâce sera clos, le mal et les maux, les souffrances, n'auront plus une capacité aussi ouverte pour qu'en sorte du bien, pour que nous puissions recevoir l'Esprit de Dieu qui est la vie éternelle.  

"et en même temps..." comme dit quelqu'un

Il y a donc bien mieux à faire qu'à jouir (si on y arrive encore !) et à souffrir (sans comprendre, ce qui est de plus en plus) sous les auspices de la permissivité divine !
Il ne faut surtout pas croire que les horreurs de 39-45 et de la Shoah ne seront plus jamais !
Il ne suffit pas de dire "Plus jamais ça" ! Ou "C'est insupportable !", pour que cessent les plus sombres déploiements du mal. Il ne suffit pas de se divertir pour fuir le réel, de se clore dans le déni du Réel, pour bien s'en sortir !

Quand on sent que ça va mal, on peut avoir des réactions extrêmes, très différentes mais génériques. Comme se suicider ou chercher du plaisir à tout va ; différentes trouvailles pour partir dans l'inconscience face au réel immédiat ; surtout sans la moindre conscience que de l'autre côté, au bout du déni qui conduit à une mort certaine, la vie se continue, l'âme ne meurt pas, c'est-à-dire qu'on continue à vivre notre dimension psychique, désincarnée mais de manière très lucide, en rapport de nos options de libertés terrestres.

Ce qui fait postérieurement ce qu'on appelle de manière générique paradis ou enfer. Plus précisément ré-union en Dieu, ou descente au séjour des morts (l'hadès grec tenu par des démons)...

Ainsi le vrai enfer et le vrai paradis n'existent pas ici-bas. On en trouve cependant des images très significatives, suggestives, sensibles, les unes pour nous attirer au réel du Royaume de Dieu à venir, les autres pour nous effrayer afin de nous détourner des voies malsaines qui y conduisent.

C'est là que doit intervenir la foi.
Car elle permet de croire et/ou d'expérimenter que Dieu existe réellement, qu'on peut en connaître les caractéristiques, les plans et les pensées. Et encore qu'on peut vivre déjà maintenant par le don de son Esprit des expériences d'une relation restaurée, vivante, dynamisante, surnaturellement apaisée et aimante avec lui, en sa divine tri-unité.
Des expériences d'un secours certain, d'un enseignement réellement parlant (parce que véridique), de réponses (souvent inattendues mais toujours opportunes, même quand elles sont silence - épreuve de la foi).

Tout un relationnel vivant dès lors qu'on est vivifiés par l'Esprit reçu et rapprochés sans obstacles entre lui-nous et l'Esprit-Dieu.
Relationnel pour des échanges dans l'éducation (une nouvelle éducation) et dans l'amour (maîtrisé, contrôlé, soutenu), dans les découvertes (de soi et de Lui, et du surnaturel démonisé), dans notre transformation chrysalidique...
Toutes choses qui vont bien au delà de nos mérites et de nos capacités (à bien faire et à mal faire), de ce qu'on comprend du Réel et de nos limitations à le dépasser (comme on fait voler un avion malgré la contrainte naturelle de la gravité).

Jésus dit "Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ;32 vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira... Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres. " Évangile selon Jean, ch. 8.

L'apôtre Paul explique "Ce sont des choses que l'oeil n'a point vues, que l'oreille n'a point entendues, et qui ne sont point montées au coeur de l'homme, des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l'aiment. 10 Dieu nous les a révélées par l'Esprit. Car l'Esprit sonde tout, même les profondeurs de Dieu. 11 Lequel des hommes, en effet, connaît les choses de l'homme, si ce n'est l'esprit de l'homme qui est en lui ? De même, personne ne connaît les choses de Dieu, si ce n'est l'Esprit de Dieu. 12 Or nous, nous n'avons pas reçu l'esprit du monde, mais l'Esprit qui vient de Dieu, afin que nous connaissions les choses que Dieu nous a données par sa grâce. 13 Et nous en parlons, non avec des discours qu'enseigne la sagesse humaine, mais avec ceux qu'enseigne l'Esprit, employant un langage spirituel pour les choses spirituelles.
14 Mais l'homme animal ne reçoit pas les choses de l'Esprit de Dieu, car elles sont une folie pour lui, et il ne peut les connaître, parce que c'est spirituellement qu'on en juge. 15 L'homme spirituel, au contraire, juge de tout, et il n'est lui-même jugé par personne." 1Corinthiens ch. 2

"Or, le Seigneur c'est l'Esprit ; et là où est l'Esprit du Seigneur, là est la liberté. "

Avez-vous reçu l'Esprit de Dieu pour le connaître et être sauvé-e dès ici-bas et éternellement ?
Surtout ne restez pas dans la position inconfortable qui consiste à avoir hérité (ou même choisi) une religion (quelconque) car aucune religion ne peut sauver personne.
Car aucune n'a de force en elle-même pour rendre libre du péché, pour faire sortir quiconque de l'aliénation psycho-génétiquement héritée d'Adam.
Personne que Dieu pour, ultérieurement, bientôt, nous ressusciter d'entre les morts ou nous soustraire surnaturellement hors des tribulations virulentes qui s'approchent d'un monde sans désir de Dieu, et de plus en plus sans frein.

Bonne suite, au plus vite dans la grâce du Dieu vivant. Qu'il vous bénisse en cet instant.

 

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17 septembre 2019 2 17 /09 /septembre /2019 17:27

Rien ne peut être plus moderne, post-moderne, contemporain, que la solution de Dieu aux problèmes humains, personnels et génériques.

 

Solution qui n'est ni dans une religion, ni dans une idéologie humaniste, ni dans quelques concepts érigés en normes dogmatiques, mais en une personne.


Une personne unique, par sa naissance surnaturelle, par ses bienfaits (sans fin) prodigieux, par son message (toujours) révolutionnaire, par sa mort qui fut le plus grand don jamais fait au genre humain, et par sa résurrection (éternelle) ; nombre de lecteur/lectrice savent déjà que je veux parler de Jésus - le Messie d'Israël et Christ parmi les nations.

 

Rien de plus actuel dans toutes les actualités comme possibilité toujours ouverte de solution aux besoins les plus criants, aux difficultés les plus complexes, dans les pressions, les contraintes, les combats, les fausses libertés, les obsessions, oppressions et autres cas de possession.

 

Rien de plus universel et puissant... Sauf que ce potentiel immense demande, comme pour déclencher l'explosion d'une bombe atomique, le positionnement, le geste, l'appel ou la réponse de la personne concernée.

 

Dans tous les domaines où on pense, parle et agit, ce pas de la part de la personne concernée s'appelle la foi.

LE PRINCIPE UNIVERSEL LE PLUS MÉCONNU !

La foi est ce principe universel dynamique déposé par le Créateur au cœur du vivant qui s'active d'abord en pleine inconscience de sa réalité - le jeune enfant qui se lance pour marcher, puis pour apprendre à nager ou à écouter ce qu'on lui enseigne à l'école...
Puis on avance par la foi de plus en plus en plus en conscience, des risques, des incertitudes, des calculs, des convictions - que ce soit pour monter dans un avion, pour démarrer une entreprise ou se marier, pour faire des recherches scientifiques, pou se faire opérer, pour commercialiser ou acheter un produit, jusque pour manger le pain, la viande ou les légumes trouvés sur les marchés (possiblement toxiques ou mortels)...

Et ainsi, foi actionnant jour après jour, notre part de créature intelligente, libre et responsable, est-elle que nous activions volontairement ce principe qui permet de bouger, de se positionner, d'avancer (ou de freiner) jusque dans la dimension spirituelle du Réel. Savoir jusqu'à croire en Dieu et se mettre à chercher à le connaître afin de lui permettre de toujours plus paraître existant et vivant à notre âme et dans notre quotidien.

 

Aujourd'hui, personne ne peut dire qu'on ne peut pas savoir au sujet de Dieu, de la connaissance de soi ou de la vie (psychique et spirituelle) après la mort (physique, physiologique).


Pour nous la connaissance est partout sur internet, dans les médiathèques, par des enseignements et des témoignages multiples de personnes qui racontent en toute sincérité quelles expériences elles ont faites de la réalité de Dieu ou de l'au-delà.

 

Et parmi tous les moyens facilement accessibles, la Bible tient depuis des siècles la première place avec un nombre de traductions, d'impressions et de lecteurs/lectrices inégalé.

ACTIVER SA FOI POUR LE MEILLEUR

Alors !? Que vous reste-t-il à faire pour devenir un homme, une femme, qui connaisse le pourquoi de sa présence dans ce monde, dans ces circonstances, avec ces facilités et ces difficultés ?
Pour devenir une personne qui trouve la solution à ses problématiques les plus immédiates, et sache de plus dans quelle éternité son existence peut se terminer - de la pire ou de la plus sublime manière possible ?

 

Ce ne devrait pas être la peur qui nous pousse vers Dieu !
Ce devrait être une saine curiosité, une intuition, un désir de connaissance, voire une difficulté qui nous submerge.

 

Dieu est bon, et il répond en ouvrant notre conscience à sa réalité à partir de bien des raisons... pourvu qu'il n'y ait pas en nous de fraude, de duplicité, de faire-semblant... On ne peut le tromper !

 

Nous allons de plus en plus vite vers des temps difficiles, voire terribles, que ce soit au plan sociétal ou au plan individuel.

Et cela aussi parce que quand ça roule cool pour nous, on n'a pas le sentiment d'avoir besoin de Dieu... alors qu'on reste quand même sans cesse en souffrance, en mode insatisfaction, en risque de mourir par un accident ou un autre, et donc de partir dans l'éternité sans savoir dans quel contexte nous allons aboutir (royaume divin ou principauté démonique).

 

Alors n'attendez pas d'être pris de court, d'être sans recul possible pour faire un choix lucide, ne prenez pas le risque de voir votre existence personnelle vous échapper - alors même que votre vie (votre moi, votre âme et votre corps) peut être éternisée par Dieu, pour vivre sans fin ses bienfaits, ce que sera le meilleur de tout ce pour quoi vous et moi aurons eu à subir ici-bas des temps et des choses bien difficiles.

 

Bonne réflexion, bon positionnement, cherchez le meilleur de votre éternité.

 

Article annexe ; Les 5 types de mort

Guide pour prier en vue de connaître Dieu

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14 septembre 2019 6 14 /09 /septembre /2019 09:48

Lien vers un article que je vous invite à découvrir (avant d'en lire ci-dessous mon commentaire) > C’est bon pour la morale, c’est bon, bon

Commentaire :
"
Vue lucide qui devrait la rendre ou la donner à plusieurs. Car c'est un fond de la connaissance de soi que :

1/ ce qu'on reproche aux autres, c'est le plus souvent notre propre problème. Fondement > La Bible, Nouveau Testament, lettre aux Romains (que nous sommes tous !?) ch. 2, vers. 1.

2/ La Loi (ou religion) est "un ministère de mort" (dans la même section du même livre, 2e lettre aux Corinthiens (nous en sommes tous !?) vers. 6 à 9, "un ministre de condamnation". Si l'humanité comprenait ce passage, la face de la terre en serait changée !

3/ autre expression biblique de cette loi fondamentale (universelle, élémentaire, de notre psychologie) : "la Loi (ou religion) produit (ou provoque) la colère" (lettre aux romains que nous... chap. 4, vers. 15).

Ce que les faits prouvent absolument.

Par Loi il faut comprendre TOUTES lois dans ce qu'elles ont d'ordre MORAL, qu'il s'agisse de ce qu'on appelle religion, ou de ce qu'on appelle laïcité (D'ailleurs le "philosophe" Peillon a nettement vu la laïcité comme une religion en devenir...).

La clé donc face à toute loi qui est ou qui se veut morale, se trouve dans la compréhension de : Pourquoi Dieu permet des système religieux (religieux ou athée) ?

La lettre le dit aux Romains qui veulent savoir (ch. 5, v. 20) : "La loi est intervenue pour que l'offense abondât..."
Pourquoi ?

Pour que, notre conscience perso étant endormie ou séquestrée (par exemple par e conditionnement sociétal qui nous a construits), une loi écrite, lisible, extérieure à nous, vienne nous montrer que plus on veut être et se conduire en être moral, plus ce qui est tapi au fond de notre cœur (que la Bible appelle "la loi du péché") monte à la surface, afin que nous ne nous leurrions pas sur nous-même !

Et tout ça est bon... si on est intègre de cœur, désireux de se voir tel qu'on est véritablement. Sinon, on sait (normalement) ce que Jésus a dit les religieux...

Mais pour les intègres qui veulent en sortir, l'apôtre Paul (un religieux passé à la Grâce de Dieu) a observé, analysé et écrit le descriptif magnifique (communiqué aux Romains, ch. 7, vers. 14 à 25) :

"Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle ; mais moi, je suis charnel, vendu au péché. Car je ne sais pas ce que je fais : je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais. Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne. Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi. Ce qui est bon, je le sais, n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans ma chair : j'ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien. Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi. Je trouve donc en moi cette loi : quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi. Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur ;mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres. Misérable que je suis ! Qui me délivrera du corps de cette mort ?...
Grâces soient rendues à Dieu par Jésus Christ notre Seigneur !...
Ainsi donc, moi-même, je suis par l'entendement esclave de la loi de Dieu, et je suis par la chair esclave de la loi du péché.".

Voilà tout le sens de la religion, de notre condition problématique dominé par les forces obscures qui nous habitent (d'autant on n'a pas ou plus de fondement du bien en nous), et de la Bonne nouvelle de la Grâce qu'apporte Jésus à quiconque aspire à (re)trouver son identité véritable, primordiale, de créature de Dieu.

Bref un article que j'apprécie au point de le mettre en lien sur mon blog... avec ma réponse. Merci Franck C."

Cher lecteur, lectrice, soyez béni-e.

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3 septembre 2019 2 03 /09 /septembre /2019 14:32

Cet article est la suite de > cliquez ici

LA FOI, PRINCIPE UNIVERSEL DU VIVANT

Une des réalités les plus étonnantes est que la foi est un principe moteur universel de tout ce qui vit.
Un déterminisme dynamique et dynamisant que nous possédons tous et actionnons chacun depuis notre plus tendre enfance !
Oui la foi !

Dont se servent les scientifiques rationalistes, cartésiens comme les autres, principe qu'ils réduisent bien pauvrement (comme nous réduisons beaucoup de choses) à l'intuition ou à la simple curiosité.
Mais qu'est-ce que la curiosité qui nous fait avancer ?

Si cela ne vous a jamais sauté aux yeux, découvrez vous-même, cherchant à savoir ce qu'il en est en vérité, en toute objectivité, en quoi la foi vous habite depuis toujours, en quoi elle est un principe dynamique fondamental, universel, inhérent au vivant (animaux compris) et particulièrement développable chez et par l'être humain.

DES EXEMPLES À LA PELLE !
Comment apprend-on à nager ? Par la foi ! On dépasse ainsi les limites du naturel ! On se développe dans une projection qui nous élargit en capacité et en pouvoir, voire en plaisir nouveau, en joie naturelle, en bonheur simple

Comment a-t-on appris à marcher ? Par la foi.
Pour se lancer ainsi dans le "vide" sans le soutien de personne, on a fait preuve... de foi. Inconsciemment on a cru que c'était possible, et on a marché !
On a même pu hésiter, ce qui montre l'extraordinaire travail intérieur (inconscient) que met en œuvre l'activation de ce moteur.
Une foi certes non conscientisée, mais une foi réelle, un principe dynamique qui fait partie de notre organisation psychisme, en tant que déterminisme à la fois actif en lui-même et actionnable à la suite par notre volonté.

C'est l'existence et l'activation de ce principe qui nous conduit à prendre confiance en soi, à se lancer. Il est à la base de notre élan élémentaire de survie, puis de nos mouvements de déploiement.

Regardez bien : Comment a-t-on appris tout ce que nous savons ? D'abord par la foi. C'est-à-dire en croyant, sans preuve, ce qu'on nous disait ou montrait.
Certes, on a pu être trompés, bernés, égarés - c'est la responsabilité de ceux qui ont transmis - , mais cela n'enlève rien au fait, à la valeur et à la nécessité de cet élément essentiel de notre existence et de tous ses développements (physiques, psychiques ou spirituels).

Comment recevons-nous que la terre tourne autour du soleil ? Et cela à 100 000 km/h, et sur elle-même à 700/800 km/h ?
On comprend déjà qu'on ne pourra jamais tout savoir avec certitude, si ce n'est qu'en le croyant. Dans tous les domaines, basiques ou "border-line", touchant à la métaphysique ou à la physique quantique, à la pensée, l'âme, la conscience, l'esprit, les sentiments, les anges, Dieu, le matériel et l'immatériel.

EXTENSION DES DOMAINES DE LA FOI
Comment apprenons-nous à sauter en hauteur en dorsal ou à la perche ?
A lire, écrire, compter, à conduire, à devenir médecin ou facteur, informaticien ?...

Comment pouvons-nous monter dans un avion malgré tout le surnaturel du vol et les appréhensions que cela peut générer ?

Comment se développe un projet d'entreprise ; une association de personnes, un grand groupe économique ; un projet de vie qui est (normalement) un engagement durable comme le mariage ?
D'où vient l'élan pour fonder une famille ?... dont on sait qu'il y aura immanquablement des épreuves et qu'il faudra tenir ferme pour ne pas céder à ce qui viendra la casser et disperser ?

Comment des sportifs, un pianiste, une cantatrice... avancent-ils dans l’arène où ils se produisent pour en sortir sous les applaudissements ?

Rien de tout cela ne se met en mouvement sans le jeu, même totalement inconscient, du principe vital qu'est la foi en ce qu'on ne voit pas encore et à quoi on veut croire ; en ce qu'on ne peut pas savoir par avance, avec certitude, mais on y croit !

Dans certains cas il s'agit de croire essentiellement en nous-même. Dans d'autres cas de croire en quelque chose (un hélicoptère, un télésiège, un immeuble, la Tour de Pise ou la chaise sur laquelle on s’assoit !... Ou de croire en quelqu'un (une ou plusieurs personnes).

C'est vrai pour un aveugle conduit par un chien qui le guide, et nous devons comprendre - croire ! - que c'est au départ exactement la même chose concernant Dieu !...

PLUS ENCORE...
Quel moteur laissez-vous s'activer quand vous achetez de quoi manger ici et là ?

Quand vous mordez à pleine dent dans du pain, un pâté végétal ou un morceau de viande ?
Quand vous buvez l'eau du robinet ou un cocktail dans une fête ?
Quand vous prenez un médicament ?
Certains ont été gravement intoxiqués par des absorptions avérées problématiques ; d'autres en sont morts !
Faire confiance à son boulanger ou à un primeur sur le marché, à un restaurateur... c'est faire preuve de ?...

La notion de risque est indissociable de notre monde, et donc de tout ce qu'on fait dans la croyance ou foi.
Comme au jeu, on peut calculer, supputer, faire des calculs de probabilités, mais sans jamais être sûr à 100 % de ce qui va suivre une décision, dans le futur de notre décision ou engagement...
Le doute est permis, mais dans tous les cas si on ne veut rien faire sans voir (au préalable), on ne bouge plus et on meurt !

AU SUJET DES DOUTES
Du fait qu'on vit dans un monde "dualisé" (fait accidentellement du bien et du mal), i y en a de deux sortes :
Les doutes qui appellent un questionnement pour savoir ; pour passer d'une chose qui ne nous est pas évidente - mais qui peut être évidente pour d'autres - à la réponse (la plus) juste, qui permet de savoir ce qu'il en est effectivement.
Ce genre de doute est bon. C'est celui dont parle Descartes dans sa méthode d'approche des vérités.

Et il y a le doute sur Dieu. Est-ce qu'il existe ou pas ?
On entend parfois "Moi je suis comme Thomas, je crois qu'à ce que je vois !"
C'est oublier qu'avant cette parole, Thomas a tout quitter de sa condition sociale pour suivre Jésus dans l'aventure de sa foi. Alors ayez "seulement" la foi de Thomas et pas de doute, Dieu se révélera à vous ! (car Jésus est revenu 8 jours après cette parole pour lui ; pour lui montrer comme aux autres disciples qu'il était bien ressuscité).

Et pour reparler ici de Descartes, si vous lisez son Discours de la méthode, vous verrez que pour lui qui aimait et cherchait la vérité, la foi en l'existence de Dieu était tel qu'il dit (plusieurs fois) qu'il n'y a pas à douter quant à lui.
Ce qui veut dire qu'on n'a pas de temps à perdre sur cette question, et je rajoute qu'il est donc bien préférable et utile de chercher ce qu'il est réellement, ce qu'il fait et comment il agit, et comment, si ce n'est pas encore fait, être réconcilié-e, en paix et sauvé-e par lui...

S'il y a quelque chose cependant à rajouter sur le doute concernant Dieu, il n'est pas impossible, et il est même impossible qu'il n'en vienne pas (car le doute fait là partie de la dynamique du mal, de l'incrédulité).

Ainsi, on peut avoir des doutes sur Est-ce que Dieu entend toujours mes prières ? Puisque je n'ai pas toujours ses réponses. Il nous faut alors comprendre qu'un silence est un moyen de réponse ! Qui peut laisser la conviction qu'on a se développer en action (pas d'obstacles) ; ou qui exprime son désaccord avec une demande et démarche qu'on voulait entreprendre... 
 

SELON LES ÉPOQUES ET CULTURES
Tout au cours de l'histoire les impies (ceux qui ne croient pas en Dieu) étaient de deux sortes : les pauvres, n'ayant pu recevoir aucune éducation et instruction (dits manants ou mécréants), et quelques élites riches, cultivées et oisives et libertaires... l'oisiveté étant (avec la richesse ou l'ignorance) "la mère de tous les vices".
Aujourd'hui c'est la culture laïque (de ce mot détourné de son sens qu'on devrait avoir l'honnêteté de remplacer par athée ou agnostique) qui produit des citoyen-nes départis-es de la vie de l'Esprit.

Mais regardez encore s'il faut vous en persuader : Quand vous vous couchez le soir (ou au petit matin), quelle assurance avez-vous de vous réveiller et lever quelques heures plus tard ? Celle de la foi qui vous détermine pour vous tenir hors d'une angoisse toujours possible (comme il en monte chez de plus en plus de monde à partir de la fin du jour).

En ce sens, la foi tient aussi de l'immunité, d'une forme de garde positive, préventive de soi, qu'on peut développer en conscience pour se défendre par des pensées, par des choix, par quelque forme de foi appropriée... qui s'approprie.
D'où des victoires, des bénéfices, du bien (-être, -vivre, -relationner), qui peuvent être fondées sur une pensée juste, une bonne affirmation, un exemple à suivre, un concept, une promesse (la foi en Dieu s'appuie beaucoup, outre des expériences surnaturelles, sur des paroles affirmatives ou des promesses écrites faites par Dieu).
Psaume 119, vers. 42 et 105 : "Je pourrai répondre à celui qui m'outrage, Car je me confie en ta parole."
"
Ta parole est une lampe à mes pieds, Et une lumière sur mon sentier."
Il nous reste après à marcher, par ce même principe de foi.

Quand vous désirez avoir un enfant ou le garder malgré des pressions qui vous poussent à changer d'avis pour une raison qui n'est pas la vôtre ?
Quand vous montez sur la moto d'un copain pour ressentir des sensations ? Sur un cheval lancé au grand galop dans un sous-bois ?

Quand vous montez sur une table d'opération et que plus rien ne va dépendre de vous ? Qu'on vous fait signer au préalable une fiche d'acceptation des risques encourues, avec une longue liste d'effets secondaires possibles ?

Quand vous vous engagez sur 20 ans à remboursement le prêt qui vous permet d'acheter une maison sur la base de votre emploi actuel ?
Quand vous travaillez tout un mois avant d'être payé ?

3 DOMAINES OÙ  LA FOI S'EMPLOIE
On peut remarquer que ce moteur inhérent à notre nature de vivant, s'active de trois manières.
De façon naturelle, dans notre inconscience de cette dynamique, la foi joue comme un déterminisme.

De façon culturelle, elle se met à jouer, plus ou moins en conscience, selon ce qu'on va oser ou pas, accepter ou refuser, prendre position ou pas, sur quantité de circonstances, rencontres et situations.
Ce qui amène ou devrait amener dans toujours plus de personnalisation des décisions vues comme des actes de foi, jusqu'au passage à la foi dans la dimension spirituelle du Réel, en ne se laissant pas arrêter par quelque préjugé ou parti pris non analysé, non éprouvé objectivement.
Entre la foi agissant dans le matériel et celle qui rejoint et soutient la  dimension spirituelle, se trouve, culturellement, l’acquisition de savoirs religieux, qui sont et ne peuvent être que pont entre ce qui est de l'âme et ce qui est de l'esprit, un échafaudage provisoire qui vise ou devrait viser à notre construction intérieure, à entrer pour y travailler dans notre jardin intérieur tel qu'il existe, tel qu'il peut être agencé et gardé. 

En troisième lieu, la foi s'active spirituellement, afin que nous entrions et nous développions dans les dimensions de l'Esprit, c'est-à-dire du Divin.
Ce sont alors des acquisitions de connaissances de nature spirituelle - qui s'acquiert tout pareillement que les autres au départ, puis avec lesquelles nous avons à œuvrer pour donner à ce qui est de l'Esprit sa juste et profitable place en nous et avec nous.
La Bible parle de recevoir "Christ en nous, l'espérance de la gloire"...

Ainsi la foi est toujours un don initial de Dieu, (comme la vie et tous dons ou talents innés).
Dans le cas spécifique de la foi en Dieu, elle peut résulter d'une vraie mise à feu déclenchée par l'Esprit-Saint ; comme aussi elle est susceptible d'être développée, travaillée en profondeur, appliquée jusqu'en des zones nouvelles, dans notre quotidien comme dans le surnaturel spirituel...

FOI CHALLENGE
Ce principe est aussi liée au risque, et donc fait appel au courage. A la détermination, à la volonté, à la persévérance, voire à l'audace, avec et après exercice de discernement et avec connaissance de cause suffisante.

Plus on veut avancer par la foi, plus il peut s'agir de challenge, de relever des défis, de dépassements.
Par exemple j'étais incapable d'aimer ma belle-mère, maintenant je peux !
J'avais une maladie chronique ; avec la foi d'autres chrétiens s'associant à la mienne, j'ai été guérie !
J'ai postulé à un poste dont je n'étais pas certain d'avoir les compétences attendues et je l'ai eu et j'y réussis bien.

De fait, un bon aperçu (de la place) de ce principe nous aide à mieux regarder ce qu'on peut faire - ou pas -, donc aiguise le sens de notre responsabilité personnelle (que ce soit vis-à-vis des autres, de la société, ou de nous-même).

ET LA FOI DE JÉSUS
On entend bien Jésus au sujet de la foi : il déclare, stimule, excite, provoque ses disciples pour qu'ils veuillent faire de la foi un vrai moteur approprié de conquête pour l'agrandissement de leur existence et de celles d'autres.
Conquête sur le naturel et le surnaturel, pour subvenir aux besoins matériels immédiats ( ), pour faire confiance à Dieu ( ), pour guérir les malades et chasser les démons (Marc ch. 16, vers. 17-20), pour annoncer la dimension nouvelle qu'il est venu ouvrir dans l'ordre spirituel du Réel total. 
Il ne s'agit jamais de combattre contre des hommes (Éphésiens ch. 6, vers. 12), mais contre des circonstances, des situations (Luc ch. 8, v. 22-25), les esprits démonisés des lieux célestes qui viennent faire des ravages parmi nous (Matthieu ch. 8, v. 28-34).

Oui, la foi de Jésus !
Croire qu'en ouvrant sa bouche pour dire trois mots à un mort il va (le) ressusciter !
Croire qu'en commandant à des démons qui allaient mettre en débandade tout un grand troupeau de porcs, ils se soumettraient ;
Croire que d'une simple phrase prononcée devant les plus puissants dirigeants de son pays, il allait les faire reculer dans leurs intentions et partir ;

Croire que sans rien écrire lui-même, d'un coin perdu d'une petite nation du Moyen-orient annexée à la domination barbare et polythéiste du terrible Empire romain, et à partir d'une poignée de pécheurs, péager et autres marginaux insatisfaits de leur vie quotidienne, peu ou pas cultivés, croire que son message, le récit de sa vie exemplaire, de sa mort pour nous sauver et de sa résurrection, allaient traverser les continents, les couches de société et les siècles ! Changeant le rapport de force entre les hommes et les démons, changeant par là la face de l'Occident, amenant l’avènement de la personne humaine par la dignité dont le Saint-Esprit la revêt...


A l'inverse de par la foi et la sagesse en action, c'est par manque de courage ou peur, par incrédulité spirituelle, qu'on peut ne pas faire des pas de foi. On peut même abandonner la vraie foi (ce qui s'appelle apostasie) !
On cède alors la place à choisir de croire autrement ; en la seule réalité et valeur de ce qui se touche, matériel ou charnel, de ce qui s'empoche, se prend par la facilité, la tromperie ou l'immoralité.
Ce qui est tout le drame de nos jours, croulant sous les Trop (de biens et d'informations inutiles, de déchets et pollutions, de technologies vouées à la capitalisation et non plus au bonheur, de chaleur climatique et passionnée, de crédulité mal placée, de manipulations...).  

RÉSUMÉ
Quelle étonnante réalité que ce moteur de la foi, si peu perceptible et pourtant combien usitée, qui permet de saisir ce vers quoi on la dirige, et qui donne de croire que... ou de croire que...
Elle est a la fois, en deux modes complémentaires, foi s'appliquant et foi s'étendant. A la fois déterminisme fini (qui joue hors conscience) et déterminisme développable (par le jeu de la conscience).
Jusqu'où ?... 

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Ce post fait suite à l'article commencé ici <

En attendant, recevez - par la foi - la bénédiction de Dieu !

Guide de prière pour faire la paix avec Dieu


 

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31 août 2019 6 31 /08 /août /2019 08:48

 

La maison de l'escargot construite
selon la suite de Fibonacci !?...

Par quel(s) hasard(s) et selon quelle nécessité est-ce possible ?...

(fait suite à l'article commencé ici)

LE SURNATUREL DEVANT ET JUSQUE DANS NOS PORTES
Il est des faits extrêmement étonnants, qui apparaissent avec l'aura de leur surnaturel, quand on a les yeux (intérieurs, de la conscience) ouverts.

Rien de plus banal en effet par exemple que de croire, aujourd'hui, que la terre tourne autour du soleil, alors qu'on le voit nous tourner autour ! On doit bien lâcher là la vue pour la croyance !
Bien étonnant de respirer un air parfaitement invisible à nos yeux et de dire en même temps qu'on ne croit qu'à ce qu'on voit ! Mais s'en rend-on compte ?
Rien de surprenant à découvrir et admettre comment est constituée la moindre cellule du vivant ou comment l'ADN est enroulé et composé !...

C'est dire combien nous vivons sur et sous une couche de poussière immatérielle produite par l'habitude... et d'autre(s) cause(s) qu'il serait bon de mettre à jour si on veut retrouver l'émerveillement, l'enthousiasme liée à la (vraie) vie,. Si on veut que soient suscitées en nous tant de choses et vues extraordinaires de notre ordinaire.

Le mot enthousiasme est formé sur la racine grecque thou ou théo qui désigne Dieu.
C'est que la grave crise de foi dans laquelle nous sommes rend tout plat, inerte ou faussement animé, incapable de nous atteindre par et dans le fabuleux dont il s'agit. Notre âme est appesantie. On se crée alors des fictions, des séries, une mythologie contemporaine... une couche de plus d'inanition.

Pire encore, sans la foi mise en ce Dieu qui est à l'origine de toutes choses, tout ce qu'il a créé avec vocation à procurer du plaisir est mal utilisé, jusqu'à annihiler ce plaisir.
Ainsi peut-on manger sans plaisir par exemple en pensant à tout autre chose, vidant une assiette en une minute sans s'en être aperçu.

En vrac, idem avec l'amour physique, on peut le faire en perdant tout de sa valeur, voire du plaisir lié à cet acte.
Pareil avec un bon salaire qu'on n'apprécie même plus tant c'est banal chaque mois. Et les congés payés !?.
Et la conduite d'une voiture, d'une moto, d'un bateau... La possibilité de regarder la télévision et choisir des chaînes ; de se téléphoner ; de voir un bébé venu au monde, la beauté des arbres, des fleurs, des animaux, des cieux...

De fait, perdant la saveur, le parfum, le subtil, la profondeur, le sens esthétique, le plaisir qui émane de tout ce qui nous est besoin véritable, l'essence ou la quintessence des créations divines, on se dégoûte de tout (anorexie), ou au contraire on devient addict de n'importe quoi (boulimie).

C'est que les dons divins sans le Donateur, ne peuvent durer longtemps, s'évaporent d'autant qu'on en use mal.
C'est que Dieu a fait sa création ouverte, libre, mais aussi fermée, avec des frontières et des dynamiques réversibles.

APPORT INOUÏ DES SCIENCES

En fait tout est surnaturel ! C'est-à-dire dépasse largement ce qu'on appelle la raison - qui de fait à souvent tort, parce qu'elle dort ou rêvasse (ou cauchemardise), bordée par quelques concepts artificieux, réductionnistes, étroitisants, d'ailleurs qu'ils soient progressistes ou réactionnaires !

Par exemple, quelle ignorance ou quelle léthargie nous laisse-t-elle de bois, alors que notre corps vibre de ses dizaines de milliers de milliards de cellules !? Qui sans cesse meurent et se remplacent sans que nous n'en percevions rien (chaque seconde près de 2000 cellules changent ainsi d'état chez un adulte, soit 50 à 70 milliards par jour !?).

Notre corps est colonisé par quelque 30 à 40 000 milliards de bactéries ! qui y travaillent (normalement) pour notre bien !
Pas besoin de regarder au télescope le ciel avec ses milliards de milliards d'étoiles pour trouver des nombres faramineux.

Et les mystères des mathématiques, avec des nombres étranges, "irrationnels" (hors de raison !?).
Ou encore ces trois choses étonnantes que sont

- le nombre d'or ou divine proportion : 1, 6180339887 souvent appliqué par les artistes pour proportionner leur composition ;

- le nombre PI π - un 3 suivi de millions de décimales non périodiques (qui en fait un nombre irrationnel et "transcendant") ;

- la suite de Fibonacci sur laquelle par exemple est construite la coquille des escargots, comme sont disposées les graines qui forment les grosses fleurs de tournesol ou encore comme est enroulée une feuille de fougère avant qu'elle ne s'ouvre !...
N'est-ce pas intrigant ?...

En buvant un verre d'eau, combien buvez-vous de molécules, sachant qu'il y en a plus dans une seule goutte d'eau qu'on a de cellules qui forment notre corps ?...

C'est au point où depuis la première moitié du XXe siècle, avec la découverte de la dimension subatomique ou quantique de la matière, la raison humaine chancelle... comme la théorie de l’Évolution du coup !
Parce que le comportement des particules élémentaires ne correspond pas à tout ce qu'on avait préalablement découvert comme lois et monté comme équations définissant tout l'univers.

DES ORDRES ET COMPLEXITÉS AU HASARD !?

Plus on en apprend, moins on a de certitude (c'est le principe d'indétermination mis en évidence par Heisenberg).
Penser savoir et prévoir certainement est remis en cause par la théorie du chaos (ou d'imprévisibilité) mis en lumière par Edward Lorenz...  
Et cependant on en sait suffisamment dans les grands domaines du mesurable, de l'observable (physique(s), mathématique(s), biologie(s) pour dire que le fait de la complexité - dont des complexités originelles irréductibles - témoigne à elle seule d'un "auteur" de tout cela dont l'intelligence est sans commune mesure avec la nôtre.
Le nier aujourd'hui c'est ne pas savoir... ou c'est se leurrer soi-même.

Comment le hasard peut-il être hasard (sans intelligence, sans logique, inerte, sans vie...) et tout à coup une dynamique hyper rapide qui se met à chercher, un moteur de recherche donc en fait, qui se met à la demande (d'une nécessité) au travail, en aveugle, pour créer à partir de rien une solution à un problème ?

C'est une ineptie monumentale !
Bien plus fort que ce qu'ont produit les intelligences combinées de Larry Page et Sergey Brin pour créer le moteur de recherche Google !!!

C'est au point où aujourd'hui les scientifiques devraient crier au monde entier - et pourraient être crus, bien plus que les religions ! - que Oui Dieu existe !
Parce qu'il se déduit comme automatiquement - voire se démontre - par les œuvres inouïes et les lois de l'univers qui ne peut être que création divine, partout empreint d'intelligence, d'ordre, de grandeur, d'interactions non aléatoires, de mathématiques, de générosité, de complexités, de beautés, de potentialités, de devenir sans fin.

Aparté
Notons là qu'on touche un point significatif de la problématique humaine.
C'est que, découvrant par et dans ce qui est mesurable, raisonnablement tangible, de l'infiniment petit à l'infiniment grand, tant d'indices d'intelligence, de génie créatif, de sagesse dédiée, d'organisations internes et de relations... les artisans de pointe de la science devraient avoir l'honnêteté - et le courage s'il en faut - de dire aux communs des mortels la conclusion qui s'impose dorénavant : Tout cela ne peut venir du hasard ! C'est forcément Divin !

Un calcul de probabilité fait dire à l'astrophysicien Trinh Xuan Thuan « La probabilité que notre univers soit issu du hasard est comparable à celle d'un archer réussissant à planter sa flèche au milieu d'une cible carrée de 1 cm de côté et située à l'autre bout de l'univers. »
La physique des relativités et la physique quantique, les mathématiques et la biologie moléculaire corroborent ce qui est un fait : Il a fallu une intelligence prodigieuse, pour que ce qu'on voit et découvre ait été et soit !

Croire au hasard maître décideur du tout ou en Dieu est totalement la même démarche. On croit que... Alors pourquoi être si réticent à croire et à dire ce qu'il en est qui est infiniment probable ?

LE CHALLENGE DES SCIENTIFIQUES ET DES SCIENTISTES
Croire et oser dire que tout cela est l’œuvre insigne et les œuvres gigantesques d'un créateur divin immense, qu'il importe maintenant de chercher chacun pour sa part, et pour l'éveil de tous.  
Or là c'est silence radio et vidéo !
Preuve de la profondeur de notre problématique intérieure, de notre incohérence maligne.
D'un côté on dit vouloir ne se fier qu'en ce qui est certain, indéniable, que la science va révéler avec force de mesures, de calculs et d'expériences vérifiées.
Et d'autre part quand on est arrivés à découvrir scientifiquement que le Hasard avec ses concubines Nécessité et Sélection naturelle ne peut être le géniteur, l'origine de tout (ni de l'univers ni de la vie), on se garde de le faire savoir au plus grand nombre qui ne croit - comme on lui l'a appris - que ce que la science fait connaître !??? Une honte... répréhensible ! Un crime contre l'humanité !?...  

Ici comme ailleurs donc, même la bonne volonté pour chercher en vérité - quoi, pourquoi ? -, même les connaissances les plus avérées, ne suffisent pas à libérer l'être humain au point qu'il tienne dans l'amour et la recherche des vérités (jusqu'au bout) ; au point qu'il veuille maintenant - depuis déjà bien plus d'un demi-siècle quand même ! -, en conscience, amener la question de la réalité de Dieu sur l'avant de la scène mondiale.

Ce silence ! Que voilà une expression criante, qu'on veut laisser passer inaperçue, de notre aliénation générique, de notre misère individuelle et collective.
Que voilà une preuve (de plus*) que la Bible dit vrai s'agissant de ce que nous sommes :
"Il n'y a point de juste, Pas même un seul ; Nul n'est intelligent, Nul ne cherche Dieu ; Tous sont égarés, tous sont pervertis ; Il n'en est aucun qui fasse le bien, Pas même un seul".

Si notre intelligence n'est pas capable de tenir dans sa propre raison, d'admettre qu'on s'est trompés et de corriger le tir (pécher, c'est "manquer le but"), que vaut cette intelligence ?

Allez-vous pour votre part en rester là ?

La suite : LA FOI, PRINCIPE UNIVERSEL DU VIVANT... qui balaie la théorie foireuse de l’Évolution...

Soyez béni-e pour chercher... et trouver
________________
*
Il a fallu attendre les années 50 avant que la science puisse dire que l'univers a été crée !  Or la Bible le dit depuis 3 500 ans !
Si donc, dans l'humilité, les chercheurs étaient partis de ce qu'indique le livre de la Genèse, au lieu de dire - c'est-à-dire au lieu de vouloir croire - systématiquement le contraire, il y a certainement longtemps que la science aurait rejoint les Écritures inspirées par l'Esprit de Dieu pour des déploiements victorieux sur l'emprise (l'Empire) du mal !

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  • : OSER TOUCHER LA LUMIERE !
  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
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