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31 mars 2024 7 31 /03 /mars /2024 13:50

REMPLACEMENT DES RELIGIONS-SYSTEME PAR LA FOI AU DIEU UNIQUE MORT ET RESSUSCITÉ

La première conversion la plus spectaculaire de la religion mosaïque (Loi ou Torah), est celle d'un juif religieux vindicatif, grand défenseur de la Loi donnée par Dieu à ses pères : Saul, devenu l'apôtre Paul par sa rencontre foudroyante avec Jésus ressuscité >> lire ou écouter ce récit ici <<.

Ce qui lui fit écrire à son tour : « C'est une parole certaine et entièrement digne d'être reçue, que Jésus-Christ est venu dans le monde pour sauver les pécheurs, dont je suis le premier. » 1 Timothée 1:1

C'est ce dont je témoigne aussi par ce blog (clic sur Accueil pour le lire), comme le disent aussi tous chrétiens « nés de Dieu » > selon les trermes de son plan de rachat des âmes et de rédemption/sublimation consécutive des corps :
« C'est la parole de la foi que nous prêchons : Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton coeur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c'est en croyant du coeur qu'on parvient à la justice, et c'est en confessant de la bouche qu'on parvient au salut,
11 selon ce que dit l'Ecriture : Quiconque croit en lui ne sera point confus. » Livre aux Romains 10.8

Article >> ici, sur la naissance spirituelle >>

ORIGINE ET PERMANENCE DE LA VERTU SPIRITUELLE ETERNELLE DU SACRIFICE (anthropologie holistique)

Lorsque le Dieu-qui-ne-change-pas... dit à Moïse d'instituer Pessah, la Pâque en l'honneur de l'Eternel (par l'obéissance des participants), il est en fait en train de rappeler le fondement oublié, par 430 ans de séjour au sein de la culture polythéiste égyptienne,
Un fondement qui est l'unique moyen pour tous les humains pour établir ou maintenir, trouver ou retrouver une relation vivante (communion, connexion) avec Dieu (ce qu'on appelle rédemption, réconcliation, rachat, pardon, grâce...).

On trouve l'origine première de ce moyen dans le jardin (dit d'Eden, ce qui signifie Délices) fait par Dieu comme modèle du champ de l'activité humaine basique, savoir premièrement travailer pour se nourrir >> principe permanent redit ici <<.

A ce moment, Satan - l'ange sorti de son rang béni en voulant se faire égal avec son Créateur – est parvenu à s'introduire dans le jardin sans susciter d'opposition, Au point où il est devenu, par sa ruse, maître – dieu – de la planète Terre par sa ruse >> lire ou écouter ici ce récit révélé par Dieu via le 3e chapitre du livre 1er de la Bible <<.

On lit dans ce passge une phrase concise mais pleine de signification (comme Dieu en a beaucoup, qui nous invite en même temps qu'elle informe à réfléchir, méditer, chercher à comprendre de quoi il s'agit) : « L'Eternel Dieu fit à Adam et à sa femme des habits de peau, et il les en revêtit. ».

Ainsi la chute devant la ruse satanique place par ce couple - en qui sont toutes les générations à venir, jusqu'à nous -, ouvre pour la planète « l'ère des sacrifices », à la fois comme conséquence du mal et comme moyen de le réparer.

BASE DE LA JUSTICE DIVINE

Le principe est expliqué à Moïse, des le 3e livre de la Bible : Adam et sa femme sont morts spirituellement* en écoutant le serpent/Satan. Pour les restaurer dans leur relation (originelle, spirituelle) avec Dieu qui est essentiellement Esprit), une autre créature, innocente, doit mourir : C'est le principe de la justice légale de Dieu qui dit « Oeil pour œil, dent pour dent, vie pour vie. »
Ainsi eurent lieu en Eden les sacrifices de deux agneaux, pour couvrir la honte des transgresseurs. Tuer parce que dit Dieu, « la vie
(de l'âme) est (émerge, prend naissance) dans le sang (comme une émanation, de nature psychique) ».


C'est pouquoi à la suite, par toutes les religions par toute la planète, ont été offerts des acrifices sanglants pour le péché, pour couvrir (effacer) les fautes et leurs conséquences, afin que se rallume, ranime en nous, l'esprit qui apporte sa divine lumière à l'âme égarée.

Ainsi le Dieu-qui-a-de-la-suite-dans-les-idées-et-dans-ses-plans vient ranimer très régulièrement le souvenir de ce principe de vie, dont l'effet est toujours bénéfiquement agissant pour qui le sait et l'invoque.
Pratique dont l'ignorance ou absence de considération est un vrai drame pour l'âme individuelle et pour les sociétés humaines qui ne connaissent pas cette profondeur anthropologique utile à "la vie pleine".

Voilà ce que rappelle en ce moment-même les fêtes de Pâques.

A - La première (appelée La Pâque) rappelle aux juifs que leurs ancêtres devenus esclaves en Egypte en furent délivrés par la puissance agissante de Dieu qui permit à plus de deux millions de personnes de traverser la Mer Rouge à pieds secs.


Fête-souvenir d'un événement ancien qui n'a pas en elle-même l'effet profond d'alors, où le sang versé leur offrait la protection divine et une délivrance par le pardon de leurs péchés confessés et, en conséuence, la purification (bonne santé) de leurs corps ; effet perdu puisqu'ils ne mettent plus en pratique ce commandement fondamental de leur Loi (religion) qui dit que chaque faute nécessite une vértable offrande sanglante.

En d'autres termes, pour rétablir notre relation avec Dieu coupée par une transgression, il y atoujours besoin du sang d'un animal innocent versé comme prix de chaque faute, de chaque « acte manqué » (sens du mot péché) pour en faire « l'expiation » (l'effacement, en être lavé, purifié, libéré de l'effet malin qui autrement en résulte).

Faute de sacrifier encore régulièrement au Temple de Jérusalem selon leur Loi, les juifs religieux disent que cela est remplacé par les prières... ce qui ne saurait
d'une part satisfaire les lois de la justice immuable du Dieu trois fois saint,
et d'autre part leur accorder une protection et une paix stable que Satan peut leur contester sans cesse (individuellement et collectivement).

Ainsi le repas commémoratif du judaïsme (le seder) est une image plus qu'une réalité, d'un fait passé qui a eu lieu, et image prophétique, préfigurative par son symbolisme de ce qui devait venir : la délivrance de l'esclave du péché par la foi en la personne de Jésus (Yeshoua en son nom hébreu), Messie oint (Christ) divin, fait « Agneau de Dieu » venu prendre sur lui le péché/le mal du monde.

B - L'autre fête célébrée par les chrétiens est appelée Pâques, car elle englobe la précédente. Elle est particulièrement active pour quiconque croit que Jésus est venu s'offrir comme un angneau au sang pur, faisant cesser dès lors toute la nécessité des sacrifices d'animaux, puisqu'il a été fait et péché et sacrtifice toujours actif pour qui le croit :
Rendu semblable aux pécheurs que nous sommes et fait sacrifice sanglant pour supporter à la place de tous – réellement au plan historique et potentiellement au plan spirituel - l'essentiel des souffrances qu'un être humain puisse subir, mort comprise.

UN ACCOMPLISSEMENT "HOLYTIQUE"

Jésus est de la sorte l'accomplissement vivant offert une fois pour toutes en sacrifice pour le péché (contre le mal). Il accomplit les réalités prophétiques
a - du bélier vu par Abraham à Morija, retenu à un buisson par ses cornes (attaché donc par Dieu à ses forces d'obéissance et de rédemption). >>lire ou écouter ce passge où Abraham prophétise en appelant ce lieu « Yawhé Jiré », ce qui signifie « le Dieu-Eternel pourvoira »...
Il pourvoira pour que les fils (et filles) des hommes ne soient pas tués, mis à mort spirituellement, par Satan qui veut déspiritualiser le genre humain pour en faire son bétail, un troupeau marqué par son nombre (666) avec qui il peut faire n'importe quoi... >> Genèse 22 << ;

b - de l'agneau pascal institué sous Moïse à la sortie d'Egypte.

c - et de tous les sacrifices sanglants anciens réclamés originellement par Dieu et encore pratiqués symboliquement de manière religieuse ici ou pas, la Bible appelant ces choses « l'ombre des réalités à venir », savoir essentiellement la réalité du Messie et Christ Jésus venu changer le paradigme de la justice divine, ses exigences légales par sa grâce (comme fait une grâce présidentielle).

Grâce en ce que la foi en ce Sauveur devient le levier premier, le pivot fondamental de la relation à Dieu, en lieu et place des efforts d'une obéissance religieuse servile qui ne satisfait ni qui cherche à la pratiquer ni Dieu.


La fête de Pâque est donc devenue pour les chrétiens enfants que Dieu adopte dans cette foi, une fête complète, figurant le sacrifice de la Pâque ancienne et Le sacrifice final demandé par Dieu pour la couverture des transgressions et contre la mort spirituelle éternelle desâmes...

C'est la foi en la vertu permanente – hors du temps – du sang du sacrifice (christique/messianique) – qui le rend toujours actif quand il est invoqué.

Et pour donner à cette réalité éminemment toute spirituelle un support matériel (mnémotechnique !), Jésus a institué ce qu'on appelle « la sainte-cène » ou « repas du Seigneur »**, où
a - le vin figure son sang versé pour le pardon des fautes dont la vertu est de se permettre à la vie spirituelle qu'elles arrêtent de reprendre son cours de Dieu à nous et inversement,
- et le pain rompu pour être partagé représente son corps donné afin que le croyant devient et soi cellule ou pierre vivante d'un édifice spirituel fantastique appelé « le Corps de Christ » ou encore, pour figurer l'amour qui préside à tout cela, son Epouse (mystique éternelle). : un rassemblement unique, transcendent, d'une "race" nouvelle d'humanité - les vrais extra-terrestres sont là ! - ou Eglise véritable... que Jésus va bientôt venir chercher pour la soustraire aux dernières expressions terribles de la domination du mal conduite par Satan et ses hordes de démons >> sur cet événement inouï qui arrive <<.

CHENILLE DEVENANT PAPILLON

«Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation. Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation. Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu ! Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu. » 2Corinthiens 5.17
Cela pour que le croyant puisse recevoir de Dieu une portion (les arrhes) de son Esprit : C'est lui qui la vie éternelle qui nous fait sortir de la mort spirituelle, échapper à la mort psychique (de l'âme siège de notre conscience de soi) et va transformer notre corps mortel en un corps nouveau incorruptible, aux capacités bien plus élargies, ce qui se vivra après la fin de ce monde dans une création (un univers) tout nouveau, sans mal et sans fin... >> lire ou écouter ici les 2 derniers chapitres de l'Apocalypse <<

« Car le salaire du péché, c'est la mort; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur. » Romains 6.23  

Pas besoin d'attendre les machines à Intelligence Artifificielle sur quoi travaillent les leaders du transhumanisme, destinées à prolonger les existences - les consciences individuelles - en animant par des applications leurs données personnelles en un simulacre de vie ! La vie éternelle et déjà là, à portée de conscience et de l'activation dans le bon champ d'exporation du principe de vie qu'est la foi...

Pour vous aider si besoin, ici >> une page-guide de prières (efficaces) pour se mettre en ordre et en paix son existence face à Dieu et recevoir sa Grâce <<.
Un contact téléphonique est aussi possible en vous faisant connaître par le bouton Contact...

Cet article fait suite à >> l'article commencé ici <<

_____________
* article détaillé ici >> sur "Les 5 types de mort" <<

Bonne nouveauté de vie !
 

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17 septembre 2022 6 17 /09 /septembre /2022 10:00

Nous sommes dans un temps où se généralise une inversion terrible : celle du mal appelé bien, et du bien considéré comme du mal.

Cela ne date pas d'hier, car la terre habitée a déjà connu des temps de décadence... et les jugements divins qui s'en suivent.
"Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, Qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres, Qui changent l’amertume en douceur, et la douceur en amertume !" Esaïe 5:20

Ainsi peut-on arriver à relativiser toutes choses, ce qui résulte d'une mauvaise vue du Réel.
Car si parmi nous la relativité est une grande vérité, il ne faut pas la rendre... absolue ! Et notamment en excluant de ce qui est (du réel créé) des fondations (des infrastructurations) qui ne sont pas relatives mais universelles, immuables, d'ordre divin.

THAT IS THE QUESTION

Que pouvons-nous trouver comme point d'ancrage le plus sûr, pour savoir ce qui est objectivement, universellement et de manière permanente ce qu'on peut appeler bien et ce qu'on doit appeler mal ?

L'intérêt de la question venant du fait des causalités où le mal comme le bien produit des effets, de la même manière que des graines de carotte ne produisent pas des choux et inversement.

Plus prosaïquement encore, si je suis mal, ce n'est pas sans raison, ce n'est pas par hasard, mais c'est parce qu'il y a forcément quelque part une cause, perceptible ou cachée, qu'on connaît ou qu'on ne soupçonne pas du tout.

La médecine ne procède pas autrement pour chercher à guérir d'un mal physique.
Les psy font de même et tout ce qui se veut réellement scientifique n'a pas d'autre approche que la quête des causes, des origines les plus premières.

POURQUOI CE MYSTÈRE !

Et pourquoi donc faisons-nous des progrès fabuleux dans des dommaines très pointus de la connaissance, avec des développements qui ne servent même pas notre bonheur, pendant que nous avons toujours nous tant de mal concernant le bien et le mal, qui sont bien des concepts dont notre qualité d'existence (de santé, de réussite...) est particulièrement tributaire !?

Rien que cela devrait nous rendre intelligence pour chercher à mieux comprendre ce qui se passe d'étrange dans ce monde, d'irrationnel, de puissant dans le mauvais sens !

Parce que si nous nous sommes enfermés dans l'enclos d'une vue seulement matérialiste du Réel - c'est un fait -, nous ne sommes logiquement pas prêts à entendre tout ce qui peut être dit des origines et de la nature du bien et du mal dans la mesure où cela rejoint notre vie morale, nos psychismes et autres spiritualités.
Et donc nous restons sans réponse, stagnants comme des eaux qui croupissent et nourrissent des microbes ou larves malignes qui bientôt vont nous poser des problèmes.
Ou alors nous nous donnons des réponses fantaisistes, in-àpropos, controuvées.
 

Alors pour sortir du "déni du Réel", la meilleure solution est de chercher ce qu'on peut connaître du bien comme du mal selon une source sérieuse, autorisée, qui en traite abondamment, prioritairement, source dont la valeur s'avère déjà par la longévité exceptionnelle (des millénaires) de ses transmissions (Les écrits bibliques).

ALORS, LE BIEN ET LE MAL, CE N'EST PAS COMPLIQUÉ !

L'essentiel se résume ainsi :
- par 10 Paroles qu'on appelle les 10 Commandements, lisibles ici <<
Ces Paroles de caractère absolue ont été données la première fois à Moïse comme lumière pour le monde via le peuple né d'Abraham, d'Isaac et de Jacob/Israël.

La transmission fidèle de ces Paroles (dites Commandements) a été perpétuée jusqu'à nous et partout, et notamment réactivée avec la personne unique de Jésus.
Incarnation et lumière divines venue sur terre pour mettre les exigences irréductibles que posent ces 10 paroles à respecter pour se garder du mal, Jésus est venu pour les mettre à notre portée.

DES CONDITIONS, MAIS EST-CE QU'ON AIME QU'IL Y AIT DES CONDITIONS !

Car pour que nous puissions nous garder nous-même de faire du mal et donc d'avoir a en subir des conséquances à la suite, il nous faut d'abord avoir une honnêteté envers nous-même. Savoir, avez-vous déjà essayé de vivre chaque jours dans le respect de ces 10 paroles ?

Sans tourner autour du pot, la vérité est que personne d'entre nous n'est capable d'une telle perfection morale, qu'on puisse ne pas pécher (faillir) au sujet d'un commandement ou d'un autre pendant seulement deux ou trois jours - ou quelques heures ! - de suite !

Parce qu'on n'est pas des êtres spirituels par nous-même et nos améliorations psychiques ne peuvent jamais nous amener à une perfection qui serait selon les exigences que la sainteté (pureté) de Dieu réclame dans des contacts spirituels avec lui.

Ainsi par10 points seulement, nous pouvons être convaincus que le mal n'est jamais, jamais, très loin de nous et s'impose à nous plus que nous ne le désirerions. 

Ce qui rend toute religion stérile comme moyen de tenir dans le bien et de résister à ce qui est mal, souillé, mauvais, méchant, trompeur, impur...

Quand on est adulte, la religion ne sert qu'à nous aider à mieux voir notre état de nature ; mais nous communiquer de force morale qui viendrait à changer notre coeur, le lit d'où partent nos réactions les plus inconsidérés.

Une religion n'est au mieux qu'un supplément de lumière pour notre conscience personnelle, souvent émoussée ou étouffée par les influences que le mal lui fait subir...

Ce qui implique la nécessité d'un moyen intermédiaire pour combler l'abîme générique qui est entre notre nature impuissante face à telle ou telle forme du mal et la pureté qu'est Dieu et que figure parmi nous ce qui est bien, juste, bon, agréable, parfait.

LA SOLUTION, UNE MÉDIATION, UN MÉDIATEUR

Là où notre conscience ou une religion s'arrêtent face au mal, il n'est plus resté pour résoudre la question de la force dominante à mal faire, que Dieu lui-même s'incarnant en un corps humain. 
Le but : accomplir parfaitement une vie sans péché, conforme à la pureté, qui ne laisse aucune place pour que s'insinue la moindre graine du mal, ni dans le corps, ni dans l'âme, ni dans l'esprit.

Telle fut la mission de Jésus, que diverses expressions les plus actives du mal n'eurent rien de mieux à faire que de le tuer pour faire disparaître cette manifestation globale ("holystique") de Dieu sur la terre.

Ainsi se liguèrent contre la sainteté, la pureté, la justesse, la bonté, la beauté morale, le bien le plus homogène,
a - les forces célestes de Satan et ses démons, avec

b - les forces malignes du coeur de religieux - défenseurs de la loi aveugles au lieu d'en être les bénéficiaires éclairés -, enfermés dans la fourberie, hypocrisie, duplicité,

c - l'effet de foule sur population, où l'on se rallie plus vite et par pression du groupe à des cris, à des débordements malsains, à la haine, qu'à la maîtrise, la bienveillance, la vérité, la justice ou l'amour,

d - et encore la force égotique et servile des dominants, en l'occurrence des Romains, mus par le désir de conserver le pouvoir et/ou d'obéir aveuglément.

Toute une coalition (on dirait aujourd'hui fasciste, nationale socialiste (nazie) ou communiste, mêlant religieux, idolâtres et athées) liguée pour que Satan puisse conserver l'avantage qu'il prit sur le genre humain en un épisode fameux que rapporte notamment le 3e chapitre du 1er livre de la Bible, la Genèse.  

LE BIEN TUÉ PAR LE MAL RESSUSCITE

Jésus a été traité comme le pire des brigands, parce qu'il a accepté de prendre notre place de coupables (par nos actes, paroles et pensées mauvaises), afin que par la foi en ce sacrifice (expiatoire et substitutif uniques), les forces du mal puissent être soumises à la force supérieure du Bien, de Dieu, sans que ce soit Lui directement qui l'exerce.

Une mort unique d'un juste pour les injustes, si parfaite que finalement aussi elle fut totalement injuste, ce qui valut à Jésus d'être ressuscité.

On parle là du moyen unique initié par le Créateur pour que nous ne restions pas régulièrement et éternellement  soumis au mal ; d'une part donc durant cette existence, et d'autre part pour que ne se poursuive pas la domination satanique sur notre âme (siège de notre conscience) après que nous ayons été séparés de notre corps (mort physique).

De plus, Jésus répandit à la suite du Ciel spirituel divin, comme preuve de sa résurrection et de sa glorification céleste, l'Esprit de Dieu (appelé Saint-Esprit ou encore Emmanuel), répandu activement sur et dans l'être intérieur ses disciples, et aussi potentiellement partout, comme un secours sans fin accessible à tous et chacun via le principe de la foi. 
On ne parle plus alors en terme de religion, mais de spiritualité, de croyance seulement mais de régénération, de renaissance ou "nouvelle naissance"
Lecture/écoute : Jean 1.12,13 - Jean 3.1 à 21 - Jean 20.21 - Actes 1.4...

Ainsi par l'Esprit Divin, on reçoit
- la capacité de voir bien plus clair sur ce qui est du bien et de ce qui est du mal
- et la force pour résister aux pressions, tentations, incitations, courants du mal et faire du bien malgré qu'on n'en ait pas la force personnellement.

 

CAS PARTICULIER DE L'OCCULTISME

Si le mal dont il est parlé jusque là ne fait état que de nos relations, verticale avec le Créateur et horizontales avec soi-même et avec nos semblables, il y a une autre source ou porte maligne par laquelle

a - le mal peut nous attirer et séduire, et
b - se glisser ou s’engouffrer dans notre quotidien et possiblement en nous jusqu'à l'oppression, la dépression, l'obsession, l'addiction ou la possession.

Car si le surnaturel et spirituel divins existent, le surnaturel et spirituel démoniaque, satanique, l'univers d'anges déchus aussi mal dans leur condition que puissants contre nous, existe tout autant.

C'est pourquoi depuis et par Moïse (puis bien d'autres), on est informé de cette dualité de la situation céleste, avec des effets terrestres malins et maléfiques.

Nous sommes avertis de cette réalité céleste ténèbreuse par exemple ici :

a - "Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable. 12 Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes." (lettre aux Ephésiens, chap. 6)

et là

b - "Qu'on ne trouve chez toi personne qui fasse passer son fils ou sa fille par le feu, personne qui exerce le métier de devin, d'astrologue, d'augure, de magicien, 11 d'enchanteur, personne qui consulte ceux qui évoquent les esprits ou disent la bonne aventure, personne qui interroge les morts. 12 Car quiconque fait ces choses est en abomination à l'Eternel; et c'est à cause de ces abominations que l'Eternel, ton Dieu, va chasser ces nations devant toi. 13 Tu seras entièrement à l'Eternel, ton Dieu. 14 Car ces nations que tu chasseras écoutent les astrologues et les devins; mais à toi, l'Eternel, ton Dieu, ne le permet pas." Livre du Deutéronome chap. 18

Ce qui signifie que plusieurs pratiques (et exercices de foi) de nature surnaturelle, ne sont en réalité que des moyens de mise en contact avec des entités occultes, des esprits invisibles malveillants, qui entendent profiter e notre ignorance pour prendre le dessus sur nous, en nous faisant entrer dans des pratiques dont ils sont les initiateurs.

La liste est longue de ses multiples moyens de divination ou de communication avec le versant spirituel du Réel, ar c'est par cela - comme par les violences - que le grand nombre de ces démons s'assurent une domination du mal sur nous.

Et si l'on veut voir, il n'est pas difficile de s'apercevoir que dans nos actualités comme tout au long de l'histoire, que la ténèbre, les forces occultes distillant le mal se montrent, et de plus en plus, affligeant des personnes (jusqu'au suicide), ou en possédant pour accomplir des actes terribles : attaques au couteau, attentats, guerre, meurtres divers, abus sexuels et viols, mais aussi arnaques, séductions trompeuses, manipulations, influences malignes, propagande, tentations avec usage d'alcool ou de drogue, etc...

De plus en plus d'actes ont un effet sidérant sur des populations, engendrent des peurs, sensations de froidure, de présence, tremblement, insécurité, attirance au suicide..., c'est le résultat de 'jeux' invisibles mais effectifs de réalités et de causalités que nous ignorons trop souvent, mais comme l'a écrit Aldous Huxley "Les faits ne cessent pas d'exister parce qu'on les ignore."


SYNTHÈSE (SAINTE THÈSE !)

Un savant religieux connaissant intelligemment les paroles de la Loi de Dieu, les synthétisa très bien toutes - ce que Jésus approuva - disant que la force du bien, la force pour bien faire peut se résumer à un seul verbe - d'action - suivi de trois compléments : AIMER

1 - En premier lieu Aimer Dieu, sans quoi la suite va être des plus difficile, voire impossible,

2 - En parallèle apprendre à S'aimer soi-même, s'accepter comme on est, sans nous minimiser à excès ou nous enorgueillir de quoi que ce soit...

3 - pour pouvoir alentour Aimer son prochain, quiconque donné selon la loi d'imprévisibilité plus que par hasard...

Déjà un vrai challenge ! Pire : Si on est vraiment honnête, c'est une mission impossible que donne par là le Créateur aux êtres marqués à coeur par la loi dominante du mal (du péché).
Aimer de manière stable, continue, impartiale, nous est impossible.

Mais heureusement,ce qui est impossible à l'humain, est possible à Dieu !

LA CLE

La clé de la serrure du coeur et de l'amour est en réalité la plus utile et la plus difficile à trouver, et puis à ne pas perdre : Elle nous glisse des doigts sans qu'on s'en aperçoive !

Cette clé est donc dans une foi qui est abandon à Dieu, confiance la plus illimitée en SON amour.
Ne perdons plus de temps à chercher à aimer Dieu, à faire encore des efforts pour lui plaire, aimer tous les autres, et tout faire pour se trouver plaisant à nos propres yeux !

Rien de cela n'est durablement à notre portée.
Plus nous suivons un tel chemin d'application à devenir un être spirituel, admirable, différent des autres, aimant Dieu plus que tous, plus nous allons sombrer dans de la religiosité nauséabonde, dans un léglisme irritant et mortifère.

UNE CLÉ A TOURNER DANS LE BON SENS

C'est en suivant cette voie du mérite personnel, qui est une expression de l'orgueil, que des croyants comme des athées en viennent à prendre des armes et à tuer là où Dieu a dit : Aimer !

Il faut donc tourner la clé dans l'autre sens pour plaire à Dieu, entrer dans son amour pour nous, et en porter aux autres.

Il ne faut plus dire : Je le veux, j'y arriverai ! Mais plutôt : Je le veux, mais Seigneur ait pitié de moi ; je n'y arrive toujours pas ! Viens t'établir en moi pour que j'aime par toi, qui est amour.

C'est ainsi que si nous avons quelque attirance vers Dieu, c'est seulement parce qu'il nous a aimé le premier, et nous aime, et veut encore déverser en nous de son amour pour que nous aimions de sa part.
1 Jean 4:19 "Pour nous, nous l'aimons, parce qu'il nous a aimés le premier."

C'est la prise de cnscience, la révélation de l'amour que Dieu nous porte, qui nous rend aimant à notre tour.

Voyez cette belle, puissante et salutaire histoire (Luc chap. 7) :
"Un pharisien pria Jésus de manger avec lui. Jésus entra dans la maison du pharisien, et se mit à table. 37 Et voici, une femme pécheresse qui se trouvait dans la ville, ayant su qu'il était à table dans la maison du pharisien, apporta un vase d'albâtre plein de parfum, 38 et se tint derrière, aux pieds de Jésus. Elle pleurait; et bientôt elle lui mouilla les pieds de ses larmes, puis les essuya avec ses cheveux, les baisa, et les oignit de parfum. 39 Le pharisien qui l'avait invité, voyant cela, dit en lui-même : Si cet homme était prophète, il connaîtrait qui et de quelle espèce est la femme qui le touche, il connaîtrait que c'est une pécheresse.

40 Jésus prit la parole, et lui dit : Simon, j'ai quelque chose à te dire.- Maître, parle, répondit-il.- 41 Un créancier avait deux débiteurs : l'un devait cinq cents deniers, et l'autre cinquante. 42 Comme ils n'avaient pas de quoi payer, il leur remit à tous deux leur dette. Lequel l'aimera le plus ? 43 Simon répondit : Celui, je pense, auquel il a le plus remis. Jésus lui dit : Tu as bien jugé.

44 Puis, se tournant vers la femme, il dit à Simon : Vois-tu cette femme ? Je suis entré dans ta maison, et tu ne m'as point donné d'eau pour laver mes pieds; mais elle, elle les a mouillés de ses larmes, et les a essuyés avec ses cheveux. 45 Tu ne m'as point donné de baiser; mais elle, depuis que je suis entré, elle n'a point cessé de me baiser les pieds. 46 Tu n'as point versé d'huile sur ma tête; mais elle, elle a versé du parfum sur mes pieds. 47 C'est pourquoi, je te le dis, ses nombreux péchés ont été pardonnés : car elle a beaucoup aimé. Mais celui à qui on pardonne peu aime peu."

CE QUI VEUT DIRE

a - qu'on doit beaucoup pécher, faire beaucoup de mal, pour être beaucoup pardonné et pouvoir aimer Dieu !?
Non. On n'a pas besoin de se forcer à mal faire : On en fait bien assez chacun naturellement pour n'avoir pas à en rajouter.
Alors
b -
cela veut dire que nous avons à confesser le maximum - la totalité - de nos fautes pour en être pardonné. Il y en a suffisamment, faits par chacun-e, pour pouvoir ressentir l'amour de Dieu au fur et à mesure qu'on se dépouille devant lui... Quand on saisit que c'est pour chacune de nos fautes que Jésus s'est laissé crucifié, parce que se rendant comme coupable de toutes, notre coeur n'est-il pas encore ému !

Tant qu'il reste des fautes cachées non confessées, non pardonnées, inavouées car tellement honteuses, ou qu'on a cru si insignifiantes - alors que chaque faute met individuellement un voile entre Dieu et nous, nous devons chercher le pardon de Dieu, c'st-à-dire la manifestation de son amour, jusqu'à ce que notre coeur en soit atteint.

"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. 17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. 18 Celui qui croit en lui n'est point jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. 19 Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises. 20 Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses oeuvres ne soient dévoilées; 21 mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses oeuvres soient manifestées, parce qu'elles sont faites conformément aux pensées de Dieu." Jean chap. 3

"Car, lorsque nous étions encore sans force, Christ, au temps marqué, est mort pour nous impies. 7 A peine mourrait-on pour un juste; quelqu'un peut-être mourrait-il pour un homme de bien. 8 Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous." Romains chap. 5. 

Que reste-t-il à faire d'essentiel durant tout le reste de notre existence ?
Voir nos fautes, nos travers, nos dérapages, nos sorties de route, nos hontes, nos faillites morales ou autres??? et demander pardon, deander pardon et encore demander pardon... jusqu'à ce qu'on ait compris qu'on est irrécupérable pour être quelqu'un de bien ! Pour devenir par nous-même une belle personne.

C'est l'humiliation de l'apôtre Pierre, toujours à vouloir être le premier pour Dieu, le plus zélé, parlant haut et voulant toujours plaire à Jésus,, se faisant son défenseur (jusqu'à couper l'oreille d'un homme), sûr de sa propre fidélité... jusqu'à ce qu'il le trahisse de manière tout aussi minable que put le faire Judas peu de temps avant.

Il faudra tout l'amour de Jésus, sa douceur, pour une réhabilitation de Pierre à ses propres yeux (ce qui se lit >> ici <<

Trouvez vous aussi la paix avec Dieu, l'acceptation de vous-même, pécheur, pécheresse, mais que Dieu aime et veut sans cesse pardonner et transformer.

COMMENT ÉCHAPPER AUX FORCES MAUVAISES QUI MONTENT

En trouvant un secours, un abri, un refuge, une défense, en Dieu. Par la foi en Jésus qui par sa mort consenti, a créé un pont unique entre Dieu et nous au dessus de l'abîme terrorisant de nos péchés et de la mort, du mal en général...
C'est dans le roc de cet abîme qu'a été plantée la croix de la crucifixion pour que nous puissions venir à Dieu et Dieu prendre notre existence et notre âme sous ses ailes...

>> Un guide pour aider dans une ou des prières qui peuvent faire de votre existence une nouveauté et dynamique de vie que vous ne soupçonnez même pas <<

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15 novembre 2021 1 15 /11 /novembre /2021 16:42

Le dérèglement climatique n'st qu'une des expressions du JUGEMENT GLOBAL du comportement humain généralisé dominé par les "moi-je"'égoïstes, par l'amour de l'argent, l'irrespect des uns par les autres, l'impiété (par imprégnation athée et abandon de la foi) ; des religiosités que Dieu abhorre (déteste, vomit) ou encore  le désir obscur d'une minoritaire possédant 80 % des richesses, visant à soumettre le plus grand nombre à des lois formant une dictature idéologique unique (systèmeoligarchique planètaire désormais réalisable par les moyens technologiques déjà développés).

Une vue sans conscience qu'un Dieu surveille tout du haut de son ciel et de son éternité ; une vue qui se veut généreuse pour ses ténors milliardaires et qui y collaborent, mais de plus en plus sans pitié pour qui ne veut pas s'y soumttre.

Alors comment lutter contre l'effet de serre et autres manifestations célestes et terrestres dérèglées du climat, puisque ce serait pour les gros marchands, financiers, pollueurs, exploitants, consommateurs, scier la branche sur laquelle il fonde leur croissance et hégémonie grandissantes ?

Faut pas rêver messieurs mesdames les écologistes vertueux, les chercheurs de transitions énergétiques, les inventeurs d'alternatives idylliques sans rapport avec les réalités de terrain.
Réalités que sont au premier rang des forces occultes, invisibles, surnaturelles, spirituelles démoniaques, sataniques, sous quoi les sectes internationales et autres groupes d'influence, de pression, d'orientation, agissant pour désorganiser ce qui reste de chrétien en Occident, voire encore de juifs en Israël ou dans le monde, ne sont que des organes incitateurs et exécutifs. Ce qui est déjà beaucoup en forces à vue humaine, si mais si peu face au Dieu unique trois fois saint qui règne (bien que laissant gouverner par d'autres que ses fidèles) et intervient quand il veut où il veut comme il veut.

ENCORE TENTER SA CHANCE !?

Ainsi il semble que ce soit une vraie loi de la liberté qu'il accorde au genre humain,  que Dieu laisse à toute minorité qui revendique une place dirigeante universaliste - et dans tous les cas c'est une visée au-dessus de ce qu'elles sont effectivement capables de faire bien ! -, d'avoir un laps de temps pour qu'elles montrent ce qu'elles sont capables de faire. Quand on a compris le mécanisme des jeux spirituels qui contrôlent cela, on sait d'avance que plus il y aura de moyens mis en oeuvre, plus il y aura de dégâts, de catastrophes, de désorgansiations sans secours humains possibles.

Mais certains et certaines y croient encore, et Dieu laisse faire les derniers conquistadors qui croient encore en eux -mêmes ou en elles-mêmes.
C'est ainsi qu'il laisse encore même Satan agir parmi nous... avant sa défaire finale irrémédiable qui vient.

Alors on peut croire à la COP26 - puisque par nature on n'est tous que des êtres croyants - ou aux vaccinations, ou aux discours ou se mélangent vérités et mensonges, savoir et ignorance, des politiques ou des scientifiques, dans tous les cas, Satan avancent, mais Dieu - seul - viendra mettre un terme au mal sur la terre.
Tout est écrit depuis des millénaires, alors pensez bien que les prophéties qui restent à venir s'accompliront comme toutes celles qui se sont déjà accomplies.

LE CIEL ET LES CIEUX

Croyez-le ! Quand il fait très mauvais ou très très mauvais sur la terre, à quelques milliers de kilomètres, au dessus des nuages, des turbulences et des vagues chaudes et froides qui s'entrechoquent, le ciel est bleu, serein, comme d'un autre monde !
Et c'est bien ce qu'il représente notre ciel atmosphérique : des combats entre forces mauvaises qui veulent nous faire perdre toujours plus le repos entre peuples et la liberté intérieure, et les puissances tranquilles, souveraines, de Dieu, qui ne font rien sans notre désir de sortir d'un système où tout le monde joue perdant-perdant.

Et donc l'important est de savoir dans quel champ on se positionne par nos adhésions de pensées et d'actions : Dans celui d'un Dieu vivant en qui on peut placer sa confiance et avec qui on ne sera pas dans la confusion terrible qui s'enfle déjà ; ou dans celui des puissances démoniaques et de Satan qui vont se déverser sur le monde avec une rage et des effets comme il n'y en a encore jamais eu !?
Il n'y a pas, après avoir bien étudié la question pendant des décennies, de troisième voie, ni de joker.

Soyez éclairé-e et béni-e

ici > Guide de prière(s) pour qui recherche la paix avec Dieu et un refuge en lui par Jésus le Christ ressuscité et son Saint-Esprit.

 

 

E le Covid apparu comme une des autres formes de ce jugement mondial, est pris en otage pour faire avancer cette vue totalitariste qui se déploie là dans la liberté

, , , des riches, des mieux nantis la terre

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18 août 2021 3 18 /08 /août /2021 09:38

Serait-il imaginable que l’élite globale ait déclaré la guerre à l’humanité?

Ce ne sont pas les élites humaines qui ont décidé et engagé la guerre contre, effectivement, l'humanité. Ces quelques personnes ne sont que les maillons exécutifs d'une autorité bien supérieure, qui est démoniiaque. C'est Satan, l'ange déchu ancestral, qui veut s'asservir le genre humain une fois pour toutes et pour l'éternité.


Sans ce regard, on reste au niveau maxiste de la lutte des classes, des manif' qui s'avéreront sans effet positif. Car même si le pass "sanitaire" est suspendu ou annulé, ce ne sera que pour aller vers un marquage bien plus déterminant que le livre de l'Apocalypse a annoncé depuis 2 millénaires, quand même ! chap. 13.


La Bible dit que la sagesse humaine est "terrestre, charnelle, démoniauque" : nous en avons la démonstration une fois de plus, et cette fois est la dernière, car la plus mondialisante.
Elle dit aussi que la seule solution face au mal - que ce soit le covid, la vaxxination, les avancées liberticides, est la repentance, le regret de notre impiété, de notre abandon des voies et lois divines (l(apostasie chrétinne) et l'obtention de notre pardon par la foi en Jésus, le Messie Sauveur qui a donné sa vie pour que par sa mort, nous puissions être pardonnés et gardés de toutes les forces du mal, dont ce qui arrive de terrible sur le monde - ce que la Bible appelle "la colère de Dieu", càd son retrait que nos comportements iniques provoquent qui laisse le champ libre à Satan et à ses hordes de démons (l'ennemi invisible le plus véritable).
Ainsi le retour ou la venue au Dieu vrai, vivant, créateur et rédempteur, est le plus sûr moyen individuel pour tirer son épingle - sa vie présente et notre possible éternisation - de ce jeu spirituel du mal contre le bien qui arrive à son paroxysme.

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13 mars 2018 2 13 /03 /mars /2018 13:16

 

"JÉSUS, L'ENQUÊTE" est un film A VOIR surtout
- si vous vous posez des questions sur : Qui est réellement Jésus, ou sur le christianisme ;
- si vous êtes hostile à tout ce qui est religion et à toute foi ;
- si connaître la vérité est pour vous un point important dans notre relation au réel, à nous-même et au reste ;
- si vous êtes déjà chrétien-ne ;

La bande-annonce (trailer) en cliquant ici  (il est en français dans les salles).
Ouvert à vos réactions (privé ou en commentaire)...
Soyez béni-e.

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27 février 2018 2 27 /02 /février /2018 13:11

La vie et la mort et la signification des rêves (songes, cauchemars, visions) sont les deux sujets d'articles les plus lus ici. Si vous fréquentez mon blog depuis peu - et bienvenue aux nouveaux abonnés de ces derniers jours - , les voici si cela vous intéresse :
LES 5 TYPES DE MORT    -    RÊVES ET AUTRES SONGES ET CAUCHEMARS...

Soyez béni-e dans vos lectures.  Que le Dieu vivant et vrai vous donne de toujours mieux connaître et comprendre le sens de votre existence et présence ici maintenant.

citations de C.S. Lewis (auteur des Chroniques de Narnia) :
« Dieu ne peut pas nous donner le bonheur et la paix en dehors de lui-même, précisément parce qu’il n’y est pas. »

« Le christianisme, s’il est faux, n’a aucune importance, et s’il est vrai, est d’une importance infinie. La seule chose qu’il ne peut pas être, c’est modérément important. »

Un chant

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18 avril 2017 2 18 /04 /avril /2017 14:41

Le problème avec la démocratie c'est que ce n'est jamais au final qu'environ un tiers de la population en âge de voter qui donnent mandat à un représentant* : les autres à priori ne vont guère (ou pas du tout) être satisfaits, donc vont se montrer irritables, vindicatifs ou aigris, à juste titre ou sans raison autre que la contestation. (Ce qui n'est pas fait pour arrêter l'hémorragie financière de la Sécu).

En ce sens, la démocratie est un outil intéressant, mais fait partie intégrante de la domination pandémique des injustices sur le bien objectif, selon qu'il est écrit que "le monde est paralysé sous la puissance du Mauvais".

Parce que la démocratie ne sera toujours qu'une possibilité pour qu'une partie seulement du peuple soit satisfaite, elle ne peut être un modèle d'union au sein d'une société, le moyen d'une unité véritable de fond auquel on veut donner le nom de Vivre-ensemble.

La pensée politique et la religion - ou son absence - forme le lit (de la rivière) de nos appréciations, et de là, le cours de nos réactions et actions et paroles. Dès lors, comment bâtir si la ou les minorités diverses qui composent la population ne veulent pas se soumettre à la minorité qui obtient quand même la majorité des voix ?!...
C'est à quoi nous commençons sérieusement à être confrontés ! De la grogne ancestrale on arrive - ou on revient - de plus en plus souvent à la casse, et à des morts prématurées (issues de diverses sources non-naturelles).

ET MOI ET MOI ET MOI ! (sur l'air que vous voudrez, forcément !)
C'est qu'aujourd'hui s'ajoute à cette faiblesse inhérente à la démocratie, un fait tout nouveau qui se généralise : une prise de conscience de soi amplifiée, induite par le franchissement d'un seuil de développement psychique, qui élève un nombre croissant à pouvoir porter des jugements sur tout - sans même connaître les sujets, sans recul qui permet une réflexion. On se sent capable de parole dans tous les débats. On a été érigés en juge - qu'il ne faut pas juger, mais qui lui à le droit de tout juger, critiquer, contester, revendiquer.
Notre ego devient un centre, qui s'élargit, de domination peu conscientisée, ou d'une volonté plus explicite de dire au moins aussi librement que tous les autres.
(En ce sens, la télé et ses émissions centrées sur les histoires de quidams lambda, contribue pour beaucoup dans cette émancipation parolière).

On arrive ainsi au bout d'un processus de culturation. Avec ce paradoxe qu'elle ne permet pas à ceux qui en ont bénéficié de se soumettre comme il faudrait à ce qui a été enseigné.
La force des modèles (sans vernis dans le quotidien de leur soi, bruts de soi, troubles, incohérents, inconsistants...) qui sont vus et entendus - parents, pairs (voisinage proche et internet), enseignants, animateurs de médias ou autres figures d'autorité -, l'emporte sur une culture théorisée. C'est pourquoi on est arrivés à ce que l'école est devenue un espace de la contestation, de l'insoumission et jusque voire du crime. Du Mai 68 pas mort, juste dilué, sous-jacent !

De la sorte, par mimétisme inconscient et une rapide auto-suffisance de soi,  on arrive à une émancipation qui n'est pas une vraie liberté (de vue, de jugement, de recul, de réflexion, d'insertion dans le réel immédiat (matériel) comme dans le Réel global (qui inclut une relation (plus qu'une religion) établie avec le Divin véritable).
Seulement à une liberté ouverte sur le mépris ou la moquerie (si Dieu apprécie l'humour, il n'aime pas du tout les moqueurs), sur une différenciation malsaine (mal tranchée) qui donne accès au racisme, au sexisme, à la haine, potentiellement à toutes formes de soupapes d'insécurité.

Ce seuil critique de conscience perso - ou seuil de conscience critique - se caractérise encore par une susceptibilité maligne, qui fait qu'on devient inenseignable là où on aurait encore à apprendre, et dans le même temps crédule (jusqu'à l'embrasement, surtout collectif) à toutes sortes d'aberration. Et on voit dans ce sens
- comment certains animateurs ou journalistes de médias peuvent faire pencher dans leur sens plus d'un auditeur ou téléspectateur,
- et encore comment des petits malins (n'oublions pas que Malin est un des noms qualificatifs du démon Satan) usent de la toile et des réseaux sociaux pour mélanger le faux à ce qui est vrai, jusqu'à fausser le jeu déjà bien fragile de la démocratie.

***

Attention encore ! Ce n'est pas que le jugement personnel du citoyen lambda (qui fait partie du milieu de la Courbe de Gauss) n'est pas fait de bonnes choses, de certaines pertinences ! C'est qu'il est fait de bon et de mauvais
1/ parce qu'il n'y a pas de savoir sur l'origine des pensées qui nous viennent (prochains articles à venir), et pas de maîtrise sur leur gestion (à croire, à dire, à écrire, ou à refouler, à laisser mourir) . Et on a tellement de pensées qui arrivent à notre conscience, que sans une disposition générale - que seul donne l'Esprit Divin comme lumière pour notre âme - que de notre bouche coule généralement indifféremment de l'eau amère ou salée comme parfois de l'eau douce ou doucereuse. 

2/ ce qui fait, comme lorsqu'on mange un plat fait de bon et de mauvais, que le mauvais l'emporte et rend le tout non profitable.


On arrive, comme cela s'aperçoit autour de nous, dans un isolement personnel (d'abord intérieur, psychique, en soi) qui
- soit nous déprime, nous rend inconsistant (socialement voire jusqu'à la mort),
- soit qui se brise par des jeux de séduction et/ou de violence. Les autres alors soit nous dérangent et on les évite ou supprime de notre vue (palette qui va du divorce au terrorisme), soit doivent/peuvent exister via des relations essentiellement utilitaires : Sans Dieu dans notre coeur l'ordre humain duel est intranscendant.
(les portables et autres headphones ne sont à la fois que symptômes et béquilles de cette individuation).

Il en résulte des sociétés bloquées, frappées d'inertie, que le souffle évangélique dynamisa (IIe et VI-VIIe siècle) et redynamisa (XV-XVIe...) en Occident au fil de deux millénaires, mais que l'apostasie chrétienne soumit à nouveau aux forces obscures qui dominent l'humain.

Et cela n'est pas seulement un état qui se constate, mais c'est une dynamique qui va vers une fin - étant dans un processus de désorganisation des liens, de décomposition mortifère... ce que seul Dieu peut inverser** - ce qu'il fait depuis longtemps et maintenant (ici comme partout ailleurs), mais uniquement personne par personne - d'où l'intérêt pour chacun, chacune, de comprendre -... et ce qu'il va venir faire planétairement bientôt (d'une toute autre manière)... 

Fin donc dynamique d'un type de civilisation.
Par vices internes. Par incompréhension du Réel et ignorance de ce qu'est l'humain. D'où une éducation qui parait de plus en plus bâtarde (régression post-christianisation).
D'où une socialisation des personnes - dans le sens de bonne, de bien vivre-ensemble - qui devient faible à impossible - à faire et/ou à conserver (avec la multiplication d'Alzheimer ou des AVC pour nous le dire) -.

On est dans la nostalgie de ce qu'on n'a jamais eu ou vu suffisamment, dans une chimère de paradis, une arlésienne, un leurre. La perte de la simplicité et de la lucidité.
Un tel leurre de progrès que culturés ainsi (càd pas cultivés), on ne voit globalement même pas qu'on se leurre - beaucoup d'intellos compris -, aveugle aux dangers ou bien myope sur où devrait se produire le changement dont on ressent quasiment tous le besoin - ce qui est un point positif.

Après ou avec les ados en crise, c'est aussi ce que vient nous crier l'Islam avec des kalachnikovs ou des ceintures d'explosifs. Et cela via même des français instruits et "éduqués" (puisqu'il est dit s'agir d'Éducation, Nationale), par l'école de la République.
Celle-ci étant développée par des têtes sans yeux, au regard idéologique théorique non avéré, qu'ils veulent cependant incorporer dans les cerveaux, contre tout bon sens, en toute inintelligence des tenants et aboutissants du Réel.

Comment penser - comment croire ! - qu'en élargissant les frontières, jusqu'à les faire disparaître, on va changer le paradigme qui serait mauvais du fait essentiel qu'il est fondé sur les nations comme unité territoriale et ethnique des peuples ?
Si je ne sais pas coacher 10 personnes, comment je saurai - sans changer moi-même - en coacher 500 ? Simplement parce que j'en aurais 500 sous la main pour mieux les quoi ?... non pas mieux les unir, mais mieux les contrôler, dans le sens de les soumettre !... Et on a vu que tout impérialisme est tentative de gouvernement malin des hommes.
Qu'il y ait des gains dans des rapprochements ethniques est indéniable. Mais les risques sont immenses, de pertes de cohérence, de "bêtaïser" (faire des êtres humains du bétail en élevage intensif, pensée unique, standardisation maximale...), d'avoir recours à des méthodes totalitaires.
C'est le but !***

Est-ce que l'internationalisation soviétique n'est pas la preuve flagrante que ce n'est pas le concept de nation, de souveraineté nationale, qui est le problème ?
Le problème c'est le coeur de l'homme. Et la solution, c'est de commencer chacun par voir les ombres du nôtre, , l'asocial qui nous habite !
Et s'agissant de pays ou union de pays, la solution est la même, en commençant par le diagnostic ou l'autopsie psychique de leurs dirigeants. S'entend sans séparer vie privée -vie publique, sans avoir un code de moralité pour la vie publique et un différent pour la moralité dans la vie privée.

Comment croire qu'en réécrivant l'Histoire pour la faire coller à la crise du moment, on va arriver à sa solution ? Etc...

Ce qui est requis au minimum, c'est la base des 10 commandements. Mais il faut comprendre comme doivent se gérer les religions (côté leaders), et comment se gérer soi-même face à leurs lois (côté fidèles, et leaders).
Au mieux encore Jésus pose comme base et objectif à la fois, le double et triple commandement d'aimer. Voilà la vraie base du vivre-ensemble ! Qui met en évidence surtout, d'abord, l'abime - dans les coeurs - qui nous sépare de la vie que Dieu voudrait nous offrir et voir vivre, ce qui est possible (seulement) à partir de sa propre vie (l'Esprit-Saint) reçue/mise en nous.
Jésus nous a racheté de nos torpeurs, impuissances face au mal et autres insuffisances de gestion personnelles et collectives : Pourquoi ne le savons-nous ? Pourquoi ne l'enseignons-nous pas ? Pourquoi se crisper sur l'amalgame mortifère servie comme une mauvaise soupe Dieu/religion ? Le rapport de l'Un et des autres n'est pas du tout ce qu'on nous écrit sociétalement à l'intérieur...


En-deçà de ce savoir, on est mort spirituellement, on souffre ou on agonise psychiquement, et un jour ou l'autre - effet somatisation - ce sont les corps qui sont atteints, infectés, blessés ou tués... Les attentats comme les suicides et autres morts violentes nous parlent de ça ! ...quand les quantités et coûts globaux des somnifères, anti-dépresseurs, neuroleptiques... et autres circulations de drogues et alcool ne sont même plus vus comme funestes et comme des alarmes.

Pourtant est-on bête ? Ne sommes-nous pas de plus en plus développés en connaissances et en capacités intellectuelles ? Jamais les gens n'ont été aussi nombreux à penser individuellement ! - Je ne dis pas personnellement, mais individuellement (nuance importante, car c'est un lieu essentiel où le bât blesse).

Il suffit encore de parcourir les programmes des candidats à la Présidence de la République - c'est pas rien quand même ! - pour voir combien, même intelligents, ils manquent de lucidité, à la fois de proximité et de recul, de profondeur et de hauteur.
Et avec l'énarque Hollande, on a pu observer peut-être plus qu"avec tout autre, ce même phénomène, que l'intelligence cultivée mais livrée à elle-même - façon de parler, car sans être livrée à l'Esprit de Dieu, elle est vite susceptible d'être livrée au Malin -, par les résultats, toute la réalité de cette problématique (trop largement inaperçue).
On arrive majoritairement au bout d'un développement intellectuel bancal, que d'aucuns ont appelé "la bêtise de l'intelligence". Rien de nouveau sous le soleil ! On va approcher ce paradoxe de l'intelligence humaine.

à suivre...
_________
* En 2012 le Président est élu par 18 000 000 de votants sur 46 000 000 d'inscrits.
** lire le récit de la résurrection de Lazare comme image que seul Dieu peut peut recomposer de manière à redonner la vie.
***Pour ceux qui sont vers le sommet de la hiérarchie typiquement humaine)  


 

 

 

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4 avril 2017 2 04 /04 /avril /2017 10:06


Suite et fin (provisoire) de l'article commencé ici.

Mai 68 fut une révolution relativement pacifique, malgré des morts et des blessés. Une révolution ouvrant sur des libérations, mais pas seulement : aussi sur de nouvelles opportunités pour des esprits manipulateurs et oppresseurs, une nouvelle vague de démons jouant de la séduction. Avec eux, tant qu'on marche dans ce jeu (de la douceur, flatterie, tentation, pommade, sens du poil, cadeaux, promesses...), ils s'y tiennent ; mais quand on s'aperçoit qu'on est "le dindon de la farce" (d'une mauvaise farce), ils peuvent donner un tout autre visage à celui ou celle par qui ils agissaient. C'est ainsi que de très "bonnes" relations (amoureuses, commerciales...) peuvent soudainement - ou après quelques menaces - tourner au vin-aigre, vol, violence, voire meurtre... 

 

Qui, aujourd'hui en France et en Europe, peut dire qu'il ne s'aperçoit pas de la dégradation des moeurs - ce qu'on nous a fait croire être de la libération ?
Cela se mesure à la dégradation des relations et à la montée des contraintes, des pressions, du mal-vivre ensemble.
Parce que nous saturons notre environnement, non seulement de pesticides, de gaz, particules à effet de serre et autres polluants et déchets intraitables - tout cela étant la face visible de l'iceberg Corruption-Dégradation -, mais encore des réalités toxiques plus subtiles dont on a déjà bien parlé - partie cachée, dans leurs dimensions psychique et spirituelle de l'iceberg, avec toutes nos fautes morales non vues, confessées à Dieu et pardonnées).

A partir de là, c'est à nous à reconnaître, à accepter de voir de ces causalités fondamentales qui sont, mais qu'on veut ou peut, comme font les autruches, ne pas croire.

Si elle a quelque chose de pacifique - à cause des esprits qui s'y déploient, la révolution de Mai 68 est en fait venue ajouter à ce qu'on peut appeler "la déchristianisation", c'est-à-dire à l'incompréhension spirituelle du Monde Réel, avec des reconstructions matérielles seulement fondées sur le sable, la libération des moeurs - notamment sexuelles - étant la proue qui, avec l'argent, donne beaucoup d'accès à ceux qui veulent la fin d'un monde libre pour l'humanité entière*.

La prétendue libération de la femme (par slogans, "Ton corps est à toi !"...) est typique de la manipulation démoniaque. Mais il faut toujours du temps avant de voir en quoi une direction n'était pas la bonne. Et avec la tension qui naît du simple fait d'être homme et femme, on arrive à la bascule où ce qu'il a pu être tirés de plaisirs de la pseudo-libération soixante-huitarde tourne au vinaigre, à des difficultés au vivre-ensemble le plus simple et naturel, entre adultes mâle et femelle.

La perte de foi chrétienne induit une perte de réalisme et de tenue face au réel immédiat, ce qui devient manifeste à un nombre croissant d'entre nous. Le progrès le plus significatif à faire maintenant, consiste à rapprocher les crises dans lesquelles nous nous enfonçons de leurs causes véritables, notamment en liant la morale à tous les domaines de l'existence (d'intime à public), en décloisonnant.

 

Révolutions et Révolution

Si on compare toutes les révolutions importantes, malgré les dérapages de religieux étrangers à la connaissance et/ou à la foi biblique, la plus grande des révolutions de tous les temps, aux effets les meilleurs pour transformer les personnes et former les nations (ethnos en grec, d'où patrie) est celle qui commença par Jésus, qui ne tua personne pour imposer sa vue du Réel et pour contraindre quiconque dans le chemin spirituel qu'il ouvrit pour que l'homme ait accès à Dieu son Père et alter-ego. (quand il y eut contraintes, marchandages et autres vilénies, on n'était plus dans ce que Jésus était venu ouvrir).

Il ne versa que son propre sang pour agir sur les circonstances et redonner une vraie liberté personnelle de choix. Après avoir démontré sa bonté, sa droiture, ses pouvoirs et la terrible condition humaine (qui lui valu arrestation et jugement inique et la crucifixion qu'on sait - le film). Il laissa sa vie être prise par les religieux méchants et hypocrites qui le livrèrent aux romains et encore à Satan et à ses démons.

Quand on lit le Psaume 22 qui est une vue prophétique de sa crucifixion (écrite environ 1 000 ans avant que cela ne se produise), il faut comprendre que les animaux dont il est question sont des images des vrais démons qui étaient là à ce moment-là :
1 Au chef des chantres. Sur "Biche de l'aurore". Psaume de David. 2 Mon Dieu ! mon Dieu ! pourquoi m'as-tu abandonné, Et t'éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes ? 3 Mon Dieu ! je crie le jour, et tu ne réponds pas; La nuit, et je n'ai point de repos.4 Pourtant tu es le Saint, tu sièges au milieu des louanges d'Israël. 5 En toi se confiaient nos pères; Ils se confiaient, et tu les délivrais. 6 Ils criaient à toi, et ils étaient sauvés; Ils se confiaient en toi, et ils n'étaient point confus.7 Et moi, je suis un ver et non un homme, L'opprobre des hommes et le méprisé du peuple. 8 Tous ceux qui me voient se moquent de moi, Ils ouvrent la bouche, secouent la tête : 9 Recommande-toi à l'Eternel ! L'Eternel le sauvera, Il le délivrera, puisqu'il l'aime !-10 Oui, tu m'as fait sortir du sein maternel, Tu m'as mis en sûreté sur les mamelles de ma mère; 11 Dès le sein maternel j'ai été sous ta garde, Dès le ventre de ma mère tu as été mon Dieu. 12 Ne t'éloigne pas de moi quand la détresse est proche, Quand personne ne vient à mon secours !13 De nombreux taureaux sont autour de moi, Des taureaux de Basan m'environnent. 14 Ils ouvrent contre moi leur gueule, Semblables au lion qui déchire et rugit. 15 Je suis comme de l'eau qui s'écoule, Et tous mes os se séparent; Mon coeur est comme de la cire, Il se fond dans mes entrailles. 16 Ma force se dessèche comme l'argile, Et ma langue s'attache à mon palais; Tu me réduis à la poussière de la mort.17 Car des chiens m'environnent, Une bande de scélérats rôdent autour de moi, Ils ont percé mes mains et mes pieds. 18 Je pourrais compter tous mes os. Eux, ils observent, ils me regardent; 19 Ils se partagent mes vêtements, Ils tirent au sort ma tunique. 20 Et toi, Eternel, ne t'éloigne pas! Toi qui es ma force, viens en hâte à mon secours ! 21 Protège mon âme contre le glaive, Ma vie contre le pouvoir des chiens ! 22 Sauve-moi de la gueule du lion, Délivre-moi des cornes du buffle ! 23 Je publierai ton nom parmi mes frères, Je te célébrerai au milieu de l'assemblée
24 Vous qui craignez l'Eternel, louez-le! Vous tous, postérité de Jacob, glorifiez-le! Tremblez devant lui, vous tous, postérité d'Israël ! 25 Car il n'a ni mépris ni dédain pour les peines du misérable, Et il ne lui cache point sa face; Mais il l'écoute quand il crie à lui.
26 Tu seras dans la grande assemblée l'objet de mes louanges; J'accomplirai mes voeux en présence de ceux qui te craignent. 27 Les malheureux mangeront et se rassasieront, Ceux qui cherchent l'Eternel le célébreront. Que votre coeur vive à toujours !28 Toutes les extrémités de la terre penseront à l'Eternel et se tourneront vers lui; Toutes les familles des nations se prosterneront devant ta face. 29 Car à l'Eternel appartient le règne : Il domine sur les nations.30 Tous les puissants de la terre mangeront et se prosterneront aussi; Devant lui s'inclineront tous ceux qui descendent dans la poussière, Ceux qui ne peuvent conserver leur vie. 31 La postérité le servira; On parlera du Seigneur à la génération future. 32 Quand elle viendra, elle annoncera sa justice, Elle annoncera son oeuvre au peuple nouveau-né."

Tel fut le moyen par lequel Jésus attira sur lui les pires démons, dont Satan (dans ce psaume le lion), pour en dégager quiconque de la génération alors présente et des générations suivantes par toute la terre croirait en cette Bonne Nouvelle...

Dans le même ordre d'idée, savez-vous comment tout à coup le Mur de Berlin est tombé, sans fusillade, sans morts, sans blessés ? Qui a su voir ou appris dans cet événement le surnaturel de Dieu agissant parmi nous ?
En tant que chrétien, on sait (voire on a participé) que fut lancé à partir de 1982, un mouvement mondial de 7 années de prière pour l'URSS. Au bénéfice des populations tenues sous le joug d'une dictature athéiste. Contre donc la puissance démoniaque initiatrice (ici) du communisme (forme collectiviste de l'idéologie marxiste socialiste).

Au terme des 7 années, sans heurts le Mur de la honte tombe, l'autorité spirituelle (démon puissant maître, au-dessus des hommes, de ce type de gouvernement) a été vaincue par l'intercession, à cause du poids qu'elle a fait subir aux populations d'iniquités de violences, souffrances, vols, tortures, meurtres, corruptions... (cette puissance démoniaque avait été nettement ébranlée à partir de 1985, ce qui permit l'arrivée au pouvoir de Mickaël Gorbatchev. Défait de la pression de l'autorité spirituelle déjà rendue impuissante - qu'enfant déjà il n'avait pas apprécié sur sa famille -, il devint une sorte de libérateur pacifique - la perestroïka...). 

***

Les démons dénoncent devant Dieu nos mauvaises pensées et comportements, pour obtenir, comme des huissiers, le droit d'exécuter les jugements que nous méritons.
Ils plaident aussi leur libération (droit d'entrer dans la sphère terrestre), dès lors que par leurs tentations ils réussissent à obtenir ou ré-obtenir sur nos existences et comportements des droits.
Et quand ils exercent sur nous des jugements, ils sont souvent si iniques, que Dieu les châtie à leur tour...
C'est tout un processus de justice, simple et juste, qui opère dans une triangulation Homme-Dieu-Démons.


C'est souvent ainsi que suite à une grande épreuve et à une délivrance qui change littéralement la personne, on devient soudain meilleur, tout à coup la conscience ouverte à la réalité des autres, avec le désir d'aider les plus faibles faibles, les pauvres, ou les handicapés..., comme bénévole en association, ou plus anonymement dans son coin, ou encore par une conversion professionnelle...
La vie a pris une liberté nouvelle, un goût nouveau, inconnus jusque-là, de repos, de simplicité, de retour à la nature ou d'ouverture à l'autre ou à la connaissance...
C'est là qu'il est important de laisser ce retournement (cette métanoïa) entrer dans la foi, inclure la conscience qu'il y a un Dieu... et de se mettre à le chercher en vérité... sans laisser nos reliquats d'incrédulité, de préjugés ou passé anti-religieux détourner de ce qui est vrai dans l'ordre spirituel. Il ne s'agit pas de trouver une religion, mais une personne : Dieu lui-même.

***

Parmi les moyen-occidentaux qui ont cru décrocher la lune en suivant à partir du XVIIIe siècle les écrits de "lumières" (quelques philosophes aux comportements peu conformes à leurs écrits ou idéaux...), une des ruses de Satan qui marchent bien, c'est aussi de faire croire qu'il n'existe pas.
On a tellement cru qu'on était devenus intelligents - au point d'avoir quasiment cru (possible de) prouver par la science que Dieu n'existe pas -, qu'il fut et qu'il est encore facile aux démons de continuer leurs vilaines besognes sans être inquiétés.
Du moment qu'il ne s'agit, croit-on, que d'effets de nos peurs archétypales, superstitieuses, surannées, infondées, dont la science et les connaissances et l'évolution vont bientôt, nous dit-on, nous débarrasser : qu'en attendant deux corps d'armée de psy gèrent.

Juste que les démons existent toujours et reviennent de plus en plus, que les psychiatres (sur une ligne de front) sont plus d'une fois dépassés, subjugués, envahis eux-mêmes par ce(ux) qui habite(nt) leurs patients, (j'en ai connu un qui entendait des voix), ne sachant comment se protéger. Les réalités comme "les faits ne cessent pas d'exister parce qu'on les ignore." A. Huxley.

 

Voilà un diagnostic qu'il faut VOULOIR voir, admettre, écouter. Car on regarde souvent le Réel seulement la main devant les yeux les doigts plus ou moins écartés. La peur préside, car là où il y a du péché (abandon des préceptes bibliques et non-réception ou non-applications justes de la grâce divine), il y a toujours de la peur, des angoisses, des luttes, des ruptures douloureuses de continuum... et de la culpabilité.
La culpabilité qui est un ressenti bénéfique, qu'on rejette sur les autres ; ou dont les autres veulent nous distraire, bien intentionnés mais bien à tort. Alors que la seule solution pour un bien durable, c'est venir à Dieu dans l'humilité, pour être secouru, pardonné, revêtu (de sa grâce, de ses sentiments, d'une force nouvelle,...). Lire ou relire Genèse 3 sur (l'image et la profondeur de) l'habit dont Dieu veut nous revêtir.

Et donc ce qu'il est important de saisir, c'est encore qu'on est toujours, ici, maintenant, chacun, dans cette histoire duelle, cruelle, mal-tournée - par le jeu possiblement dangereux de notre réelle liberté -, mais dont Dieu veut et peut extirper quiconque cherche son secours. > Vous, avec lui, sortez-en !

Lumière et grâce pour vous. Je vous aime.

_____________
* l'autre versant de cette poursuite d'objectif étant formé et dynamisé par les violences (jusqu'à mortelles).
On est de plus en plus nombreux à bien aperçoit ce qui se passe, où l'on parle sans trop savoir de quoi il s'agit de complot, de manipulations, d'arnaques, de lobbies puissants ou encore de cabinets noirs (politique, religieux, sectaire). Mais sans la lumière véritable qui vient de l'Esprit de Christ, on reste incrédule, proie ou prédateur, dans tous les cas impuissants en regard de notre simple quotidien, et bien plus de l'éternité.

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14 mars 2017 2 14 /03 /mars /2017 09:55

Par ce titre, on peut penser qu'il s'agit de formes différentes par lesquelles on peut mourir : morts accidentelles (accident, maladie, noyade, électrocution,
hydrocution, coup de feu ou à arme blanche...),
par suicide ou par vieillissement.
Mais tout cela ne concerne que la mort physique ! Et cet article veut sensibiliser à ce qu'il existe en plus de celle-ci, quatre autres types de mort, bien différentes*. Et toutes et chacune nous concernent d'une manière ou d'une autre, maintenant ou un jour à venir plus ou moins éloigné. Surtout, elles ne sont pas
sans des effets, très différents et très conséquents,
dont il est bon de ne pas être ignorant.

¤

Quelques mots d'abord sur ce qu'on appelle la mort, celle qui est la plus évidente à notre conscience.

1 - LA MORT PHYSIQUE
On pourrait l'appeler plus justement mort physiologique. C'est celle qui se voit, qui laisse un corps qui refroidit, se raidit et, dépouillé de la vie, va se décomposer. Elle témoigne de la séparation invisible mais réelle de l'âme ou du couple âme-esprit du corps, montrant que la matière en elle-même, si elle peut être vivifiée (du physiologique végétal à l'humain), n'est pas la vie en soi.

Parmi ses apports, Jésus est venu dire au sujet de la mort : c'est un sommeil (versets 11 à 14) ! Un sommeil par rapport à ce côté du Réel. Un sommeil tel que lorsque Jésus appelle Lazare d'une voix très forte, il est réveillé à ce monde et sort de son tombeau.

Cette fin peut s'avérer soit
a) une bonne chose, l'Eternel-Dieu l'ayant prévue pour que nous ne vivions pas éternellement dans la condition accidentée, duelle et chaotique (où le mal le dispute le plus souvent avec succès sur le bien) que nous connaissons.
Par elle le chrétien entre bien plus librement dans le Royaume de Dieu. Sa relation à Dieu établie avant qu'il ne meurt se poursuit dans les dimensions psychique et spirituelle "en esprit et en vérité".
Luc: 23.43Apocalypse: 2.72 Timothée: 2.11 - 1 Corinthiens 15.12

b) soit un drame réel pour celui/celle qui part et ceux qui restent, notamment lorsque ce jugement tombe sur de jeunes vies, interrompt des existences avant qu'elles aient le temps de se déployer dans quelque liberté effective... et sans que le défunt ait appris au préalable comment partir du bon côté, quoi faire pour un "départ "qui conduise sur la bonne destination.
Départ de quoi ? (le corps restant là comme esseulé, privé de son essentiel comme une voiture abandonnée par son conducteur. Départ pour où ?... Existence vécue pour finalement être jeté dans un train sans savoir où cela nous emmène (Ça ne vous rappelle rien, des années 40 ?).

La mort physique, c'est le détachement de l'âme qui, sans relation établie avec Dieu, reste un moi-je conscient, mais qui ne s'appartient plus.

Que devient donc l'âme lors de la mort physique ?
La Bible enseigne qu'elle a deux destinées immédiates possibles :
- le paradis ou séjour béni de Dieu pour ceux qui ont cru en Jésus comme étant leur Sauveur ;

- le "séjour des morts" (shéol en hébreu ou hadès en grec ancien) où sont collectés par les anges déchus de Satan les âmes séparées de leur corps sans avoir trouvé en Jésus le moyen d'une réconciliation avec Dieu qui les eut réintroduit en Dieu par une alliance scellée par le sang de la mort de Jésus et l'Esprit de Dieu.

Dans les deux cas, il s'agit d'une situation provisoire, bonne pour les uns, terrible pour les autres, en attendant la résurrection finale des corps. (voir article sur les Résurrections)

Question :
N'est-ce pas curieux, étonnant - interpelant en fait ! - qu'on sache si peu sur ce sujet crucial, à la fois si personnel et universel, et que globalement, sociétalement, par l'école ou autre, on ne cherche pas plus à savoir ?
C'est justement un des effets notoires de notre condition (déchue, abimée, handicapée), que nous inversions la hiérarchie des réalités importantes et des réalités secondaires... 

 

2 - LA MORT SPIRITUELLE
C'est la plus essentielle, aux conséquences les plus désastreuses si on reste en l'état. C'est le retrait (envol, extinction) de notre esprit, la part de la vie de Dieu adaptée à notre réalité humaine. : expression la plus complète de vie transmise (insufflée**) par Dieu autrement appelée arrhes de l'Esprit .

Sans lui on est déspiritualisé, réduit à une constitution animale (âme + corps), capable dès lors de devenir parmi les pires ici-bas, et encore destiné au pire de la vie après la mort physique...

L'esprit se distingue donc assez nettement de l'âme. Il concerne nos relations verticales (relation avec Dieu, discernement des mauvais esprits, c'est notre conscience morale globale objective).

L'âme est pour sa part, via les transmissions génétiques, une émergence de la vie physique (corporelle, physiologique), notamment (attachée) par le sang (comme il est écrit dans le 3e livre rapporté par Moïse : le Lévitique).

Parlant de l'âme, on parlera de psychisme, de tout ce qui est psy, psyché (de psuké en grec avant que le latin et le français ne paraissent et donne l'âme (du latin anima).
L'âme est essentiellement le lieu immatériel de formation et siège de notre moi-je (ego, le cœur de notre entité individuelle ou personne consciente d'avoir une existence en soi). Elle a été conçue pour la gestion du soi matériel ou charnel et des relations horizontales avec nos environnements.

La mort spirituelle est celle qui est intervenue immédiatement, conformément à ce que Dieu avait averti (Genèse chap. 2), quand Adam et sa femme succombèrent à la tentation dans le jardin d'Eden. Ce n'est que de très nombreuses années après, qu'ils sont morts physiquement.
Les effets majeurs de la mort spirituelle sont décrits au chap. 3, et se voit toujours parmi nous, dans l'histoire de l'humanité, dans notre actualité et notre existence personnelle : c'est la peur, le sentiment d'insécurité, la difficulté à comprendre ce qui nous arrive, un sentiment de nudité qu'on cherche à résoudre de diverses manières et une manière délibérée de mettre sur le dos de l'autre ou des autres les problèmes dont nous sommes personnellement tout aussi responsable.

A la suite c'est l'irritabilité, la méchanceté (qui se manifestera chez Caïn le 1er né) puis les vols, le
s meurtres, attentats, guerres, mensonges, tromperies, manipulations... qui font la dominante récurrente des pensées, paroles et actions de la terre.

Vivants en état de péché ou sans couverture assez immédiate de nos fautes, c'est-à-dire sans confession réelle (à distinguer de confessions formalistes sans conscience du mal) et sans pardon (non seulement demandé mais obtenu), ici-bas déjà nous mourons (à Dieu, à la vie de l'esprit) chacun spirituellement. Morts dans nos offenses" comme il est bien expliqué dans la lettre aux Éphésiens au chap. 2. vers. 1 à 9.

C'est la raison pour laquelle nous ne sommes pas des êtres naturellement spirituels. Sans son esprit en nous, la réalité de Dieu nous échappe, ne nous intéresse même pas. A la rigueur on peut recevoir une instruction religieuse qui nous rend croyant, mais sans pour cela nous redonner automatiquement l'Esprit de Dieu. C'est pourquoi on assiste dans la Bible à cet étrange dialogue entre Jésus et un leader religieux qui vient le voir de nuit...

C'est premièrement de cette mort que Jésus est venu nous sauver car elle a pour notre âme (esseulée, ou encore accompagnée d'esprits maléfiques) des effets durables au-delà de cette existence terrestre. Car c'est en nous redonnant sa vie en ce qu'elle est éternelle, que Jésus peut sauver à la suite notre âme, nous sauver de la perte de la conscience de soi.
(On y reviendra avec notre 4e point, et vous pourrez aussi voir en complément l'article Les 5 formes de résurrection, - la résurrection étant une autre réalité que nous vivrons tous et chacun pour soi - en fonction de l'état dans lequel soit nous resterons sans être pardonnés et en ordre avec Dieu, soit nous aurons été réconciliés avec lui pour recevoir en nous son Esprit-Saint éternel).

Être sauvé-e par la foi dans le sens et la valeur de cette crucifixion, c'est pouvoir recevoir (à nouveau) la vie de Dieu, c'est-à-dire le don par son Esprit d'une part de lui-même qui, unie à notre âme, nous vivifie, nous rend conscients des réalités spirituelles, nous transforme et nous destine au Royaume éternel des cieux (ou paradis)... plutôt que dans le séjour cloaque où sont précipités les âmes sans Dieu.
La solution ?
Comme Dieu créa par son souffle la race humaine en Adam, Jésus crée une nouvelle humanité en ses disciples : cela dit par Jean - dit par Pierre.

Hors d'une telle véritable recréation de soi par l'Esprit Divin, cette mort  spirituelle est dramatique et très conséquente. Elle rend toujours
- nos conditions d'existence plus difficiles, moins compréhensibles (incohérentes jusqu'à l'absurde), plus douloureuses, insécurisées... ;
- nos personnes plus vulnérables, instables ou amorphes, insuffisantes, difficiles à vivre, à relationner...
- et les satisfactions ou succès toujours aléatoires, incertains, éphémères... et cela aussi parce qu'on meurt tous au plan physiologique, obligés de tout laisser de notre matérialité.

 

3 - LA MORT DE JÉSUS
Elle est différente de toutes les autres morts d'êtres humains. En ce sens qu'elle n'était pas obligée pour Jésus comme elle est obligatoire pour nous.
C'est une mort qu'il a acceptée de subir, sachant que ce serait dans un déchaînement de violence et d'injustice les plus démentielles.
Il acceptait en fait de cette manière de se soumettre au jugement de Dieu sur les fautes des hommes et des femmes de tous les temps et de tous les lieux - dont il prend la place en prenant le péché (leurs dérèglements). Selon que "le salaire (la conséquence, le résultat, le produit) du péché, c'est la mort" comme écrit en Romains.

COMMENT JÉSUS NOUS SAUVE-T-IL?
Par son sang versé sous les coups terribles de la flagellation qui précède sa crucifixion, par les épines enfoncées dans sa tête, et les clous de ceux qui se soumirent à leur méchanceté.
Par sa mort qui résulta de toutes sortes d'iniquités humaines boostées par des pensées et autres invectives des démons qui étaient là (pour avoir des droits sur eux et par eux) participant à cet événement unique dans toute l'histoire des hommes...

Jésus accepte d'être fait là "homme générique", le type complet de l'humain déchu, irrécupérable par lui-même dès lors qu'il est séparé de Dieu. C'est à ce point vrai que, laissé depuis le jardin de Gethsémané totalement et seulement  homme, il ne peut que crie comme un homme perdu.

Subie, "accomplie" par Jésus, la mort est là totalement substitutive (à notre place), expiatoire (qui paie le prix global, cumulé, de toutes les fautes humaines), et propitiatoire (qui nous rend Dieu propice, favorable, réconcilié avec l'humain, puisque c'est aussi là un accomplissement de la justice parfaite). S'agissant de l'homme mort spirituellement (à Dieu), il faut, pour annuler cette situation de séparation, une mort de remplacement : mort pour mort, celle de Jésus pour nous ; celle de Jésus pour toi et pour moi.

LE DOUBLE EFFET DE LA JUSTICE DE DIEU
Et comme Jésus pour sa part personnelle n'a jamais péché, si c'était bien dans une justice qu'il mourait ainsi à la place des coupables qu'il voulait sauver, c'était aussi une terrible injustice, aux vues de sa propre existence, irréprochable, qu'il est mort.
C'est pourquoi aussi c'est en toute justice qu'il est ressuscité - recevant du coup un corps nouveau, immortel, incorruptible et donc éternel, pour lui-même et encore comme image pour nous de ce que Dieu veut faire avec quiconque entre dans ce plan B de la création humaine : offrir une seconde vie, toute nouvelle, amplifiée, et qui sera sans mal et sans fin.

La mort de Jésus fut des plus ignominieuses, la plus sacrificielle, le plus grand don de Dieu fait au genre humain. Mais aussi elle s'avère la plus fructueuse, la plus glorieuse, celle qui renferme potentiellement le salut du monde entier (selon cette parole, et celle-ci). Seule notre liberté personnelle de choix peut nous fermer la porte de cette grâce imméritée. Selon que nous préférons continuer à vivre en commettant le mal d'une ou plusieurs façons, plus qu'en désirant le bien, ce qui est juste, honnête, respectueux.

Rien n'est plus profitable que de saisir pourquoi Jésus est mort, et de venir au bénéfice des bienfaits - immédiats et éternels - de cette mort si particulière...
"Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation...21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu."
Ou encore ce qu'écrivit le prophète Ésaïe plus de 600 ans avant cette venue sacrificielle de Jésus (chap. 52, vers. 13 à chap. 53, vers. 12).

Cette mort évite à quiconque - il suffit de mettre son nom ou prénom à la place de quiconque >  Cette mort évite à ....................., du moment qu'il croit en Celui qui est mort ainsi, de vivre sans avoir à souffrir la séparation de son corps, et surtout sans avoir à connaître le 4e type de mort qu'on va voir à la suite: "Jésus lui dit : Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ;26 et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ?"...

 

Une croix qui domine une tombe !
Quelle compréhension de cette représentation avons-nous,
qui dit - normalement ! - que le défunt s'est mis au bénéfice de la mort
et sous la protection de la résurrection
du Christ Jésus (Yeshoua HaMashiah) en vue de la sienne ?

 

4 - LA MORT PSYCHIQUE - ou DE L'ÂME
La mort psychique est à voir comme la fin de la conscience personnelle. La fin du moi-je relativement libre qui pense et se pense, ressent, aime ou déteste, imagine ou massacre, gère ou dilapide, choisit ou pas, et au final va être jugé d'une manière ou d'une autre (les deux manières étant bien différentes...)

Cette mort irrémédiable peut apparaître au moment non de la mort physique, mais de la (seconde) résurrection en vue du jugement (dernier, versets 11 à 15). Ainsi est-il mis fin à tous les acquis et efforts,de l'existence, à toutes les possibilités de déroutages de vies et autres corruptions et perversions apparues sur cette terre.

Elle n'est pas une fatalité comme est la mort du corps, comme si tout était écrit sans nous. Non, elle est une sombre possibilité qui dépend de nous plus encore que de Dieu.
Elle - on, chacun - dépend de nos choix, pensées, paroles, actions et réactions.
Par notre âme nous gérons un espace et un temps de liberté. Une liberté si véritable qu'on peut prendre des libertés... qui souvent n'en sont pas, trompeuses et dangereuses (aussi) pour nous-même, hors de ce qui est réellement bien pour nous et/ou pour les autres :
Liberté de fumer n'importe quoi jusqu'à mettre notre corps à mort ; de boire ou se droguer jusqu'à perdre parfois temporairement la notion de soi justement ;  liberté de mentir, voler, violer, assassiner... Et nous ne serions pas jugés ? Par la justice humaine quand elle nous rejoint ; et par la justice divine, à laquelle qui peut, de ce côté-ci de la vie et ensuite de l'autre, se soustraire ?

Ici-bas nous vivons des jugements relatifs, pour nous arrêter ou corriger dans nos mauvaises trajectoires. Mais le jour où le temps est accompli de cette liberté très permissive, ne serions-nous pas jugés, c'est-à-dire condamnés... ou graciés, rachetés, sauvés si nous comprenons à temps comment l'être ?!...

Alors entendons-le encore une fois : On échappe à cette mort anéantissement de soi - du moi-je individualisé que nous sommes devenu -, en croyant à celle de Jésus qui s'est sciemment anéanti pour stopper ce naufrage de l'humain. En le voyant prendre sur lui, cloué sur une croix, nos fautes, notre impiété ou religiosité égarée, pour que nous puissions en être pardonnées, affranchies, justifiées, purifiées, - totalement en tant que fautes, et plus ou moins partiellement en tant que conséquences****.

La foi en Jésus et en la valeur de sa mort pour notre âme permettra à ses bénéficiaires d'être ressuscités (à certains même de ne pas passer par la mort (un détail ici...).
Pour les autres, il faudra attendre plus de mille ans, dit le livre de l'Apocalypse, avant qu'ils ne soient tous ressuscités pour paraître devant Dieu en jugement. Lire Apo 20.11-15.

Suite à ce jugement les âmes, c'est-à-dire ceux qui ne voudront pas du plan B de Dieu (de sa Rédemption par la foi en Jésus), devront, par leur choix délibéré, par leur obstination et inintelligence, aller à la perdition éternelle de leur personne (via un étang ardent de feu et de soufre préparé pour Satan et autres démons qui auront persévéré dans leur endurcissement sans retour).*****
"Mais pour (ceux qui resteront) lâches, incrédules, abominables, meurtriers, impudiques, enchanteurs, idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort."

à suivre ici... le 5e type de mort avec son effet bénéfique : Un peu - mais en mieux - ce qu'on appelle aujourd'hui "le lâcher prise"... dans une confiance grandissante en Dieu devenu notre Sauveur et Père..

Bon choix de vie. Bénédictions.

Pour guider une prière de déculpabilisation et paix avec Dieu cliquez ici

 _______________________
* Comme beaucoup d'autres mots importants, mort est un mot typiquement singulier : la mort ; mais c'est surtout un mot pluriel, qui se décline bien en cinq manières bien distinctes.
C'est en réfléchissant sur les cinq lettres finales de l'alphabet hébreu (langue d'écriture initiale de la Bible) que de cette symbolique je suis arrivé à la réalité de cinq fins ou séparations (séparation c'est le sens primordial de la mort) nous concernant. En tout deux séparations en notre défaveur, une pouvant s'avérer favorable ou ennemie, et deux des plus préjudiciables...

Dieu est un de ces vocables principalement singulier mais aussi multiple (Père, Fils, Esprit-Saint par exemple). En hébreu dans l'Ancien Testament, Dieu est souvent appelé Elohim, pluriel de Eloha. Et c'est ainsi pour la mort(s), la vie(s), la résurrection(s), la personne humaine (avec ses éléments séparables)...

** A l'origine "L'Éternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vieS et l'homme devint un être vivant." Vie est là dans le texte original un pluriel (chayim) qui se réfère à l'âme et à l'esprit.

*** Lire aussi sur la mort physique comme notre... 4e commencement.

**** C'est pourquoi même devenus chrétiens, nous pouvons subir des effets de nos fautes antérieures ou nouvelles fautes répétées, des maladies, accidents, et la mort physique qui est une conséquence irrévocable de notre condition adamique. En ce sens il est écrit que Dieu pardonne les coupables, mais il ne tient pas le coupable (même pardonné) pour totalement innocent dans cette vie...

***** Dans ce déroulement de la vie humaine, une part reste un mystère quant au devenir éternel de qui n'aura pas trouvé en Jésus son Sauveur : Une fois passé par le jugement dernier, la Bible dit clairement qu'il ne restera concernant tout le mal qu'un "étang ardent de feu et de soufre". Un espace que le Créateur a dû initier suite à la rébellion des anges, pour les arrêter dans tous leurs agissements coupables car ils sont éternels en eux-mêmes (un jour prochain).
Apocalypse 19.20 - Apo  20.10 - Apo 20.14, 15Apo  21.8
Que peut-il se passer dans cet enfer dernier pour quelque homme ou femme qui ne trouverait pas ailleurs une solution acceptable - de Dieu -, au problème du mal dont ils ne se seraient pas départis ? Si on est un-e rebelle entêté-e, un-e libre-penseur suffisant-e, c'est encore le moment de considérer cette question, de comprendre la réponse et de choisir entre une pensée impie qui rien ne fonde (que la liberté totale limitée à cet espace-temps dont on est provisoirement pourvue) et ce que Jésus et la Bible annoncent.

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