Toi
et
Moi
Rien que là, la preuve se fait.
(Il suffit juste de vouloir réfléchir...
On réfléchit quoi !?)
DE LA DIFFICULTÉ D’AIMER
(Les 3 et 1 soutiens de l’amour)
Du sexe on peut bien se passer,
C’est une option de l’existence,
Mais bien vivre sans aimer
C’est oxymore,c’est une absence,
Seul, un poids qu’on ne peut porter
Qui demande au moins une moitié,
Et mieux que tout un Dieu vivant
Avec qui vivre son présent.
Le problème de l’amour ce n’est pas d’aimer,
C’est son alter ego à gérer : la liberté.
Car quand on aime on se sent bien
Au point de se lâcher, de tout quitter,
Mais sans sagesse on ne va pas loin,
Sinon décors à tout casser.
Et la sagesse c’est de savoir, aussi,
Que l’amour sans vérité ne peut durer,
Qu’il y faut encore de nos meilleurs amis
De la justice et de l’humilité.
Voilà pourquoi il est difficile d’aimer
Dans le temps comme hors du temps,
Car on vit ici sur un plancher
Où les valeurs ne valent pas leur pesant.
Liberté, amour, humilité,
Justice et sa jumelle la vérité,
Sont or d’Ophir, sont pierres précieuses
Rares, qui ne fleurent pas dans l’apparence
Mais qui se trouvent gracieuses,
Du côté de la Transcendance.
C.T. 3 Février 23 @LGDDV
CROIRE, C'EST TOUJOURS UNE QUESTION DE CONTENU
Ainsi vivons-nous, depuis l'origine dégradée de l'humanité, dans un monde (rendu faussement) polythéiste, ce qui se vérifie jour après jour. Avec un Dieu unique, souverain, transcendent mais ne s'imposant pas, et des dieux qui n'en sont pas mais qui tiennent à nos yeux, dans nos cœurs et notre quotidien, cette place supérieure.
Un dieu est donc bien tout: ce dont on ne peut (plus) se passer à partir d'un certain jour ou d'un certain événement. Une réalité inerte ou vivante qu'ons'est soir mis à aimer, soit mis à craindre assez fortement pour qu'il s'impose à nous, d'une certaine manière nous nous possède.
Et quand c'est un faux-die – comme ils le sont tous, sauf un ! -, la relation avec lui tourne à l'obsession, l'oppression, l'addiction, la possession, la peur ou une joie autant hilare qu'illusoire, avec au fond un mal-être, un mal-vivre croissant, des pressions, irritation, colère, haine irrationnelle... qui peuvent pousser jusqu'à se tuer, ou tuer quelqu'autre(s).
C'est qu'alors, après une personne, un objet, un produit ou une pratique de nature idolâtre, un esprit mmaléfique, un démon, est venu se greffer sur ce qu'on fait de mal au point de rendre de nous faire basculer dans quelque irréparable contre soi ou contre quelqu'un.
Seul le vrai Dieu, qui est à l'oigine de l'univers, du vivant et de tout, rend libre qui se confie en lui. Libre des oppressions et tracas suscités par tous les faux-dieux.
Jésus a dit – et il le fait – que par sa parole et une réception qui permet à l'Esprit Divin de l'opérer en nous, on devient libre : l'aliénation invalidante produite par la force du mal qui nous habite ordinairement descend d'un niveau de domination à un plan où sa dynamique devient nulle à maîtrisable.
« Jésus dit aux Juifs qui avaient cru en lui : Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples; vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libre » (du péché, la force qui pousse à mal faire) Jean 8. 31-32.
PARTICULARITÉ DES RELIGIONS
Les religions rendent-elles donc libre ?
Que nenni ! Jésus est venu démontré, par son rapport de paroles et de pensées avec les chefs religieux défenseurs de la Torah (la loi formant le judaïsme), que la religion – comme l'idolâtrie des Romains qui avaient lusieurs de dieux – ne procure pas plus de vie et de liberté que l'athéisme, mais tue ! Car les acticles exprimant les exigences de la justice et sainteté divines n'ont pas en eux-mêmes la force de venir habiter notre nature irrémédiablement imparfaite et toujours défaillante.
Même monothéiste, même dites chréiennes, les religions ne rendent personne libre de connaître Dieu, de dominer sur le mal qui provoquent les transgressions.
Ce que le Messie/Christ a amené est la connaissance et l mise à disposition de la Grâce que Dieu. Un véritable moyen d'être juste que Dieu peut accorder, sans efforts et sans œuvres légalistes contraignantes.
Ce qui est possible car Jésus s'est fidélement soumis à toutes les exigences de la religion pour mettre un terme défintif à ce genre de pratiques qui ne résoud rien de notre condition ordinaire (adamique) de pécheur, de fauteurs ennemis de Dieu.
C'est pourquoi l'Evangile est une Bonne Nouvelle qui met, du côté de Dieu, fin à ce système institutionnel qu'est la religion « car Christ est la fin de la loi, pour la justification de tous ceux qui croient. » Romains 10:4
Cela signifie que tous ceux qui persistent à rester attachés à une religion quelconque – plus qu'à Christ – ne peuvent obtenir de leur pratique qu'un seul bénéfice : Celui de se voir pécheur, fauteur, infidèle, hypocrite, religieux mais n'aimant pas Dieu.
Dès lors le fruit de la vie de Dieu en nous (l'amour, la bonté, le pardon, la bienveillance,la paix intérieure, une foi qui plaît à Dieu...) n'est pas notre partage.
Cela dit et étant écouté, chacun est placé pour l'immédiat - et peut-être plus pour demain ou dans une heure -, par l'Esprit Divin, en position de pouvoir choisir « entre la vie et la mort ». La vie étant celle de Dieu qu'on a besoin de recevoir pour devenir vraiment spirituel ; la mort étant la condition habituelle insuffisante et insatisfaisante qu'on connaît jour après jour.
D'autres articles de ce blog guide vers plus de paroles encore pouvant permettre à l'Espit de Dieu de vous toucher ou parler.
Ainsi ici qu'>> une page qui peut vous aider dans une prière qui vous amène dans une relation ouverte et vivante avec le seul vrai Dieu <
Pour une année bonne, il nous faut déjà au minimum l'ingrédient de la vérité. ne nous racontons donc pas des histoires, admettant que nous sommes tous croyants – en quelque chose ou en quelqu'un -, et donc nous avons tous un dieu.
Avez-vous déjà pris conscience dde Quel est le vôtre ?
Un dieu, c'est tout ce qu'on place au-dessus de nous, personnes, objets, produits... qui commandent une grande partie de notre temps, beaucoup de nos mouvements, pensées et décisions.
TOUS A LA MÊME ENSEIGNE
Nous sommes donc tous, qu'on le veuille ou pas, qu'on le croit ou pas, à la même enseigne de la croyance comme moyen incontournable du déroulement de notre existence.
Mais que croit-on qui fait d'autre chose que nous notre Dieu ?
Quelqu'un m'a dit : Mon Dieu c'est mon porte-monnaie !
C'est peut-être pour vous le sexe !? Un véritable problème - Dieu - de société qui n'a pas fini de produire des ravages !
Le dieu Ecran, d'ordi ou de mobile, pour un relationnel qui tient de la grand-messe où on est au fond tout seul de ce côté du miroir ; ses enfants sont les dieux Jeux vidéos, Réseaux sociaux, Séris tv, avec un panel pouvant offrir les dieux Lares de chacun ;
Les dieux du stade : après Kopa ou Pelé, Zizou ou Mbappé qu'on aime outre raison, et combien d'autres...
Les dieux de la chanson, qu'on idolâtre, pour lesquels on crie à s'casser la voix et dont on rêve de partager un selfie ou une nuit avec lui ou elle...
Les dieux – des monstres sacrés, dit-on ! - du cinéma, gloutons en gros cachets et en besoin de reconnaissance, souvent en manque d'amour ou de sexe au point de... se comporter en Dieu tyran - addiction oblige ! ;
Les dieux de la littérature. Là aussi les noms ne manquent pas de dieux qu'on a formés et dont on lit tout des cinq et dix fois ;
le dieu Pensée, Raison, Culture, souvent précuite et en surgelé plus que réflexion personnelle ;
D'ailleurs la réflexion personnelle est aussi un petit dieu possible à se donner, qui ne fait pas beaucoup d'adeptes malgré qu'il cherche à faire des prosélytes depuis les petites classes jusqu'aux rayons universitaires ;
Sauf qu'on n'est même pas capable de bien vivre avec son conjoint, son ou ses enfants, ses paents ou grands-parents et autres collègues de boulot ;
Notre dieu peut être aussi de manière générique l'Homme, le Sapiens sapiens qu'on croit capable de – bientôt – résoudre tous les problèmes de la planète, Intelligence Articielle - un Dieu qui monte des obscurités - à l'appui.
Le Dieu Travail, et sa version Business, où l'on se perd jusque tard dans la nuit, et où on en perd le contact avec le conjoint ou les enfants. Un Dieu-fuite. En connaissaez-vous d'autres ?
Il y a aussi des dieux plus spécifiques, mais qui font toujours trop d'adeptes.
LeDieu Alcool ! Pas cool !
Le Dieu Substance, Drogue ou Cam ou Coc' ou Shit et autres stup' licite ou pas...
Les dieux Médoc. Pour certains – dit hypocondriaques – le médicament est plus un dieu qu'un remède...
Le Dieu Tabac; dont le prélévement à la source ne suffit pas à faire sortir de la secte ;
Le Dieu Café, dont le temple est la cafetière
-le Dieu Coca : J'ai connu un homme devenu addict au Coca-Cola. Jusqu'à 5 litres par jour, irrépressible (tant qu'il n'en a pas été délivré) ;
J'ai vécu un temps sous la domination du dieu Ecriture, faisant des brouillons sans fin, souvent inspiré la nuit, avec des belles phrases dont on fait des citations et dont j'enrichissais un disque dur ;
Et bien sûr, irréductibles, les dieux des religions... et des idéologies (une idéologie étant une forme de religion sans Dieu, ce que peut aussi devenir une philosophie)
Il s'agit de dieux qui, comme les précédents n'en sont pas réellement. Qui trouvent leur source dans un écrit ancien ou un système de pensée nouveau, pris pour vérité transcendante digne d'être cru et suivi par dessus tout, Ce qui peut être totalement indépendant et antinomique avec le Dieu créateur des cieux et de la terre.
Mais on peut aussi avoir pour Dieu, une ou des représentations déformées, hérétiques, aberrantes, dramatiques... du vrai Dieu, de Celui qui est, qui a toujours été et qui vient. Le Dieu Créateur et Rédempteur. Le Dieu seul totalement éternel, de Noé, révélé à Abram (qu'il changea en Abraham), de Moïse, montré de la plus fidèle manière par Jésus fils de Marie et fils de Dieu, et encore dépeint, explicité et parlant plus que partout ailleurs dans la Bible
Attention donc à des dieux qui en sont des faux, qui sont des usurpateurs, des placebos, du vent, visant cependant à capturer notre attention, nos pensées, notre cœur, notre temps, notre porte-monnaie, notre capacité de rencontrer le Vrai, l'Unique.
Au rang de ces faussaires, les moins directement discernables sont de nature spirituelle, angélique, des anges déchus, mlins, méchants, qui veulent influencer et s'imposer à nos vies.
Satan en est un très ancien leader, qui n'a pas fini de faire des ravages à partir de ses séductions et de violences qui assujettissent par la peur...
J'en oublie forcément, où telle divinité que je ne soupçonne même pas comme pouvant exercer une emprise surnaturellement maligne sur quelque ou même une seule personne. On pense au fameux « pervers narcissique », mais parmi les femmes il y à aussi de ses déesses attractives et possessives qu'il vaut mieux ne pas croiser ou fréquenter...
Avez-vous bien identié quel est le vôtre ? Le Dieu-maître si vous en avez plusieurs qui dominent sur vous ?
En d'autres termes ce qui vous coûte (plus que normalement), ce qui vous pompe, ce qui vous fatigue et ne vous satisfait jamais, ce qui mange votre temps, consume que de trovotre énergie, trouble ou bousille vos relations...
La réponse est suscitée pour vous, le premier et principal concerné...
Ne me dites pas, ou ne vous dites pas, que vous êtes un dieu, que Dieu est en vous par le seul fait que vous êtes un être humain ! Il y en a beaucoup à qui on fait croire cela... tout en les laissant dans une misère consécutive à cette erreur, à ce mensonge...
Si c'est le cas observez bien quel piètre dieu vous faites, car c'est là un leurre, une illusion, plutôt facile à discerner si on est encore capable d'objectivité !...
CROIRE, C'EST TOUJOURS UNE QUESTION DE CONTENU...
à suivre.... >> ici <<
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